- HocineEquipe du forum
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Re: Les petits extraterrestres gris existent-ils vraiment ?
Ven 25 Juil 2014, 19:29
sylvain vella a écrit:estrella a écrit:si ils existent, sont ils hostiles ou non?
pour moi c'est le plus important
La réponse est en suspend , comme le reste , moi j 'ai entrepris mes propres recherches sur ce point , j'en ai tiré mes conclusions personnelles , je vous invite à le faire.
Non pas parce que je ne veut pas vous répondre , mais parce que on a aucune preuve formel de l'existence de visiteurs , alors leurs intentions ...
Mais en cherchant bien , vous devriez vous faire votre propre opinion .
Quelques fois on entreprend ses propres recherches mais nous avons besoin des idées des autres, leurs opinions aussi avant de tirer ses propres conclusions .
C’est vrai il n’y a pas de preuves solides qui sont remis à la population ou dans les forums parlant de ces affaires ovnis et extraterrestres, mais je crois que celui qui détiendra des preuves indiscutables, il ne peut prendre le risque facilement de se trouver seul dans une situation « délicate » ou le témoin se sentira aussi passer d’une vie normale de tout les jours à une situation ou il ne sera jamais « tranquille ».
S’il y a des preuves sérieuses à déclarer, elles doivent être des preuves qui elles doivent êtres pratiquement vérifiées sur place, les preuves sérieuses ne devront pas êtres des preuves volatiles, qui s’évaporent ou qui elles ne laissent pas de trace à une enquête .
La meilleure information sur ces ovnis ou extraterrestres ce n’est pas les observations dans le ciel qui elles ne sont pas prises très au sérieux , mais je crois que c’est celle ou on déniche par exemple des installations cachées comme si elles sont spécialement conçus pour réceptionner des vaisseaux aériens qui ne sont pas terrestres , mais là les choses prendront une autre tournure , ce n’est plus une affaire extraterrestre seulement , ces êtres d’un autre monde ne viendront pas sur terre pour construire des installations en béton sur Terre pour leur ovnis !!! C’est un exemple de ce que je voulais dire par là.
Quant à moi comme je l’est déjà dit dans un autre post , que depuis une cinquantaine d’années que je me suis un peu trouver dans le rôle d’un chasseur d’ovni , j’ai appris beaucoup de choses sur ces ovnis , et je me suis fais aussi une opinion et tirer les conclusions mais à partir de cette longue expérience de ces longues années à les observer et de d’autres choses aussi , quelque fois un petit événement dans la vie et on se trouve « engager » des années à ces affaires d’ovnis .
- zeus78Participation exceptionnelle
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Re: Les petits extraterrestres gris existent-ils vraiment ?
Mer 20 Aoû 2014, 15:55
neo17 a écrit:zeus78 a écrit:estrella a écrit:il y a pleins d' hypothèses avec les gris,certains disent ils sont hostiles,d' autres gentils.
perso je ne sais pas.
si ils étaient si hostiles,n' y aurait il pas déjà eu une invasion,et une extermination?
je sait pas si vous avez lu Etoiles sombres d'antons park (tres bon bouquin au passage)
les gris seraient des clones crées par les reptiliens pour les taches qu'ils ne souhaitent pas effectuer.. C'est un roman mais cette théorie est crédible.. en gros le gris est un esclave
J'ose espérer que c'est du second degré ! Vous allez bientôt nous parler de Bob Dean. Allez un peu de sérieux SVP.
vu votre réaction et si j'étais susceptible je pourrais être vexé .. Mais prétendre qu'il n'y aurait qu'UNE race ET serait comme de prétendre que nous sommes seuls non?
moi je n'en sais pas plus que vous mais certaines traces du passé laissent songeur... alors je ne dis pas que c'est vrai ni impossible.. j'observe c'est tout :)
- thierry54Légende du forum
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Re: Les petits extraterrestres gris existent-ils vraiment ?
Ven 22 Aoû 2014, 09:59
Etant donné la grande biodiversité de notre planète et la possible existence de millions de planètes semblables à la Terre dans notre galaxie ,l'existence d'êtres gris sur l'une d'elle ne fait aucun doute.
Je pense que les gens bloquent sur le terme ET,ils pensent toujours dans un référentiel Terre/Homme.Les adeptes de livres de sciences fictions sont peut être plus aptes à en sortir.
Tous les atomes lourds viennent de l'explosion d'étoiles ,nous sommes tous constitués de poussières d'étoiles,nous sommes tous des ET.
La Terre ne nous appartient pas ,c'est nous qui lui appartenons.C'est à nous de grandir,on ne reste pas toute sa vie chez sa mère.
Maintenant,que des êtres gris aient atteint le stade de la sortie de leur planète mère et soient venus nous faire un coucou ?
Soit nous les avons attiré,ils sont capables de détecter des signaux non naturels issus de la Terre.
Soit nous sommes sur un axe de passage vers une de leurs colonies et ils ont installés une station essence près de chez nous.
Soit nous sommes dans leur zone d'influence
Je pense que les gens bloquent sur le terme ET,ils pensent toujours dans un référentiel Terre/Homme.Les adeptes de livres de sciences fictions sont peut être plus aptes à en sortir.
Tous les atomes lourds viennent de l'explosion d'étoiles ,nous sommes tous constitués de poussières d'étoiles,nous sommes tous des ET.
La Terre ne nous appartient pas ,c'est nous qui lui appartenons.C'est à nous de grandir,on ne reste pas toute sa vie chez sa mère.
Maintenant,que des êtres gris aient atteint le stade de la sortie de leur planète mère et soient venus nous faire un coucou ?
Soit nous les avons attiré,ils sont capables de détecter des signaux non naturels issus de la Terre.
Soit nous sommes sur un axe de passage vers une de leurs colonies et ils ont installés une station essence près de chez nous.
Soit nous sommes dans leur zone d'influence
- Alain2002Equipe du forum
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Re: Les petits extraterrestres gris existent-ils vraiment ?
Sam 23 Aoû 2014, 18:04
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S'il y a des "biogènes" (des êtres engendrés, comme nous, par un processus biologique, stade actuel d'une longue évolution) parmi les ET des rencontres du troisième type, alors leur morphologie doit respecter des règles fondamentales :
a) Ils doivent être adaptés au milieu naturel de la planète dont ils sont issus, plus précisément à la niche écologique de leurs ancêtres, comme nous qui sommes toujours adaptés à escalader des rochers et accessoirement à la course bipède, au prix d'une capacité d'équilibre considérable. Cette faculté d'escalader les rochers permettaient à nos ancêtres anthropopithèques d'échapper aux prédateurs quadrupèdes, beaucoup plus rapides à la course, en atteignant des grottes sur des parois rocheuses. Ce fut une nécessité vitale après que les arbres de la grande forêt, qui avaient heureusement permis à leurs propres lointains ancêtres de trouver un milieu de vie favorable (nourriture et protection contre la plupart des prédateurs), aient disparu, laissant la place, du fait d'une plus grande sécheresse climatique, à la savane africaine. Laquelle subsiste toujours sur une grande partie du territoire.
C'est alors que ces ancêtres ont appris à lancer d'en haut des pierres (comme le feront beaucoup plus tard les défenseurs des châteaux-forts !) sur des prédateurs assez imprudents pour tenter l'escalade si la pente de la paroi accédant au refuge n'était pas trop forte.
