- François LéonardPilier du Forum
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Re: Comment expliquer les changements de caps stupéfiants des ovnis?
Jeu 23 Mar 2023, 23:42
Cherubin31 a écrit « ..., aucun bang supersonique, par contre il y eu ce flash vers (environ) le milieu de la trajectoire de cette accélération fulgurante, entre les deux endroits, ... ». Fort intéressant, clairement au milieu du parcours, l'engin a « réorienté » à 180° son système moteur afin de décélérer. Cela a quand même pris un certain temps pour cette manœuvre, assez pour être perceptible par le témoin. Peut-être qu'ils n'étaient pas pressés par le temps et qu'ils peuvent faire beaucoup plus vite en urgence (ex. quand un avion de chasse les prend en interception).
La couleur similaire avant et après le « virement » au point milieu démontre que l'accélération et la décélération furent du même ordre de grandeur.
Je n'ai malheureusement pas le génie des gens du GEPIAN pour interpréter le témoignage de Cherubin31. Qu'ont-ils dit à ce sujet ?
La couleur similaire avant et après le « virement » au point milieu démontre que l'accélération et la décélération furent du même ordre de grandeur.
Je n'ai malheureusement pas le génie des gens du GEPIAN pour interpréter le témoignage de Cherubin31. Qu'ont-ils dit à ce sujet ?
- Cherubin31Légende du forum
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Re: Comment expliquer les changements de caps stupéfiants des ovnis?
Ven 24 Mar 2023, 00:38
Que j'ai réellement vu quelque chose d'inexplicable, évoquant même une potentielle présence d'un engin exotique.
Ce que j'avais bien compris.
Mais je voulais une levée de doute de leur part, et je voulais surtout une confirmation radar de l'Armée. Mais cette dernière n'a rien divulguée, mais en fait je me demande si elle a été interrogée par le Geipan.
Par contre le CNES a pu interroger le système G.R.A.V.E.S. et on m'a répondu que ce dernier n'a rien apporté (système dont les données sont accessibles par le CNES, mais je ne sais pas si ces donnée sont divulgable en-dessous des 400 km d'altitude, car j'ai appris par la suite que tout ce qui est en-dessous des 400 km d'altitude est régenté par l'Armée, donc je ne sais pas si lorsque l'on m'a dit qu'il n'y avait rien eu au niveau de la détection du système G.R.A.V.E.S. , est-ce que c'était y compris en-dessous des 400 km d'altitude (ce que je doute car c'est de
la données "théoriquement" supervisée par l'Armée).
Par contre, l'enquêteur du Geipan m'a dit qu'ils n'ont pas fait de demande de données détection radar auprès de l'armée.
C'est là que je n'ai pas compris leur raisonnement, alors qu'il y a eu une escadrille aérienne envoyée sur les lieux, c'est donc simple de comprendre qu'il y a eu de la donnée radar en matière de détection, et même suffisamment conséquente pour envoyer une chasse aérienne.
Et c'est à partir de ce moment, c'est à dire à partir du moment où j'ai demandé avec un peu d'insistance, s'il était possible de demander à l'Armée ce qu'ils ont en matière de donnée radar, que l'enquêteur m'a écrit que les échanges entre moi et le Geipan, étaient arrivées à leur terme.
J'ai trouvé cela particulièrement fuyant pour un organisme d'état qui indique sur son site que même l'armée peut fournir de la donnée radar militaire pour certaines observations.
Parce qu'effectivement, après avoir fait des recherches, j'ai trouvé un témoignage (mais je ne me souviens plus duquel) dans lequel il s'est avéré que l'Armée a fourni de la donnée radar pour une observation (je ne sais plus laquelle) mais que les résultats de donnée radar avaient indiqué qu'il s'agissait d'un vol d'oies sauvages ou d'oiseaux (je ne me souviens plus) mais cette fourniture de données radar avait donc bien était effectuée par l'armée pour une observation qui se trouvait à des centaines de kilomètres du CNES (de mémoire il me semble que c'était très loin de la région où je suis).
