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Témoignages de Nadia Brodrick, auteur de littérature Fantastique
Lun 20 Aoû 2012, 22:34
Nadia Brodrick, écrivain de littérature Fantastique est originaire de ma région, elle évoque deux témoignages vécus dans le Nord de la Lorraine durant sa jeunesse...
Bibliographie/Interview (Archives "Le Post").
Témoignages:
"L'excellent Guy Tarade m'a dit, après que je lui ai raconté les deux aventures que vous pourrez lire ici, que j'étais loin d'être la seule à avoir fait cette expérience, et que les descriptions similaires étaient nombreuses. Merci M. Tarade, d'avoir crédité de votre immense savoir et de votre expérience ce qui n'était, pour la petite fille que j'étais, que d'étranges et fantastiques aventures.
Aujourd'hui, j'aimerais savoir si quelqu'un se souvient de ce que je raconte, si vous en avez été témoin, ou si vous avez aussi "vu", "senti", "ressenti" d'autres choses, auxquelles vous ne faites que rarement référence, de peur de passer pour un dérangé du ciboulot ou un gentil farfelu...
Pour moi, avoir conscience de notre infinitésimal rôle dans la grande pièce jouée par l'Univers remet simplement notre vanité humaine à sa juste place.
Je ne parle pas "d'extraterrestres", je parle de Vie, d'existence.
Les trois types de rencontres ont été définis par J. Allen Hynek qui étudia les OVNI pour le gouvernement US. Le premier type est visuel, le deuxième se caractérise par des traces matérielles. Une rencontre du troisième type met en présence physique un terrien avec les extraterrestres.
Je vais vous raconter deux anecdotes. Je m’amuse à parler de rencontres du premier type, parce qu’aucune autre définition n’est aussi parfaite, sans sous-entendre évidemment qu’il s’agit d’un contact avec une civilisation extraterrestre.
Chronologiquement, les deux événements se sont déroulés en 1970 et en 1980.
1970
Si ma mémoire des faits est très précise, la date est un peu floue. Je me souviens que c’était un vendredi 13, qu’il était environ 19 heures, et qu’il faisait déjà nuit. Mon père ayant eu un accident, je me souviens parfaitement de l’année. La seule date qui corresponde est le 13 février 1970, et j’avais donc 9 ans.
Nous habitions alors une petite ville de Lorraine, sur la frontière luxembourgeoise. Audun-le-Tiche est posée au creux d’une cuvette et bordée sur les hauteurs par des forêts et des champs. Notre appartement était juste au bord de la cuvette, tout en haut de la ville, et seulement 15 mètres séparaient la fenêtre de ma chambre de la forêt. C’était un bloc de 2 étages, à 2 entrées avec 6 appartements par entrée. Ceci pour donner une idée de la hauteur et de la longueur du bâtiment. La forêt s’écartait de l’immeuble en formant un V et laissait une bande de terrain triangulaire à découvert.
Je marchais vers l’autre extrémité du bâtiment en le longeant. A droite, la forêt, proche d’environ 15 mètres, s’écartait donc de plus en plus de moi. A ma gauche, la hauteur de l’immeuble coupait brutalement le ciel. Il faisait nuit noire.
Lorsque je suis arrivée à peu près au milieu de la résidence, j’ai été immobilisée brutalement par une vision fantastique. Une gigantesque lumière est arrivée de ma droite, a frôlé les arbres, ou du moins, c’est l’impression que j’ai eue, est passée sans un bruit au dessus de ma tête et a disparu, cachée par la hauteur du bâtiment.
Je suis restée immobile pendant plusieurs secondes, stupéfaite, puis j’ai couru au bout de l’immeuble pour « le » voir encore dans le ciel, mais il n’y avait plus rien.
Cette impression que « l’objet » lumineux frôlait les arbres était due à sa taille gigantesque. La seule comparaison que je pouvais faire à l’époque, était que ce « quelque chose » avait au moins la taille d’un terrain de football et venait de passer au-dessus de ma tête…
Ce que j’ai vu a été très rapide, mais j’ai très bien vu cet objet. Il avait une forme ovale, pas comme un cigare, mais plutôt comme un calisson d’Aix. Il n’était que lumière, une lumière très blanche, électrique, avec en son centre une intensité extraordinaire.
L’objet s’est déplacé d’est en ouest, sans le moindre bruit, sans déplacement d’air, ce qui me fait penser qu’il était peut-être bien plus grand que je ne l’imagine, car beaucoup plus loin que la cime des arbres.
J’avais 9 ans, et quand je suis revenue en courant chez moi et que j’ai dit à mes parents ce que j’avais vu, ils m’ont gentiment dit de ne pas m’inquiéter, que j’avais certainement vu une étoile filante ! J’ai insisté pour leur faire comprendre que je savais très bien faire la différence entre une étoile filante et « ça », mais devant leur attitude, je me suis inclinée, me disant que personne ne pourrait croire à mon histoire. Si cela avait été un météore, une bonne partie de notre terre aurait surement changé d’allure cette nuit-là… et je suppose qu’on l’aurait su…
Mon regret a toujours été d’avoir été si jeune à ce moment, car sinon, je serai allée faire une déposition au poste de police, et peut-être que j’aurais su si d’autres que moi l’avaient vu. Ce qui serait incroyable, ce serait que je sois la seule. J’ai déjà pensé faire une demande au poste de police d’Audun, pour faire une recherche dans les archives des dépositions, mais il y a toujours cette crainte de passer pour une farfelue.