Du haut de la grotte et grâce à leur excellente vision binoculaire couplée à une très puissante zone d'analyse des images dans l'arrière du cerveau, leur permettant de repérer un animal même immobile, ils pouvaient surveiller la savane. Aux instant propices, ils pouvaient descendre de leur abri et faire des incursions dans la savane nourricière. Toujours en groupe bien sûr, les plus petits portés par les mères, tandis que les mâles s'avançaient en premier, gros bâton à la main ou pierre à la main, cette main dont le pouce était devenu opposable aux autres doigts et qui permettait déjà d'avoir des prises solides et sûres lors de l'escalade de la paroi rocheuse.
Je pense que les fauves après des déconvenues lors d'attaques de ces groupes d'hominidés solidaires ont assez vite appris à leurs jeunes à éviter ces proies dangereuses pour d'autres plus inoffensives. Nos ancêtres obtenaient de la savane une nourriture d'omnivores, viandes et végétaux, leur permettant d'alimenter en protéines et en glucides un cerveau en croissance progressive au fil de milliers de générations et très "gourmand".
La grotte était située obligatoirement près de l'eau douce. Le plus souvent sans doute, celle-ci était fournie par la rivière en contrebas dont un méandre avait à son extérieur, par le mécanisme de l'érosion fluviale créé dans une roche dure, vraisemblablement du calcaire, la falaise plus ou moins abrupte contenant la grotte refuge. Pourquoi du calcaire ? Parce que les pluies acides, même légèrement, creusent dans le massif karstique des volumes vides - qui seront ensuite peuplés de stalagmites et stalactites- et que l'érosion fluviale fera apparaître un jour sur la paroi de la falaise.
Bien entendu un tel habitat était rare. Il ne pourra être quitté par les hominidés pour la savane même, qu'après que le feu, alimenté en permanence, leur assure une défense par dissuasion sur les fauves, qui ont l'instinct de fuir l'odeur de la fumée et la vue des flammes, normalement annonciatrices d'un catastrophique incendie de savane.
Quelle niche écologique ont occupé les ancêtres lointains des ET biologiques ?
Je crois que nous ne pouvons que nous livrer à des spéculations sur ce sujet ... mais il est clair qu'il y en a eu une, forcément, et quelle a modelé, comme pour nous, l'allure morphologique de ceux qui vivent actuellement. Même si, accédant à un niveau de science supérieur, l'espèce ait pu modifier cet aspect par des manipulations génétiques.
b) Il faut à toute forme de vie dans l'univers, l'accès à une source d'énergie. Comme la vie n'a pu commencer, spontanément, que sous forme de monocellulaires microscopiques, la première source d'énergie n'a pu être que la transformation du rayonnement de l'étoile de la planète par une substance du type chlorophylle ou rhodopsine en énergie chimique.
L'autre source d'énergie, celle du volcanisme, peut également avoir joué un rôle comme on l'a constaté au fond de nos océans avec les "fumeurs noirs". Mais les animaux utilisant cette énergie ne pourraient pas vivre en surface et encore moins coloniser la terre ferme.
Dans les deux cas, il y a transformation en énergie chimique, par transfert d'électrons modifiant la structure de molécules proches de l'instabilité ("réversibilité des réactions chimiques").
Ces réactions de molécules complexes et fragiles, y compris les indispensables enzymes, ne peuvent avoir lieu que dans un solvant. Le plus intéressant à tous égards est clairement l'oxyde de dihydrogène, H2O, autrement appelé eau, qui depuis la formation initiale de la vie dans l'océan primordial, est le milieu de ces réactions chimiques complexes.
La molécule d'eau recèle une énigme quantique qui n'a pas été résolue à ce jour, je crois, à savoir que les deux protons constituant les deux noyaux des deux atomes d'hydrogène, donc de même charge électrique positive, au lieu d'être en opposition totale de part et d'autre de l'atome d'oxygène comme cela se produit pour d'autre molécules, forment un angle constant de précisément 104,45° avec ce dernier.
Cette curieuse propriété explique pourquoi l'eau est l'élément qui possède la plus grande chaleur massique. Elle pourrait être aussi à l'origine du succès des expériences menées par le Prix Nobel, le professeur Montagnier, sur la "mémoire de l'eau". Cette particularité quantique pourrait faire jouer à l'eau un rôle de catalyseur ayant favorisé l'émergence de la vie en son sein.
Il semble bien que l'oxygène, qui est par ailleurs un composant de l'eau - dont le pH est neutre - soit le meilleur élément pour fournir de l'énergie par oxydation de matière organique, à un organisme vivant dans l'atmosphère de sa planète.
Même si le chlore a pu être envisagé par les écrivains de science-fiction comme une alternative, oubliant que HCl, l'acide chlorhydrique, est un acide fort, destructeur de molécules organiques ne peut pas convenir comme solvant. Et que le chlore est plus rare dans l'univers que l'oxygène.
L'énergie nucléaire avec ses émissions de neutrons et ses rayons gamma, auraient détruit les fragiles molécules organiques composant tous les êtres vivants (à l'exception de la "coquille", de la "carapace", des "os" pour ceux qui en sont munis). Elle ne peut pas être la source originelle d'énergie des êtres biologiques.
L'évolution a ensuite fait apparaître des prédateurs recueillant cette énergie chimique synthétisée par les végétaux après une plus ou moins longue chaîne alimentaire.
Il est très vraisemblable que toutes les espèces ET dominant sans conteste la pyramide de vie de leur planète, jusqu'à atteindre la stade de civilisation, soient comme l'homme, "super-prédatrices".
Les "petits gris" paraissent-ils respecter ces règles imposées aux êtres biologiques?
Je rappelle que leur corps doit contenir une proportion considérable d'eau et doit être capable au niveau cellulaire d'oxyder de la matière organique afin d'obtenir de l'énergie.
Pour les grands pluricellulaires qu'ils seraient, cela signifierait trois grandes surfaces d'échanges. La première pour absorber la matière organique indispensable, la deuxième pour absorber l'oxygène de la réaction d'oxydation, la troisième pour évacuer dans l'environnement à fin de recyclage la matière organique résultant de l'oxydation et devenue déchet. Autrement dit, ils leur faudrait un système digestif, un système pulmonaire et un système urinaire avec deux ouvertures sur le dehors pour la système digestif, une ouverture pour le système pulmonaire et une autre pour le système urinaire.
Or selon l'archétype du "petit gris", ces quatre ouvertures-orifices semblent ne pas exister.
Un être biologique ayant une tête aussi grosse, de densité proche de celle de l'eau, comme d'ailleurs le reste du corps, aurait le centre de gravité extrêmement haut : dans ces conditions, rester bipède avec de petits pieds relèveraient de l'exploit permanent et la course serait pratiquement impossible. Sans compter le risque de rupture du cou, beaucoup trop fin pour la tête, à chaque chute. Un tel être ne pourrait occuper sur sa planète une niche écologique en milieu hostile, surtout comme super-prédateur !
Un autre détail morphologique important donné par la source très fiable que constituent ces enfants de Harare au Zimbabwe qui virent de près, en 1994, ce qui peut être considéré comme des "petits gris", c'est la forme des "yeux".
