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- Jeanmi-25Légende du forum
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Re: Propulsion par champ d'accélération et ingénierie inverse
Jeu 14 Déc 2023, 10:49
Trois couches pour le hublot: six interfaces air-verre qui séparent les couleurs comme des prismes successifs, réflexions et diffractions multiples, du verre qui n'est pas de qualité optique, image très dégradée.
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- François LéonardLégende du forum
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Sur la résolution des photos de l’OVNI du document
Jeu 14 Déc 2023, 16:58
La meilleure évaluation que l’on peut faire de la résolution de ces photos est d’observer la différence entre les différentes photographies. Je n’ai qu’un master en optique du département de génie physique de l’École Polytechnique de Montréal, mais c’est toujours mieux que rien.
Sur le document (http://dx.doi.org/10.13140/RG.2.2.12301.51689) la différence entre les photographies est notable. Du fait que l’objet est petit et proche du centre de l’axe de l’objectif, les aberrations chromatiques apparaissent uniformes (i.e. elles ne sont pas accentuées dans un des coins de l’objet). Un des premiers types d’aberrations chromatiques est celle générée par un focus différent pour les différentes longueurs d’onde étant donné la réfraction des différents milieux traversés par la lumière avant jusqu’à la formation de l’image sur le récepteur. Comme ici on est en ouverture moyenne faible (f8) avec l’ajustement à l’infini, la profondeur de champ étant très grande, les différentes longueurs d’onde arrivent tous bien au focus sur le récepteur. Notons aussi que les différentes couches translucides du hublot furent traversées perpendiculairement par la lumière du fait de la position de l’objet de la photo, ce qui a réduit l’effet des réflexions multiples dans ces couches et entre ces couches. Sur ce dernier point, on ne constate pas d’effet de réflexions multiples, sauf, peut-être pour la photo à gauche en bas de la figure 3, soit celle où l’objet accélère entre deux positions. Sur cette dernière, nous avons l’impression d’une image dédoublée.
On élimine aussi l’effet de la turbulence de l’air sur la déformation de l’image. À cette altitude, en vol de croisière et pointant loin de la sortie des réacteurs, la variation de densité optique de l’air est bien en deçà de ce que peut percevoir ce type de caméra.
Si l’on s’attarde sur l’effet le plus notable, soit celui de la dispersion générée par les trois couches de polymère translucide et de la saleté présente sur celles-ci, cette dispersion revient à ajouter un «blur» ou flou, sur l’image (i.e. une convolution bidimensionnelle de la fonction de transfert équivalente du flou). C’est ce flou qui domine l’altération de l’image. Ce flou variant en fonction de la longueur d’onde photonique (la couleur), on devrait percevoir un peu cet effet sur le pourtour (symétriques) des lignes et boules blanches. Or, ce type d’aberration chromatique symétrique n’apparaît pas de façon évidente. Par contre, les couleurs non symétriques et locales, comme les teintes vertes sur la photo du centre en bas de la figure 2, sont représentatives de l’image et non générées par une aberration.
À un collègue professeur universitaire qui me disait que ces photographies ne valent rien parce qu’elles sont floues, j’ai répondu « c’est le phénomène qui est flou, bien plus que la résolution des images ».
Sur le document (http://dx.doi.org/10.13140/RG.2.2.12301.51689) la différence entre les photographies est notable. Du fait que l’objet est petit et proche du centre de l’axe de l’objectif, les aberrations chromatiques apparaissent uniformes (i.e. elles ne sont pas accentuées dans un des coins de l’objet). Un des premiers types d’aberrations chromatiques est celle générée par un focus différent pour les différentes longueurs d’onde étant donné la réfraction des différents milieux traversés par la lumière avant jusqu’à la formation de l’image sur le récepteur. Comme ici on est en ouverture moyenne faible (f8) avec l’ajustement à l’infini, la profondeur de champ étant très grande, les différentes longueurs d’onde arrivent tous bien au focus sur le récepteur. Notons aussi que les différentes couches translucides du hublot furent traversées perpendiculairement par la lumière du fait de la position de l’objet de la photo, ce qui a réduit l’effet des réflexions multiples dans ces couches et entre ces couches. Sur ce dernier point, on ne constate pas d’effet de réflexions multiples, sauf, peut-être pour la photo à gauche en bas de la figure 3, soit celle où l’objet accélère entre deux positions. Sur cette dernière, nous avons l’impression d’une image dédoublée.