1980
Juin. Un match de football que je regarde avec mon père dans le salon occupe la soirée. Nous habitons alors une maison individuelle dans un village sur les hauteurs de Thil, en Meurthe et Moselle. Il fait chaud, la grande porte-fenêtre est ouverte près de nous sur le balcon qui donne sur la rue.
Une odeur de gaz nous a sorti de notre match. Une odeur qui est devenue de plus en plus forte, jusqu’à inquiéter mon père. Nous n’avions aucun appareil fonctionnant au gaz chez nous, mais mon père est quand même descendu dans son atelier pour tout vérifier, comprendre d’où ça pouvait venir. La fenêtre étant grande ouverte, on s’est dit que c’était peut-être une odeur qui venait de dehors. Mon père, ma mère et moi sommes donc sortis pour voir. Sur le balcon, je me suis tournée vers la droite, vers le sud donc. Et là, j’ai juste dit à mon père que la lune était « bizarre ». Lui m’a répondu qu’elle avait l’air tout à fait normal et qu’il ne savait vraiment pas ce qui pouvait provoquer cette odeur toujours aussi forte, même dehors.
Puis il s’est retourné vers moi et m’a dit : « Mais ce n’est pas la lune, ça ! Elle est de l’autre côté ! »
C’est là que j’ai compris pourquoi elle me semblait « bizarre ». Au lieu d’un beau croissant, c’était une sorte de gros haricot (dans les proportions visuelles de la lune), jaune, lumineux comme la lune, qui était suspendu, immobile dans le ciel. En juin, la nuit tombe tard. Le ciel était déjà obscur, mais pas complètement noir. Nous sommes restés là, à regarder ce « drôle de truc » dans le ciel. Des voisins étaient aussi sortis et observaient le phénomène. Ma sœur alors âgée de 9 ans, jouait avec une amie devant la maison. Elles étaient cachées derrière une voiture pour regarder le ciel, effrayées.
Le « haricot » s’est ensuite lentement modifié. De ce qui semblait être une de ses extrémités (?), un puis deux et enfin un troisième élément se sont détachés.
Dans le ciel il y avait maintenant cette sorte d’objet et 3 autres plus petits, ressemblant à des boules, ou étant circulaires en apparence. Les 4 « choses » semblaient bouger, lentement, sans se déplacer, on avait cette impression que ce n’était pas immobile.
Lorsque les 4 éléments se sont à nouveau réunis pour n’en former qu’un comme au début de notre observation, l’ensemble a disparut comme en s’éteignant progressivement.
Nous avons observé ce phénomène pendant plus de 20 minutes, chacun y allant de son explication : Une sonde météo ? Un feu à l’horizon ? (la plus impossible des explications, car nous étions en plaine, c’était haut dans le ciel, et ça ne ressemblait pas à un feu) Une expérience militaire ? … et d’autres explications que vous imaginez bien.
Là, je n’ai pas non plus fait de déposition, mais il y a encore beaucoup de témoins qui pourront vous en parler.
En conclusion, je me demande… qui pourrait bien avoir envie de nous connaitre, nous qui sommes si primitifs dans nos comportements et certainement dans notre technologie ?
Parce qu’il faut être honnête, si les lois de la physique sont les mêmes dans tout l’univers, il faudrait déployer une technologie autrement plus pointue que celle qui nous permet juste d’envoyer des sondes sans retour aux confins de notre petit système solaire, dans notre petite – quoiqu’extraordinaire : elle comporte un trou noir massif en son centre ! - galaxie…
Et qui sommes-nous, parasites de l’univers, pour imaginer que notre « intelligence » soit LA référence ?
Et que dire d’univers parallèles qui expliqueraient bien des phénomènes ?
Je ne suis pas physicienne. Je ne peux rien en dire.
Mais j’ai fait 2 rencontres du premier type."
Source: "Le Post"
Depuis, les "lumières" et autres sphères sont de retour sur Audun le Tiche, observées à plusieurs reprises entre le 24 et 31 juillet dernier...
@+
Bibliographie/Interview (Archives "Le Post").
Témoignages:
"L'excellent Guy Tarade m'a dit, après que je lui ai raconté les deux aventures que vous pourrez lire ici, que j'étais loin d'être la seule à avoir fait cette expérience, et que les descriptions similaires étaient nombreuses. Merci M. Tarade, d'avoir crédité de votre immense savoir et de votre expérience ce qui n'était, pour la petite fille que j'étais, que d'étranges et fantastiques aventures.