Leur forme ovoïde allongée ne leur permet pas de pivoter pour se focaliser sur un sujet d'intérêt comme les yeux de tous les vertébrés et même des calamars de notre planète.
Ils font plutôt penser aux yeux des insectes et crustacés qui sont une agglomération d'ocelles primitifs. Or la supériorité de l'œil des vertébrés sur celui des insectes est patente. Cette impression est confortée par le fait qu'il a été "réinventé" par l'évolution pour le mollusque qu'est le calamar.
Les insectes ont des yeux fixes parce qu'ils sont de trop petite taille pour avoir des yeux mobiles avec cristallin. Mais pour un animal de la taille des petits gris, des yeux fixes et composés auraient constitué un handicap insurmontable pour l'espèce, entraînant sa rapide élimination par la sélection naturelle.
Conclusion : les "petits gris" ne peuvent pas être des animaux.
Existent-ils ?
Les témoignages des enfants du Zimbabwe obligent à dire oui. Il est à noter que depuis, ceux-ci sont devenus adultes et qu'aucun n'a révélé avoir été complice d'un complot fomenté par des grandes personnes dans un but de mystification. Et d'ailleurs, il aurait fallu qu'ils fussent de remarquables comédiens pour mimer toutes ces attitudes et façons de s'exprimer traduisant une totale sincérité pour qui sait les déchiffrer. ( J'aimerais bien les entendre aujourd'hui!)
Alors qui sont-ils ces "petits gris"?
La réponse qui supprime toutes les objections : ce sont des artefacts, des machines, des "artégènes" !
Leur grosse "tête" contient non pas un lourd cerveau mais un appareil antigravité comme celui qui équipe leur véhicule. Loin de peser sur le corps par son cou mince, il le soutient au-dessus du sol, un peu comme le fil soutient la marionnette. Dès lors, il est possible à ces "êtres" de "courir" comme l'a rapporté un enfant d'Harare, pour l'un d'entre eux : il flottait dans les airs et les "jambes" simulaient seulement la course humaine sans propulsion. D'autres témoignages francophones viennent à l'appui de cette thèse.
Bien évidemment un robot n'utilise pas le complexe mécanisme de réactions chimiques au sein de la matière organique pour obtenir de l'énergie ! Il n'a donc besoin ni de poumons, ni de système digestif ou urinaire.
Il peut résister à des accélérations gigantesques : le mécanisme déclencheur de l'explosion d'un obus de fabrication humaine résiste à plusieurs dizaines de G. Alors une machine conçue par une civilisation supérieure, ça peut encaisser combien ?
Comment fonctionnent les yeux des "petits gris" ?
Les "yeux d'insectes" sont des appareils de prises de vue constitué de milliers de sténopés améliorés. Le sténopé est le petit trou, de dimension précise, qu'on perçait autrefois dans la chambre noire pour obtenir, sans lentille, une image de l'extérieur, renversée.
En utilisant les lois de la diffraction, ce petit trou joue le rôle d'une lentille avec cet avantage que son champ de netteté va du zéro à l'infini. Son inconvénient bien sûr est qu'il est peu lumineux. Mais cette faiblesse peut être compensée par une sensibilité de la "rétine" qui reçoit l'image. Un puissant amplificateur de lumière comme les humains savent en fabriquer pour détecter l'effet Tchérenkov produit par les neutrinos qui interfèrent avec l'eau dans d'énormes piscines souterraines, peut d'ailleurs être adjoint sous forme miniature. La polarisation de la lumière est sans doute aussi détectée et le spectre de longueur d'ondes reçues couvre sans doute les UV voire les rayons X jusqu'au infrarouges en englobant bien sûr la lumière visible.
Le grand nombre de ces capteurs assurent à l'artégène une vision nette, simultanément dans toutes les directions où ils sont dirigés. Bien sûr il y a un nombre gigantesque de "pixels" à traiter à chaque instant mais les moyens informatiques des artégènes n'ont rien à voir avec ceux de nos plus puissants ordinateurs. Ils ne sont d'ailleurs à l'évidence pas séquentiels mais travaillent, un peu comme notre cerveau, "en parallèle".
Ce qu'il y a de plus troublant dans l'événement d'Harare, c'est qu'une fillette a raconté que l'un des êtres rencontrés lui avait en quelque sorte communiqué un message directement dans le cerveau.
Or la télépathie n'existe pas dans la nature. Pour la raison simple que la première espèce qui aurait été pourvue d'un organe de transmission télépathique aurait bénéficié d'un avantage tel qu'elle aurait dominé toutes les autres irrémédiablement et que de génération en génération, l'organe se serait tellement perfectionné qu'il serait devenu aussi efficace sinon plus que nos téléphones portables ! Nous sommes l'espèce ultra-dominante de la Terre et pourtant nous ne bénéficions pas de cet organe dont on ne voit pas d'ailleurs pourquoi il aurait attendu l'ère quaternaire pour apparaître !
Nous commençons, nous humains, dans quelques laboratoires à réussir les premières tentatives pour inscrire une information directement dans le cerveau. On peut imaginer dans quelques années faire beaucoup mieux et traiter ainsi certaines pathologies du psychisme. Mais nos électrodes doivent être posées sur le cuir chevelu du sujet. Visiblement les artégènes, eux, parviennent à ces stimulations complexes à distance ...
Couplée à des possibilités de créer des hologrammes non transparents, cette capacité à diriger directement les cerveaux explique à mon sens les étrangetés rapportées par les témoins de phénomène ovnis.
Tout ce qui précède mélange des faits et des hypothèses. On peut bien entendu y opposer des objections. Je les attends avec intérêt, appuyées par des contre-propositions d'explication, pour un débat fructueux.
Cordialement, Alain2002
S'il y a des "biogènes" (des êtres engendrés, comme nous, par un processus biologique, stade actuel d'une longue évolution) parmi les ET des rencontres du troisième type, alors leur morphologie doit respecter des règles fondamentales :
a) Ils doivent être adaptés au milieu naturel de la planète dont ils sont issus, plus précisément à la niche écologique de leurs ancêtres, comme nous qui sommes toujours adaptés à escalader des rochers et accessoirement à la course bipède, au prix d'une capacité d'équilibre considérable. Cette faculté d'escalader les rochers permettaient à nos ancêtres anthropopithèques d'échapper aux prédateurs quadrupèdes, beaucoup plus rapides à la course, en atteignant des grottes sur des parois rocheuses. Ce fut une nécessité vitale après que les arbres de la grande forêt, qui avaient heureusement permis à leurs propres lointains ancêtres de trouver un milieu de vie favorable (nourriture et protection contre la plupart des prédateurs), aient disparu, laissant la place, du fait d'une plus grande sécheresse climatique, à la savane africaine. Laquelle subsiste toujours sur une grande partie du territoire.
C'est alors que ces ancêtres ont appris à lancer d'en haut des pierres (comme le feront beaucoup plus tard les défenseurs des châteaux-forts !) sur des prédateurs assez imprudents pour tenter l'escalade si la pente de la paroi accédant au refuge n'était pas trop forte.