Par contre je ne comprends pas pourquoi le CNES ou le Geipan ne demande pas à l'armée de fournir de la donnée radar pour cette observation qui a eu lieu à 35 km du CNES (à vol d'oiseau).
Ça me paraît complètement illogique, vu l'observation en elle même et vu les conséquences suite à cette observation.
Et comme je voulais qu'il soit fourni un maximum de renseignements pour cette observation et que je me retrouvais seul témoin à pouvoir raconter dans les détails tout ce que j'ai vu, j'ai donc choisi d'informer le Geipan, que je n'accepterai pas que mon observation soit publiée, s'il n'y a pas de donnée radar venant la confirmer.
De là, le Geipan m'a poliment dit "au revoir".
Ce que j'avais bien compris.
Mais je voulais une levée de doute de leur part, et je voulais surtout une confirmation radar de l'Armée. Mais cette dernière n'a rien divulguée, mais en fait je me demande si elle a été interrogée par le Geipan.
Par contre le CNES a pu interroger le système G.R.A.V.E.S. et on m'a répondu que ce dernier n'a rien apporté (système dont les données sont accessibles par le CNES, mais je ne sais pas si ces donnée sont divulgable en-dessous des 400 km d'altitude, car j'ai appris par la suite que tout ce qui est en-dessous des 400 km d'altitude est régenté par l'Armée, donc je ne sais pas si lorsque l'on m'a dit qu'il n'y avait rien eu au niveau de la détection du système G.R.A.V.E.S. , est-ce que c'était y compris en-dessous des 400 km d'altitude (ce que je doute car c'est de
la données "théoriquement" supervisée par l'Armée).
Par contre, l'enquêteur du Geipan m'a dit qu'ils n'ont pas fait de demande de données détection radar auprès de l'armée.
C'est là que je n'ai pas compris leur raisonnement, alors qu'il y a eu une escadrille aérienne envoyée sur les lieux, c'est donc simple de comprendre qu'il y a eu de la donnée radar en matière de détection, et même suffisamment conséquente pour envoyer une chasse aérienne.
Et c'est à partir de ce moment, c'est à dire à partir du moment où j'ai demandé avec un peu d'insistance, s'il était possible de demander à l'Armée ce qu'ils ont en matière de donnée radar, que l'enquêteur m'a écrit que les échanges entre moi et le Geipan, étaient arrivées à leur terme.
J'ai trouvé cela particulièrement fuyant pour un organisme d'état qui indique sur son site que même l'armée peut fournir de la donnée radar militaire pour certaines observations.
Parce qu'effectivement, après avoir fait des recherches, j'ai trouvé un témoignage (mais je ne me souviens plus duquel) dans lequel il s'est avéré que l'Armée a fourni de la donnée radar pour une observation (je ne sais plus laquelle) mais que les résultats de donnée radar avaient indiqué qu'il s'agissait d'un vol d'oies sauvages ou d'oiseaux (je ne me souviens plus) mais cette fourniture de données radar avait donc bien était effectuée par l'armée pour une observation qui se trouvait à des centaines de kilomètres du CNES (de mémoire il me semble que c'était très loin de la région où je suis).
Par contre je ne comprends pas pourquoi le CNES ou le Geipan ne demande pas à l'armée de fournir de la donnée radar pour cette observation qui a eu lieu à 35 km du CNES (à vol d'oiseau).
Ça me paraît complètement illogique, vu l'observation en elle même et vu les conséquences suite à cette observation.
Et comme je voulais qu'il soit fourni un maximum de renseignements pour cette observation et que je me retrouvais seul témoin à pouvoir raconter dans les détails tout ce que j'ai vu, j'ai donc choisi d'informer le Geipan, que je n'accepterai pas que mon observation soit publiée, s'il n'y a pas de donnée radar venant la confirmer.
De là, le Geipan m'a poliment dit "au revoir".
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