On élimine aussi l’effet de la turbulence de l’air sur la déformation de l’image. À cette altitude, en vol de croisière et pointant loin de la sortie des réacteurs, la variation de densité optique de l’air est bien en deçà de ce que peut percevoir ce type de caméra.
Si l’on s’attarde sur l’effet le plus notable, soit celui de la dispersion générée par les trois couches de polymère translucide et de la saleté présente sur celles-ci, cette dispersion revient à ajouter un «blur» ou flou, sur l’image (i.e. une convolution bidimensionnelle de la fonction de transfert équivalente du flou). C’est ce flou qui domine l’altération de l’image. Ce flou variant en fonction de la longueur d’onde photonique (la couleur), on devrait percevoir un peu cet effet sur le pourtour (symétriques) des lignes et boules blanches. Or, ce type d’aberration chromatique symétrique n’apparaît pas de façon évidente. Par contre, les couleurs non symétriques et locales, comme les teintes vertes sur la photo du centre en bas de la figure 2, sont représentatives de l’image et non générées par une aberration.
À un collègue professeur universitaire qui me disait que ces photographies ne valent rien parce qu’elles sont floues, j’ai répondu « c’est le phénomène qui est flou, bien plus que la résolution des images ».
- Jeanmi-25Légende du forum
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Re: Propulsion par champ d'accélération et ingénierie inverse
Sam 16 Déc 2023, 14:57
Bon, je sais pas, mais votre prof d'université pourrait bien avoir raison.
Les conditions de prise de vue sont particulièrement mauvaises dans un jet à 800 km/h. Vous pouvez avoir vu, au loin, les lumières d'un autre jet qui circule dans un couloir aérien parallèle au vôtre.
Sur Flight Radar, les jets se suivent ou volent parfois de concert dans les mêmes couloirs aériens transatlantiques.
Ensuite, les aberrations optiques et chromatiques, le diaphragme F/8, le flux d'air turbulent le long du fuselage, les masses d'air non homogènes traversées font le reste.
C'est une option à ne pas écarter. JMi
Les conditions de prise de vue sont particulièrement mauvaises dans un jet à 800 km/h. Vous pouvez avoir vu, au loin, les lumières d'un autre jet qui circule dans un couloir aérien parallèle au vôtre.
Sur Flight Radar, les jets se suivent ou volent parfois de concert dans les mêmes couloirs aériens transatlantiques.
Ensuite, les aberrations optiques et chromatiques, le diaphragme F/8, le flux d'air turbulent le long du fuselage, les masses d'air non homogènes traversées font le reste.
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- François LéonardLégende du forum
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Sur la résolution des photos de l’OVNI du document
Sam 16 Déc 2023, 17:28
Dans la conclusion de CR AERO SWR (SEA) MANCHE LA (01.07) 28.06.2006, document qui n'est toujours pas mis à la disposition du public, c'est effectivement la présence d'un avion de ligne en trajectoire parallèle qui est proposée comme explication la plus plausible. Le problème est qu'usuellement, la réflexion de la dérive domine alors que sur les photographies rapportées (http://dx.doi.org/10.13140/RG.2.2.12301.51689), la dérive n'est pas visible. Autre problème est la ligne noire horizontale présente sur plusieurs images difficiles à expliquer avec la réflexion. Enfin, il manque la source de lumière puisque le Soleil n'était pas levé.
La meilleure explication «poudre aux yeux» que je peux avancer est la présence d'une planète (Jupiter, Mars, Vénus ou Saturne) qui en raison de la turbulence de l’air autour de l’appareil donne ce résultat où l'image de la planète barbouille le récepteur avec une trajectoire du type spirographe. On doit voir les vortex et les fluctuations d’écoulements comme des objets transparents présentant une variation dynamique de la densité optique de l’air. Un peu comme les grands télescopes au sol qui sont limités par les turbulences de l’air, l’observation en vol au travers un hublot a aussi ses limitations, particulièrement pour les hublots situés en arrière des ailes. Dans le cas d’une planète réfléchissant le soleil, la source s’apparente à une source presque ponctuelle (un petit disque). Les turbulences viennent alors déplacer la position apparente de la source ponctuelle pour générer une forme géométrique similaire à un spirographe avec une plume large. La largeur de la plume correspond à la largeur de la source non perturbée, largeur augmentée par la diffusion, fonction de son intensité : si la «plume» reste un moment au même point, l'intensité augmente au point de lecture du récepteur, la largeur de la source augmente donc par la diffusion d'une plus grande intensité (ce qui explique les boules sur les photos). La forme géométrique est partiellement reproductible telles les turbulences traversées par l’image de la source jusqu’à la caméra. Les variations de la distance apparente du PAN, dont l’éloignement subit mentionné par le témoin, sont en fait, selon toute vraisemblance, des légers changements de cap et d’altitude de l’avion du témoin qui momentanément ont modifié le régime des turbulences. Ces changements temporaires, voire transitoires, de régimes impactent la forme et la dimension de la perturbation optique le temps que l’écoulement de l’air se stabilise après le changement de cap.