Du haut de la grotte et grâce à leur excellente vision binoculaire couplée à une très puissante zone d'analyse des images dans l'arrière du cerveau, leur permettant de repérer un animal même immobile, ils pouvaient surveiller la savane. Aux instant propices, ils pouvaient descendre de leur abri et faire des incursions dans la savane nourricière. Toujours en groupe bien sûr, les plus petits portés par les mères, tandis que les mâles s'avançaient en premier, gros bâton à la main ou pierre à la main, cette main dont le pouce était devenu opposable aux autres doigts et qui permettait déjà d'avoir des prises solides et sûres lors de l'escalade de la paroi rocheuse.
Je pense que les fauves après des déconvenues lors d'attaques de ces groupes d'hominidés solidaires ont assez vite appris à leurs jeunes à éviter ces proies dangereuses pour d'autres plus inoffensives. Nos ancêtres obtenaient de la savane une nourriture d'omnivores, viandes et végétaux, leur permettant d'alimenter en protéines et en glucides un cerveau en croissance progressive au fil de milliers de générations et très "gourmand".
La grotte était située obligatoirement près de l'eau douce. Le plus souvent sans doute, celle-ci était fournie par la rivière en contrebas dont un méandre avait à son extérieur, par le mécanisme de l'érosion fluviale créé dans une roche dure, vraisemblablement du calcaire, la falaise plus ou moins abrupte contenant la grotte refuge. Pourquoi du calcaire ? Parce que les pluies acides, même légèrement, creusent dans le massif karstique des volumes vides - qui seront ensuite peuplés de stalagmites et stalactites- et que l'érosion fluviale fera apparaître un jour sur la paroi de la falaise.
Bien entendu un tel habitat était rare. Il ne pourra être quitté par les hominidés pour la savane même, qu'après que le feu, alimenté en permanence, leur assure une défense par dissuasion sur les fauves, qui ont l'instinct de fuir l'odeur de la fumée et la vue des flammes, normalement annonciatrices d'un catastrophique incendie de savane.
Quelle niche écologique ont occupé les ancêtres lointains des ET biologiques ?
Je crois que nous ne pouvons que nous livrer à des spéculations sur ce sujet ... mais il est clair qu'il y en a eu une, forcément, et quelle a modelé, comme pour nous, l'allure morphologique de ceux qui vivent actuellement. Même si, accédant à un niveau de science supérieur, l'espèce ait pu modifier cet aspect par des manipulations génétiques.
b) Il faut à toute forme de vie dans l'univers, l'accès à une source d'énergie. Comme la vie n'a pu commencer, spontanément, que sous forme de monocellulaires microscopiques, la première source d'énergie n'a pu être que la transformation du rayonnement de l'étoile de la planète par une substance du type chlorophylle ou rhodopsine en énergie chimique.
L'autre source d'énergie, celle du volcanisme, peut également avoir joué un rôle comme on l'a constaté au fond de nos océans avec les "fumeurs noirs". Mais les animaux utilisant cette énergie ne pourraient pas vivre en surface et encore moins coloniser la terre ferme.
Dans les deux cas, il y a transformation en énergie chimique, par transfert d'électrons modifiant la structure de molécules proches de l'instabilité ("réversibilité des réactions chimiques").
Ces réactions de molécules complexes et fragiles, y compris les indispensables enzymes, ne peuvent avoir lieu que dans un solvant. Le plus intéressant à tous égards est clairement l'oxyde de dihydrogène, H2O, autrement appelé eau, qui depuis la formation initiale de la vie dans l'océan primordial, est le milieu de ces réactions chimiques complexes.
La molécule d'eau recèle une énigme quantique qui n'a pas été résolue à ce jour, je crois, à savoir que les deux protons constituant les deux noyaux des deux atomes d'hydrogène, donc de même charge électrique positive, au lieu d'être en opposition totale de part et d'autre de l'atome d'oxygène comme cela se produit pour d'autre molécules, forment un angle constant de précisément 104,45° avec ce dernier.
Cette curieuse propriété explique pourquoi l'eau est l'élément qui possède la plus grande chaleur massique. Elle pourrait être aussi à l'origine du succès des expériences menées par le Prix Nobel, le professeur Montagnier, sur la "mémoire de l'eau". Cette particularité quantique pourrait faire jouer à l'eau un rôle de catalyseur ayant favorisé l'émergence de la vie en son sein.
Il semble bien que l'oxygène, qui est par ailleurs un composant de l'eau - dont le pH est neutre - soit le meilleur élément pour fournir de l'énergie par oxydation de matière organique, à un organisme vivant dans l'atmosphère de sa planète.
Même si le chlore a pu être envisagé par les écrivains de science-fiction comme une alternative, oubliant que HCl, l'acide chlorhydrique, est un acide fort, destructeur de molécules organiques ne peut pas convenir comme solvant. Et que le chlore est plus rare dans l'univers que l'oxygène.
L'énergie nucléaire avec ses émissions de neutrons et ses rayons gamma, auraient détruit les fragiles molécules organiques composant tous les êtres vivants (à l'exception de la "coquille", de la "carapace", des "os" pour ceux qui en sont munis). Elle ne peut pas être la source originelle d'énergie des êtres biologiques.
L'évolution a ensuite fait apparaître des prédateurs recueillant cette énergie chimique synthétisée par les végétaux après une plus ou moins longue chaîne alimentaire.
Il est très vraisemblable que toutes les espèces ET dominant sans conteste la pyramide de vie de leur planète, jusqu'à atteindre la stade de civilisation, soient comme l'homme, "super-prédatrices".
Les "petits gris" paraissent-ils respecter ces règles imposées aux êtres biologiques?
Je rappelle que leur corps doit contenir une proportion considérable d'eau et doit être capable au niveau cellulaire d'oxyder de la matière organique afin d'obtenir de l'énergie.
Pour les grands pluricellulaires qu'ils seraient, cela signifierait trois grandes surfaces d'échanges. La première pour absorber la matière organique indispensable, la deuxième pour absorber l'oxygène de la réaction d'oxydation, la troisième pour évacuer dans l'environnement à fin de recyclage la matière organique résultant de l'oxydation et devenue déchet. Autrement dit, ils leur faudrait un système digestif, un système pulmonaire et un système urinaire avec deux ouvertures sur le dehors pour la système digestif, une ouverture pour le système pulmonaire et une autre pour le système urinaire.
Or selon l'archétype du "petit gris", ces quatre ouvertures-orifices semblent ne pas exister.
Un être biologique ayant une tête aussi grosse, de densité proche de celle de l'eau, comme d'ailleurs le reste du corps, aurait le centre de gravité extrêmement haut : dans ces conditions, rester bipède avec de petits pieds relèveraient de l'exploit permanent et la course serait pratiquement impossible. Sans compter le risque de rupture du cou, beaucoup trop fin pour la tête, à chaque chute. Un tel être ne pourrait occuper sur sa planète une niche écologique en milieu hostile, surtout comme super-prédateur !
Un autre détail morphologique important donné par la source très fiable que constituent ces enfants de Harare au Zimbabwe qui virent de près, en 1994, ce qui peut être considéré comme des "petits gris", c'est la forme des "yeux".
Leur forme ovoïde allongée ne leur permet pas de pivoter pour se focaliser sur un sujet d'intérêt comme les yeux de tous les vertébrés et même des calamars de notre planète.
