Re: Bonjour ! Voici mon observation

C'est vachement chouette ce pays où les autorités font tout pour réduire la pollution lumineuse !

Cela permet plus d'observations que d'habitude !! Hi hi hi !

Dis donc !
Vous ne vous êtes pas trop étalés sur les détails de vos observations...
C'est pour la saint Glin Glin !!?

Euh, Ludika, on se détend en ce jour de fête !

Ma dernière observation fut déclarée au GEPIAN, il y a plus d'un an et j'attends toujours la divulgation du dossier. Je vous donnerai le lien quand il sera disponible. Pour les deux premières, avant la saint Glin-Glin, peut-être bien ! A+

@francois Léonard
Hâte de lire, en effet !
Pour ce que vous avez observé, disparaissant à la vitesse d'une balle de fusil, avez-vous des repères pour e estimation de sa taille ?
De quelle couleur était-ce ?

Bonne soirée à vous !

À la première observation, j'étais à regarder le ciel de fin de soirée étendu sur une chaise pliante aux côtés d’une copine à Laval, Qc. Notez qu’à cette époque, on pouvait encore discerner les étoiles en ville. Deux points lumineux blancs, s’apparentant davantage à des disques (voire planètes telles Jupiter ou Mars), étaient situés près l’un de l’autre et près de la verticale par rapport au point d’observation. Ceux-ci étaient fixes depuis un moment et ne correspondaient pas à une constellation. Après plusieurs minutes, un premier est parti en ligne droite vers approximativement le Sud et, dans la seconde après, avant qu’il franchisse l’horizon, l’autre est parti dans la direction opposée pour franchir à son tour l’horizon en moins de deux secondes. Sans point de repère, il était impossible de situer leur altitude lorsqu’ils étaient fixes. Par contre, en s’estompant progressivement à l’horizon, ils semblaient être à une altitude similaire à celle des avions de ligne, proche de leur plafond de vol, soit vers les 10 000 m. Ce qui donne la largeur du fuselage d’un avion gros porteur comme dimension diamétral de ces disques, soit environ 7 m.

À la seconde observation, j'étais sur un toit avec un jeune voisin pour regarder les feux d’artifices sur le Mont-Royal. Même observation de deux disques blancs espacés et positionnés à la verticale de l’observation. Cette fois-ci, les deux disques ont fait environ deux à trois rotations l’un autour de l’autre, à une distance d’environ 4 fois leur diamètre, en une courte fraction de seconde, comme s’ils montaient à la verticale, et se sont par la suite éloignés subitement l’un de l’autre en traversant en directions opposées l’horizon dans l’ordre de la seconde. Le sens de rotation vu du sol était dans le sens des aiguilles d’une montre, donc dans le même sens que les observations rapportées (dans le sens inverse des aiguilles d’une montre) vu de face ou d’en haut (jeux de gamins). Cette fois, en s’estompant plus brutalement à l’horizon, ils semblaient être à une altitude similaire à celle des avions de ligne à une altitude intermédiaire, soit environ 5 000 m. Notons que de la position où ils se situaient, ils purent assister aux feux d’artifice de la St-Jean ayant cours sur le flan Est du Mont-Royal (Montréal Qc) car ils avaient en arrière-plan le fleuve sombre. C’était une bonne place pour regarder les feux d’en haut : plus bas et plus proche des feux, ils étaient dans la trajectoire des avions en phase d’atterrissage pour l’aéroport de Dorval. En tournant un autour de l'autre, ils ne cherchaient surement pas à être discret... A+