Une optique parfaitement stabilisée et au foyer ne peut corriger ces perturbations optiques. Les plus petits détails des photographies rapportées montrent une dimension angulaire de la source qui situe l’avion réfléchissant à une distance correspondant à un couloir aérien assez éloigné, soit bien plus que les 10 milles nautiques correspondant à la largeur d’un couloir.
Cette dernière explication est de la poudre aux yeux, car cet effet serait beaucoup plus important proche du sol, là où l'air est plus dense et turbulent, ce que l'on n'observe pas. Il y a toujours aussi la ligne noire horizontale qui ne peut exister s'il y a trajectoire du type spirographe. On retrouve souvent des images de type spirographe dans les photos et films rapporté par les témoins. La plupart du temps, on peut suivre la plume créant le motif, ce qui n'est pas le cas dans le témoignage que je rapporte, bien au contraire.
La meilleure explication «poudre aux yeux» que je peux avancer est la présence d'une planète (Jupiter, Mars, Vénus ou Saturne) qui en raison de la turbulence de l’air autour de l’appareil donne ce résultat où l'image de la planète barbouille le récepteur avec une trajectoire du type spirographe. On doit voir les vortex et les fluctuations d’écoulements comme des objets transparents présentant une variation dynamique de la densité optique de l’air. Un peu comme les grands télescopes au sol qui sont limités par les turbulences de l’air, l’observation en vol au travers un hublot a aussi ses limitations, particulièrement pour les hublots situés en arrière des ailes. Dans le cas d’une planète réfléchissant le soleil, la source s’apparente à une source presque ponctuelle (un petit disque). Les turbulences viennent alors déplacer la position apparente de la source ponctuelle pour générer une forme géométrique similaire à un spirographe avec une plume large. La largeur de la plume correspond à la largeur de la source non perturbée, largeur augmentée par la diffusion, fonction de son intensité : si la «plume» reste un moment au même point, l'intensité augmente au point de lecture du récepteur, la largeur de la source augmente donc par la diffusion d'une plus grande intensité (ce qui explique les boules sur les photos). La forme géométrique est partiellement reproductible telles les turbulences traversées par l’image de la source jusqu’à la caméra. Les variations de la distance apparente du PAN, dont l’éloignement subit mentionné par le témoin, sont en fait, selon toute vraisemblance, des légers changements de cap et d’altitude de l’avion du témoin qui momentanément ont modifié le régime des turbulences. Ces changements temporaires, voire transitoires, de régimes impactent la forme et la dimension de la perturbation optique le temps que l’écoulement de l’air se stabilise après le changement de cap.
Une optique parfaitement stabilisée et au foyer ne peut corriger ces perturbations optiques. Les plus petits détails des photographies rapportées montrent une dimension angulaire de la source qui situe l’avion réfléchissant à une distance correspondant à un couloir aérien assez éloigné, soit bien plus que les 10 milles nautiques correspondant à la largeur d’un couloir.
Cette dernière explication est de la poudre aux yeux, car cet effet serait beaucoup plus important proche du sol, là où l'air est plus dense et turbulent, ce que l'on n'observe pas. Il y a toujours aussi la ligne noire horizontale qui ne peut exister s'il y a trajectoire du type spirographe. On retrouve souvent des images de type spirographe dans les photos et films rapporté par les témoins. La plupart du temps, on peut suivre la plume créant le motif, ce qui n'est pas le cas dans le témoignage que je rapporte, bien au contraire.
- Jean-Marc WatUfologue/enquêteur
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Re: Propulsion par champ d'accélération et ingénierie inverse
Sam 16 Déc 2023, 18:14
Bonjour
C'est la difficulté de l'ufologie. Chaque signalement individuel est potentiellement remis en question quelle que soit sa qualité. Effectivement, on ne peut pas prendre les éléments d'un témoignage et même des photos associées comme étant nécessairement de type ovni. Toutefois même si l'observation (ou les observations choisies) ne remplis pas tous les critères de recevabilité, on peut pour autant y trouver inspiration.