Ils font plutôt penser aux yeux des insectes et crustacés qui sont une agglomération d'ocelles primitifs. Or la supériorité de l'œil des vertébrés sur celui des insectes est patente. Cette impression est confortée par le fait qu'il a été "réinventé" par l'évolution pour le mollusque qu'est le calamar.
Les insectes ont des yeux fixes parce qu'ils sont de trop petite taille pour avoir des yeux mobiles avec cristallin. Mais pour un animal de la taille des petits gris, des yeux fixes et composés auraient constitué un handicap insurmontable pour l'espèce, entraînant sa rapide élimination par la sélection naturelle.
Conclusion : les "petits gris" ne peuvent pas être des animaux.
Existent-ils ?
Les témoignages des enfants du Zimbabwe obligent à dire oui. Il est à noter que depuis, ceux-ci sont devenus adultes et qu'aucun n'a révélé avoir été complice d'un complot fomenté par des grandes personnes dans un but de mystification. Et d'ailleurs, il aurait fallu qu'ils fussent de remarquables comédiens pour mimer toutes ces attitudes et façons de s'exprimer traduisant une totale sincérité pour qui sait les déchiffrer. ( J'aimerais bien les entendre aujourd'hui!)
Alors qui sont-ils ces "petits gris"?
La réponse qui supprime toutes les objections : ce sont des artefacts, des machines, des "artégènes" !
Leur grosse "tête" contient non pas un lourd cerveau mais un appareil antigravité comme celui qui équipe leur véhicule. Loin de peser sur le corps par son cou mince, il le soutient au-dessus du sol, un peu comme le fil soutient la marionnette. Dès lors, il est possible à ces "êtres" de "courir" comme l'a rapporté un enfant d'Harare, pour l'un d'entre eux : il flottait dans les airs et les "jambes" simulaient seulement la course humaine sans propulsion. D'autres témoignages francophones viennent à l'appui de cette thèse.
Bien évidemment un robot n'utilise pas le complexe mécanisme de réactions chimiques au sein de la matière organique pour obtenir de l'énergie ! Il n'a donc besoin ni de poumons, ni de système digestif ou urinaire.
Il peut résister à des accélérations gigantesques : le mécanisme déclencheur de l'explosion d'un obus de fabrication humaine résiste à plusieurs dizaines de G. Alors une machine conçue par une civilisation supérieure, ça peut encaisser combien ?
Comment fonctionnent les yeux des "petits gris" ?
Les "yeux d'insectes" sont des appareils de prises de vue constitué de milliers de sténopés améliorés. Le sténopé est le petit trou, de dimension précise, qu'on perçait autrefois dans la chambre noire pour obtenir, sans lentille, une image de l'extérieur, renversée.
En utilisant les lois de la diffraction, ce petit trou joue le rôle d'une lentille avec cet avantage que son champ de netteté va du zéro à l'infini. Son inconvénient bien sûr est qu'il est peu lumineux. Mais cette faiblesse peut être compensée par une sensibilité de la "rétine" qui reçoit l'image. Un puissant amplificateur de lumière comme les humains savent en fabriquer pour détecter l'effet Tchérenkov produit par les neutrinos qui interfèrent avec l'eau dans d'énormes piscines souterraines, peut d'ailleurs être adjoint sous forme miniature. La polarisation de la lumière est sans doute aussi détectée et le spectre de longueur d'ondes reçues couvre sans doute les UV voire les rayons X jusqu'au infrarouges en englobant bien sûr la lumière visible.
Le grand nombre de ces capteurs assurent à l'artégène une vision nette, simultanément dans toutes les directions où ils sont dirigés. Bien sûr il y a un nombre gigantesque de "pixels" à traiter à chaque instant mais les moyens informatiques des artégènes n'ont rien à voir avec ceux de nos plus puissants ordinateurs. Ils ne sont d'ailleurs à l'évidence pas séquentiels mais travaillent, un peu comme notre cerveau, "en parallèle".
Ce qu'il y a de plus troublant dans l'événement d'Harare, c'est qu'une fillette a raconté que l'un des êtres rencontrés lui avait en quelque sorte communiqué un message directement dans le cerveau.
Or la télépathie n'existe pas dans la nature. Pour la raison simple que la première espèce qui aurait été pourvue d'un organe de transmission télépathique aurait bénéficié d'un avantage tel qu'elle aurait dominé toutes les autres irrémédiablement et que de génération en génération, l'organe se serait tellement perfectionné qu'il serait devenu aussi efficace sinon plus que nos téléphones portables ! Nous sommes l'espèce ultra-dominante de la Terre et pourtant nous ne bénéficions pas de cet organe dont on ne voit pas d'ailleurs pourquoi il aurait attendu l'ère quaternaire pour apparaître !
Nous commençons, nous humains, dans quelques laboratoires à réussir les premières tentatives pour inscrire une information directement dans le cerveau. On peut imaginer dans quelques années faire beaucoup mieux et traiter ainsi certaines pathologies du psychisme. Mais nos électrodes doivent être posées sur le cuir chevelu du sujet. Visiblement les artégènes, eux, parviennent à ces stimulations complexes à distance ...
Couplée à des possibilités de créer des hologrammes non transparents, cette capacité à diriger directement les cerveaux explique à mon sens les étrangetés rapportées par les témoins de phénomène ovnis.
Tout ce qui précède mélange des faits et des hypothèses. On peut bien entendu y opposer des objections. Je les attends avec intérêt, appuyées par des contre-propositions d'explication, pour un débat fructueux.
Cordialement, Alain2002
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Re: Les petits extraterrestres gris existent-ils vraiment ?
Sam 23 Aoû 2014, 20:23
avez vous entendu parler de l'extra terrestre Jarod, qui bossait dans la zone 51 nouveau mexique , soit disant c'était un traducteur.
il paraitrait que les gris ne soient pas hostiles, qu'ils sont là pour nous aider mais comme tout être vivant, il y a des bons et des mauvais
il paraitrait que les gris ne soient pas hostiles, qu'ils sont là pour nous aider mais comme tout être vivant, il y a des bons et des mauvais
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Re: Les petits extraterrestres gris existent-ils vraiment ?
Sam 23 Aoû 2014, 21:35
T'a l'air bien calé dit donc toi, tu serais pas un des leurs ?Alain2002 a écrit:p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }
S'il y a des "biogènes" (des êtres engendrés, comme nous, par un processus biologique, stade actuel d'une longue évolution) parmi les ET des rencontres du troisième type, alors leur morphologie doit respecter des règles fondamentales :
a) Ils doivent être adaptés au milieu naturel de la planète dont ils sont issus, plus précisément à la niche écologique de leurs ancêtres, comme nous qui sommes toujours adaptés à escalader des rochers et accessoirement à la course bipède, au prix d'une capacité d'équilibre considérable. Cette faculté d'escalader les rochers permettaient à nos ancêtres anthropopithèques d'échapper aux prédateurs quadrupèdes, beaucoup plus rapides à la course, en atteignant des grottes sur des parois rocheuses. Ce fut une nécessité vitale après que les arbres de la grande forêt, qui avaient heureusement permis à leurs propres lointains ancêtres de trouver un milieu de vie favorable (nourriture et protection contre la plupart des prédateurs), aient disparu, laissant la place, du fait d'une plus grande sécheresse climatique, à la savane africaine. Laquelle subsiste toujours sur une grande partie du territoire.
C'est alors que ces ancêtres ont appris à lancer d'en haut des pierres (comme le feront beaucoup plus tard les défenseurs des châteaux-forts !) sur des prédateurs assez imprudents pour tenter l'escalade si la pente de la paroi accédant au refuge n'était pas trop forte.
Du haut de la grotte et grâce à leur excellente vision binoculaire couplée à une très puissante zone d'analyse des images dans l'arrière du cerveau, leur permettant de repérer un animal même immobile, ils pouvaient surveiller la savane. Aux instant propices, ils pouvaient descendre de leur abri et faire des incursions dans la savane nourricière. Toujours en groupe bien sûr, les plus petits portés par les mères, tandis que les mâles s'avançaient en premier, gros bâton à la main ou pierre à la main, cette main dont le pouce était devenu opposable aux autres doigts et qui permettait déjà d'avoir des prises solides et sûres lors de l'escalade de la paroi rocheuse.
Je pense que les fauves après des déconvenues lors d'attaques de ces groupes d'hominidés solidaires ont assez vite appris à leurs jeunes à éviter ces proies dangereuses pour d'autres plus inoffensives. Nos ancêtres obtenaient de la savane une nourriture d'omnivores, viandes et végétaux, leur permettant d'alimenter en protéines et en glucides un cerveau en croissance progressive au fil de milliers de générations et très "gourmand".
La grotte était située obligatoirement près de l'eau douce. Le plus souvent sans doute, celle-ci était fournie par la rivière en contrebas dont un méandre avait à son extérieur, par le mécanisme de l'érosion fluviale créé dans une roche dure, vraisemblablement du calcaire, la falaise plus ou moins abrupte contenant la grotte refuge. Pourquoi du calcaire ? Parce que les pluies acides, même légèrement, creusent dans le massif karstique des volumes vides - qui seront ensuite peuplés de stalagmites et stalactites- et que l'érosion fluviale fera apparaître un jour sur la paroi de la falaise.
Bien entendu un tel habitat était rare. Il ne pourra être quitté par les hominidés pour la savane même, qu'après que le feu, alimenté en permanence, leur assure une défense par dissuasion sur les fauves, qui ont l'instinct de fuir l'odeur de la fumée et la vue des flammes, normalement annonciatrices d'un catastrophique incendie de savane.
Quelle niche écologique ont occupé les ancêtres lointains des ET biologiques ?
Je crois que nous ne pouvons que nous livrer à des spéculations sur ce sujet ... mais il est clair qu'il y en a eu une, forcément, et quelle a modelé, comme pour nous, l'allure morphologique de ceux qui vivent actuellement. Même si, accédant à un niveau de science supérieur, l'espèce ait pu modifier cet aspect par des manipulations génétiques.
b) Il faut à toute forme de vie dans l'univers, l'accès à une source d'énergie. Comme la vie n'a pu commencer, spontanément, que sous forme de monocellulaires microscopiques, la première source d'énergie n'a pu être que la transformation du rayonnement de l'étoile de la planète par une substance du type chlorophylle ou rhodopsine en énergie chimique.
L'autre source d'énergie, celle du volcanisme, peut également avoir joué un rôle comme on l'a constaté au fond de nos océans avec les "fumeurs noirs". Mais les animaux utilisant cette énergie ne pourraient pas vivre en surface et encore moins coloniser la terre ferme.
Dans les deux cas, il y a transformation en énergie chimique, par transfert d'électrons modifiant la structure de molécules proches de l'instabilité ("réversibilité des réactions chimiques").
Ces réactions de molécules complexes et fragiles, y compris les indispensables enzymes, ne peuvent avoir lieu que dans un solvant. Le plus intéressant à tous égards est clairement l'oxyde de dihydrogène, H2O, autrement appelé eau, qui depuis la formation initiale de la vie dans l'océan primordial, est le milieu de ces réactions chimiques complexes.
La molécule d'eau recèle une énigme quantique qui n'a pas été résolue à ce jour, je crois, à savoir que les deux protons constituant les deux noyaux des deux atomes d'hydrogène, donc de même charge électrique positive, au lieu d'être en opposition totale de part et d'autre de l'atome d'oxygène comme cela se produit pour d'autre molécules, forment un angle constant de précisément 104,45° avec ce dernier.
Cette curieuse propriété explique pourquoi l'eau est l'élément qui possède la plus grande chaleur massique. Elle pourrait être aussi à l'origine du succès des expériences menées par le Prix Nobel, le professeur Montagnier, sur la "mémoire de l'eau". Cette particularité quantique pourrait faire jouer à l'eau un rôle de catalyseur ayant favorisé l'émergence de la vie en son sein.
Il semble bien que l'oxygène, qui est par ailleurs un composant de l'eau - dont le pH est neutre - soit le meilleur élément pour fournir de l'énergie par oxydation de matière organique, à un organisme vivant dans l'atmosphère de sa planète.
Même si le chlore a pu être envisagé par les écrivains de science-fiction comme une alternative, oubliant que HCl, l'acide chlorhydrique, est un acide fort, destructeur de molécules organiques ne peut pas convenir comme solvant. Et que le chlore est plus rare dans l'univers que l'oxygène.
L'énergie nucléaire avec ses émissions de neutrons et ses rayons gamma, auraient détruit les fragiles molécules organiques composant tous les êtres vivants (à l'exception de la "coquille", de la "carapace", des "os" pour ceux qui en sont munis). Elle ne peut pas être la source originelle d'énergie des êtres biologiques.
L'évolution a ensuite fait apparaître des prédateurs recueillant cette énergie chimique synthétisée par les végétaux après une plus ou moins longue chaîne alimentaire.
Il est très vraisemblable que toutes les espèces ET dominant sans conteste la pyramide de vie de leur planète, jusqu'à atteindre la stade de civilisation, soient comme l'homme, "super-prédatrices".
Les "petits gris" paraissent-ils respecter ces règles imposées aux êtres biologiques?
Je rappelle que leur corps doit contenir une proportion considérable d'eau et doit être capable au niveau cellulaire d'oxyder de la matière organique afin d'obtenir de l'énergie.
Pour les grands pluricellulaires qu'ils seraient, cela signifierait trois grandes surfaces d'échanges. La première pour absorber la matière organique indispensable, la deuxième pour absorber l'oxygène de la réaction d'oxydation, la troisième pour évacuer dans l'environnement à fin de recyclage la matière organique résultant de l'oxydation et devenue déchet. Autrement dit, ils leur faudrait un système digestif, un système pulmonaire et un système urinaire avec deux ouvertures sur le dehors pour la système digestif, une ouverture pour le système pulmonaire et une autre pour le système urinaire.
Or selon l'archétype du "petit gris", ces quatre ouvertures-orifices semblent ne pas exister.
Un être biologique ayant une tête aussi grosse, de densité proche de celle de l'eau, comme d'ailleurs le reste du corps, aurait le centre de gravité extrêmement haut : dans ces conditions, rester bipède avec de petits pieds relèveraient de l'exploit permanent et la course serait pratiquement impossible. Sans compter le risque de rupture du cou, beaucoup trop fin pour la tête, à chaque chute. Un tel être ne pourrait occuper sur sa planète une niche écologique en milieu hostile, surtout comme super-prédateur !