Faisons simplement abstraction de l'observation de M. Léonard, et de celle de la garde cotière de 1952 (prise derrière une vitre - on peut postuler des reflets, d'un éclairage à l'interrieur de la pièce, sans avoir de témoignages détaillés concomitant). L'essentiel de son texte consite à proposer une solution -encore partielle- au déplacement de ces objets dans l'atmosphère et à leur capacité à voyager dans l'espace y compris sur de grandes distance interstellaire. Je vous propose de concentrer vos réflexions là autour.
A+
C'est la difficulté de l'ufologie. Chaque signalement individuel est potentiellement remis en question quelle que soit sa qualité. Effectivement, on ne peut pas prendre les éléments d'un témoignage et même des photos associées comme étant nécessairement de type ovni. Toutefois même si l'observation (ou les observations choisies) ne remplis pas tous les critères de recevabilité, on peut pour autant y trouver inspiration.
Faisons simplement abstraction de l'observation de M. Léonard, et de celle de la garde cotière de 1952 (prise derrière une vitre - on peut postuler des reflets, d'un éclairage à l'interrieur de la pièce, sans avoir de témoignages détaillés concomitant). L'essentiel de son texte consite à proposer une solution -encore partielle- au déplacement de ces objets dans l'atmosphère et à leur capacité à voyager dans l'espace y compris sur de grandes distance interstellaire. Je vous propose de concentrer vos réflexions là autour.
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- François LéonardLégende du forum
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Comment augmenter la visibilité du document
Sam 23 Déc 2023, 00:00
Questions courtes.
Je songe à le mettre en lien sur Wikipédia, mais il est à peu près certain que le modérateur va empêcher la modification.
Bref, si vous avez des suggestions de sites où je peux poster le lien, elles sont la bienvenue.
Merci à vous de vous intéresser à ce sujet, bon temps des fêtes,
François Léonard
- Le document proposé (http://dx.doi.org/10.13140/RG.2.2.12301.51689) vaut-il la peine d'y investir des efforts pour le diffuser ?
- Y a-t-il des correctifs significatifs à y apporter.
- Quelles actions seraient judicieuses pour augmenter la visibilité du document ?
Je songe à le mettre en lien sur Wikipédia, mais il est à peu près certain que le modérateur va empêcher la modification.
Bref, si vous avez des suggestions de sites où je peux poster le lien, elles sont la bienvenue.
Merci à vous de vous intéresser à ce sujet, bon temps des fêtes,
François Léonard
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Ingénierie inverse des OVNI
Ven 02 Fév 2024, 19:59
J'ai jugé intéressant cet organisme voué en partie à l'Ingénierie inverse des OVNIs :
https://www.explorescu.org/
Je leur avais transmis mon document (voir les réponses précédentes) en décembre dernier, document qui a suscité leur intérêt, mais je n'ai pas eu de nouvelle depuis.
Si l'un d'entre vous a un site web similaire à me suggérer, il serait bienvenu qu'il l'affiche dans la prochaine réponse ou qu'il me le transmette par messagerie privée.
A+ et Merci !
https://www.explorescu.org/
Je leur avais transmis mon document (voir les réponses précédentes) en décembre dernier, document qui a suscité leur intérêt, mais je n'ai pas eu de nouvelle depuis.
Si l'un d'entre vous a un site web similaire à me suggérer, il serait bienvenu qu'il l'affiche dans la prochaine réponse ou qu'il me le transmette par messagerie privée.
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- Jeanmi-25Légende du forum
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RétroiIngenerie
Sam 03 Fév 2024, 09:19
Ah oui, ça existe.
Mais les gars qui font ça, il faut leur apporter l'appareil en question (ou le logiciel à étudier), pas sa photo.
Deus ex Silicium, sur YouTube, c'est un bon exemple, pour le matériel électronique. Il est extraordinaire! Il démonte n'importe quoi, il analyse les circuits, leurs fonctions.
JMi
Mais les gars qui font ça, il faut leur apporter l'appareil en question (ou le logiciel à étudier), pas sa photo.
Deus ex Silicium, sur YouTube, c'est un bon exemple, pour le matériel électronique. Il est extraordinaire! Il démonte n'importe quoi, il analyse les circuits, leurs fonctions.
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