Un autre détail morphologique important donné par la source très fiable que constituent ces enfants de Harare au Zimbabwe qui virent de près, en 1994, ce qui peut être considéré comme des "petits gris", c'est la forme des "yeux".
Leur forme ovoïde allongée ne leur permet pas de pivoter pour se focaliser sur un sujet d'intérêt comme les yeux de tous les vertébrés et même des calamars de notre planète.
Ils font plutôt penser aux yeux des insectes et crustacés qui sont une agglomération d'ocelles primitifs. Or la supériorité de l'œil des vertébrés sur celui des insectes est patente. Cette impression est confortée par le fait qu'il a été "réinventé" par l'évolution pour le mollusque qu'est le calamar.
Les insectes ont des yeux fixes parce qu'ils sont de trop petite taille pour avoir des yeux mobiles avec cristallin. Mais pour un animal de la taille des petits gris, des yeux fixes et composés auraient constitué un handicap insurmontable pour l'espèce, entraînant sa rapide élimination par la sélection naturelle.
Conclusion : les "petits gris" ne peuvent pas être des animaux.
Existent-ils ?
Les témoignages des enfants du Zimbabwe obligent à dire oui. Il est à noter que depuis, ceux-ci sont devenus adultes et qu'aucun n'a révélé avoir été complice d'un complot fomenté par des grandes personnes dans un but de mystification. Et d'ailleurs, il aurait fallu qu'ils fussent de remarquables comédiens pour mimer toutes ces attitudes et façons de s'exprimer traduisant une totale sincérité pour qui sait les déchiffrer. ( J'aimerais bien les entendre aujourd'hui!)
Alors qui sont-ils ces "petits gris"?
La réponse qui supprime toutes les objections : ce sont des artefacts, des machines, des "artégènes" !
Leur grosse "tête" contient non pas un lourd cerveau mais un appareil antigravité comme celui qui équipe leur véhicule. Loin de peser sur le corps par son cou mince, il le soutient au-dessus du sol, un peu comme le fil soutient la marionnette. Dès lors, il est possible à ces "êtres" de "courir" comme l'a rapporté un enfant d'Harare, pour l'un d'entre eux : il flottait dans les airs et les "jambes" simulaient seulement la course humaine sans propulsion. D'autres témoignages francophones viennent à l'appui de cette thèse.
Bien évidemment un robot n'utilise pas le complexe mécanisme de réactions chimiques au sein de la matière organique pour obtenir de l'énergie ! Il n'a donc besoin ni de poumons, ni de système digestif ou urinaire.
Il peut résister à des accélérations gigantesques : le mécanisme déclencheur de l'explosion d'un obus de fabrication humaine résiste à plusieurs dizaines de G. Alors une machine conçue par une civilisation supérieure, ça peut encaisser combien ?
Comment fonctionnent les yeux des "petits gris" ?
Les "yeux d'insectes" sont des appareils de prises de vue constitué de milliers de sténopés améliorés. Le sténopé est le petit trou, de dimension précise, qu'on perçait autrefois dans la chambre noire pour obtenir, sans lentille, une image de l'extérieur, renversée.
En utilisant les lois de la diffraction, ce petit trou joue le rôle d'une lentille avec cet avantage que son champ de netteté va du zéro à l'infini. Son inconvénient bien sûr est qu'il est peu lumineux. Mais cette faiblesse peut être compensée par une sensibilité de la "rétine" qui reçoit l'image. Un puissant amplificateur de lumière comme les humains savent en fabriquer pour détecter l'effet Tchérenkov produit par les neutrinos qui interfèrent avec l'eau dans d'énormes piscines souterraines, peut d'ailleurs être adjoint sous forme miniature. La polarisation de la lumière est sans doute aussi détectée et le spectre de longueur d'ondes reçues couvre sans doute les UV voire les rayons X jusqu'au infrarouges en englobant bien sûr la lumière visible.
Le grand nombre de ces capteurs assurent à l'artégène une vision nette, simultanément dans toutes les directions où ils sont dirigés. Bien sûr il y a un nombre gigantesque de "pixels" à traiter à chaque instant mais les moyens informatiques des artégènes n'ont rien à voir avec ceux de nos plus puissants ordinateurs. Ils ne sont d'ailleurs à l'évidence pas séquentiels mais travaillent, un peu comme notre cerveau, "en parallèle".
Ce qu'il y a de plus troublant dans l'événement d'Harare, c'est qu'une fillette a raconté que l'un des êtres rencontrés lui avait en quelque sorte communiqué un message directement dans le cerveau.
Or la télépathie n'existe pas dans la nature. Pour la raison simple que la première espèce qui aurait été pourvue d'un organe de transmission télépathique aurait bénéficié d'un avantage tel qu'elle aurait dominé toutes les autres irrémédiablement et que de génération en génération, l'organe se serait tellement perfectionné qu'il serait devenu aussi efficace sinon plus que nos téléphones portables ! Nous sommes l'espèce ultra-dominante de la Terre et pourtant nous ne bénéficions pas de cet organe dont on ne voit pas d'ailleurs pourquoi il aurait attendu l'ère quaternaire pour apparaître !
Nous commençons, nous humains, dans quelques laboratoires à réussir les premières tentatives pour inscrire une information directement dans le cerveau. On peut imaginer dans quelques années faire beaucoup mieux et traiter ainsi certaines pathologies du psychisme. Mais nos électrodes doivent être posées sur le cuir chevelu du sujet. Visiblement les artégènes, eux, parviennent à ces stimulations complexes à distance ...
Couplée à des possibilités de créer des hologrammes non transparents, cette capacité à diriger directement les cerveaux explique à mon sens les étrangetés rapportées par les témoins de phénomène ovnis.
Tout ce qui précède mélange des faits et des hypothèses. On peut bien entendu y opposer des objections. Je les attends avec intérêt, appuyées par des contre-propositions d'explication, pour un débat fructueux.
Cordialement, Alain2002
- Alain2002Equipe du forum
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Re: Les petits extraterrestres gris existent-ils vraiment ?
Dim 24 Aoû 2014, 11:52
À CJ :
T'as d'viné ! Mais chuuut !!! Gare à l'ethnocide !
Cordialement quand même, Alain2002
T'as d'viné ! Mais chuuut !!! Gare à l'ethnocide !
Cordialement quand même, Alain2002
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Re: Les petits extraterrestres gris existent-ils vraiment ?
Dim 24 Aoû 2014, 20:06
Voilà , j'aime quand on aborde l'HET avec des arguments et des recherches pour étayer .Alain2002 a écrit:
Tout ce qui précède mélange des faits et des hypothèses. On peut bien entendu y opposer des objections. Je les attends avec intérêt, appuyées par des contre-propositions d'explication, pour un débat fructueux.
Cordialement, Alain2002
Donc pour vous répondre Alain , au niveau de la physionomie des petits gris , je retiendrais l’aspect insectoïde , si je devais comparer avec une forme existante sur terre je partirais sur la mante religieuse yeux , grosse tête , cou et tronc frêle et membres frêles mais puissant .
Par contre les témoignages que j'ai pu lire (mais je n'ai pas tout lu) l'aspect chitineux manque à l'appel , or un exosquelette pourrait expliquer cet aspect vraisemblable pour un vertébré relaté pour les petits gris .
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"Je préfère écouter ceux qui doutent , que ceux qui sont sûr de savoir, ces derniers ayant arrêté de réfléchir..."
- InvitéInvité
Re: Les petits extraterrestres gris existent-ils vraiment ?
Lun 25 Aoû 2014, 10:09
Bonjour
J'ai comme l'impression que le débat, les hypothèses, les contre-propositions sur les "petits gris" .... auraient toute leur place dans la section "Les dérives de l'ufologie" ou alors dans les blogs et forums spécialisés dans le cinéma ou la littérature fantastique.
Ce n'est que mon opinion ...
Bonne journée.
...
J'ai comme l'impression que le débat, les hypothèses, les contre-propositions sur les "petits gris" .... auraient toute leur place dans la section "Les dérives de l'ufologie" ou alors dans les blogs et forums spécialisés dans le cinéma ou la littérature fantastique.
Ce n'est que mon opinion ...
Bonne journée.
...
- Alain2002Equipe du forum
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Re: Les petits extraterrestres gris existent-ils vraiment ?
Lun 25 Aoû 2014, 11:30
Bonjour Sylvain,
Pour moquer la mauvaise qualité à l'origine du système de télévision NTSC, des États-uniens disaient que cet acronyme signifiait : «Never Twice Same Colors» (Jamais deux fois les mêmes couleurs) !
Par paraphrase, on pourrait dire que les spectacles d'ovnis rapprochés semblent n'avoir " jamais deux fois la même mise en scène".
On peut forger des hypothèses pour expliquer cette évidence statistique.
Beaucoup de personnes étudiant le phénomène en déduiront que des civilisations en grand nombre peuvent atteindre notre planète où elles observent une charte de respect de la civilisation inférieure (mais prometteuse?) que nous constituons. Et que des biogènes, comme nous sommes, peuvent affronter les difficultés d'un voyage nécessairement périlleux. Ce qui dans les deux cas est plutôt rassurant.
L'autre hypothèse est celle que je mets en avant parce qu'elle résout tous les problèmes, répond à toutes les objections quand au "phénomène ovni" et qui est que nous sommes visités par des artégènes, de superordinateurs commandant un "corps" artificiel.
Ces artégènes peuvent n'être "émis" que par une seule civilisation. Ce qui indiquerait que les autres ont échoué à atteindre ce stade supérieur. Mauvais indice pour l'avenir de l'humanité alors que par son comportement (prolifération, pollution, épuisement des ressources naturelles), des problèmes redoutables se profilent à l'horizon d'un avenir proche.
Plus rassurant est le fait que des civilisations ayant atteint le stade supérieur s'acceptent mutuellement et s'unissent pour l'exploration des planètes habitées de la galaxie. De la même manière que les anthropologues qui visitent les dernières civilisations dites primaires, ne se combattent pas.
Dans les deux cas, les entités vues par les témoins dans les RR3 seraient donc des machines qui pourraient prendre naturellement n'importe quel aspect avec la même facilité que nous pouvons aujourd'hui, au cinéma ou pour les jeux vidéos, créer des êtres qui n'existent pas en réalité.
Les artégènes ET pourraient ainsi s'inspirer, pour leurs représentations, de morphologies biogènes de différentes planètes, y compris de celles qui n'auraient pas atteint leur stade de développement ou bien s'inspirer d'animaux terrestres, y compris en effet celle de la mante religieuse. Mais ce serait une apparence d'animal qui serait vue.
Car une mante religieuse de notre taille ne survivrait pas dans un environnement naturel.
Pour plusieurs raisons dont deux au moins sont rédhibitoires :
La première est l'approvisionnement en oxygène des cellules dont le nombre serait multiplié par des dizaines de milliers. Il serait impossible en l'absence de pompe cardiaque et de vaisseaux transportant de l'hémoglobine. L'animal périrait asphyxié bien avant d'avoir atteint sa taille adulte.
La deuxième est qu'un insecte ou un crustacé avec exosquelette est particulièrement vulnérable au moment de la mue. Pendant cette période, l'animal doit vivre caché de ses prédateurs. Ce qui est possible dans la mer ou pour un animal de très petite taille comme un insecte, mais pas pour un animal de la taille d'un être humain.
Cordialement, Alain2002
Pour moquer la mauvaise qualité à l'origine du système de télévision NTSC, des États-uniens disaient que cet acronyme signifiait : «Never Twice Same Colors» (Jamais deux fois les mêmes couleurs) !
Par paraphrase, on pourrait dire que les spectacles d'ovnis rapprochés semblent n'avoir " jamais deux fois la même mise en scène".
On peut forger des hypothèses pour expliquer cette évidence statistique.
Beaucoup de personnes étudiant le phénomène en déduiront que des civilisations en grand nombre peuvent atteindre notre planète où elles observent une charte de respect de la civilisation inférieure (mais prometteuse?) que nous constituons. Et que des biogènes, comme nous sommes, peuvent affronter les difficultés d'un voyage nécessairement périlleux. Ce qui dans les deux cas est plutôt rassurant.
L'autre hypothèse est celle que je mets en avant parce qu'elle résout tous les problèmes, répond à toutes les objections quand au "phénomène ovni" et qui est que nous sommes visités par des artégènes, de superordinateurs commandant un "corps" artificiel.
Ces artégènes peuvent n'être "émis" que par une seule civilisation. Ce qui indiquerait que les autres ont échoué à atteindre ce stade supérieur. Mauvais indice pour l'avenir de l'humanité alors que par son comportement (prolifération, pollution, épuisement des ressources naturelles), des problèmes redoutables se profilent à l'horizon d'un avenir proche.
Plus rassurant est le fait que des civilisations ayant atteint le stade supérieur s'acceptent mutuellement et s'unissent pour l'exploration des planètes habitées de la galaxie. De la même manière que les anthropologues qui visitent les dernières civilisations dites primaires, ne se combattent pas.
Dans les deux cas, les entités vues par les témoins dans les RR3 seraient donc des machines qui pourraient prendre naturellement n'importe quel aspect avec la même facilité que nous pouvons aujourd'hui, au cinéma ou pour les jeux vidéos, créer des êtres qui n'existent pas en réalité.
Les artégènes ET pourraient ainsi s'inspirer, pour leurs représentations, de morphologies biogènes de différentes planètes, y compris de celles qui n'auraient pas atteint leur stade de développement ou bien s'inspirer d'animaux terrestres, y compris en effet celle de la mante religieuse. Mais ce serait une apparence d'animal qui serait vue.
Car une mante religieuse de notre taille ne survivrait pas dans un environnement naturel.
Pour plusieurs raisons dont deux au moins sont rédhibitoires :
La première est l'approvisionnement en oxygène des cellules dont le nombre serait multiplié par des dizaines de milliers. Il serait impossible en l'absence de pompe cardiaque et de vaisseaux transportant de l'hémoglobine. L'animal périrait asphyxié bien avant d'avoir atteint sa taille adulte.
La deuxième est qu'un insecte ou un crustacé avec exosquelette est particulièrement vulnérable au moment de la mue. Pendant cette période, l'animal doit vivre caché de ses prédateurs. Ce qui est possible dans la mer ou pour un animal de très petite taille comme un insecte, mais pas pour un animal de la taille d'un être humain.
Cordialement, Alain2002
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