Aujourd'hui, j'aimerais savoir si quelqu'un se souvient de ce que je raconte, si vous en avez été témoin, ou si vous avez aussi "vu", "senti", "ressenti" d'autres choses, auxquelles vous ne faites que rarement référence, de peur de passer pour un dérangé du ciboulot ou un gentil farfelu...
Pour moi, avoir conscience de notre infinitésimal rôle dans la grande pièce jouée par l'Univers remet simplement notre vanité humaine à sa juste place.
Je ne parle pas "d'extraterrestres", je parle de Vie, d'existence.
Les trois types de rencontres ont été définis par J. Allen Hynek qui étudia les OVNI pour le gouvernement US. Le premier type est visuel, le deuxième se caractérise par des traces matérielles. Une rencontre du troisième type met en présence physique un terrien avec les extraterrestres.
Je vais vous raconter deux anecdotes. Je m’amuse à parler de rencontres du premier type, parce qu’aucune autre définition n’est aussi parfaite, sans sous-entendre évidemment qu’il s’agit d’un contact avec une civilisation extraterrestre.
Chronologiquement, les deux événements se sont déroulés en 1970 et en 1980.
1970
Si ma mémoire des faits est très précise, la date est un peu floue. Je me souviens que c’était un vendredi 13, qu’il était environ 19 heures, et qu’il faisait déjà nuit. Mon père ayant eu un accident, je me souviens parfaitement de l’année. La seule date qui corresponde est le 13 février 1970, et j’avais donc 9 ans.
Nous habitions alors une petite ville de Lorraine, sur la frontière luxembourgeoise. Audun-le-Tiche est posée au creux d’une cuvette et bordée sur les hauteurs par des forêts et des champs. Notre appartement était juste au bord de la cuvette, tout en haut de la ville, et seulement 15 mètres séparaient la fenêtre de ma chambre de la forêt. C’était un bloc de 2 étages, à 2 entrées avec 6 appartements par entrée. Ceci pour donner une idée de la hauteur et de la longueur du bâtiment. La forêt s’écartait de l’immeuble en formant un V et laissait une bande de terrain triangulaire à découvert.
Je marchais vers l’autre extrémité du bâtiment en le longeant. A droite, la forêt, proche d’environ 15 mètres, s’écartait donc de plus en plus de moi. A ma gauche, la hauteur de l’immeuble coupait brutalement le ciel. Il faisait nuit noire.
Lorsque je suis arrivée à peu près au milieu de la résidence, j’ai été immobilisée brutalement par une vision fantastique. Une gigantesque lumière est arrivée de ma droite, a frôlé les arbres, ou du moins, c’est l’impression que j’ai eue, est passée sans un bruit au dessus de ma tête et a disparu, cachée par la hauteur du bâtiment.
Je suis restée immobile pendant plusieurs secondes, stupéfaite, puis j’ai couru au bout de l’immeuble pour « le » voir encore dans le ciel, mais il n’y avait plus rien.
Cette impression que « l’objet » lumineux frôlait les arbres était due à sa taille gigantesque. La seule comparaison que je pouvais faire à l’époque, était que ce « quelque chose » avait au moins la taille d’un terrain de football et venait de passer au-dessus de ma tête…
Ce que j’ai vu a été très rapide, mais j’ai très bien vu cet objet. Il avait une forme ovale, pas comme un cigare, mais plutôt comme un calisson d’Aix. Il n’était que lumière, une lumière très blanche, électrique, avec en son centre une intensité extraordinaire.
L’objet s’est déplacé d’est en ouest, sans le moindre bruit, sans déplacement d’air, ce qui me fait penser qu’il était peut-être bien plus grand que je ne l’imagine, car beaucoup plus loin que la cime des arbres.
J’avais 9 ans, et quand je suis revenue en courant chez moi et que j’ai dit à mes parents ce que j’avais vu, ils m’ont gentiment dit de ne pas m’inquiéter, que j’avais certainement vu une étoile filante ! J’ai insisté pour leur faire comprendre que je savais très bien faire la différence entre une étoile filante et « ça », mais devant leur attitude, je me suis inclinée, me disant que personne ne pourrait croire à mon histoire. Si cela avait été un météore, une bonne partie de notre terre aurait surement changé d’allure cette nuit-là… et je suppose qu’on l’aurait su…
Mon regret a toujours été d’avoir été si jeune à ce moment, car sinon, je serai allée faire une déposition au poste de police, et peut-être que j’aurais su si d’autres que moi l’avaient vu. Ce qui serait incroyable, ce serait que je sois la seule. J’ai déjà pensé faire une demande au poste de police d’Audun, pour faire une recherche dans les archives des dépositions, mais il y a toujours cette crainte de passer pour une farfelue.
1980
Juin. Un match de football que je regarde avec mon père dans le salon occupe la soirée. Nous habitons alors une maison individuelle dans un village sur les hauteurs de Thil, en Meurthe et Moselle. Il fait chaud, la grande porte-fenêtre est ouverte près de nous sur le balcon qui donne sur la rue.
Une odeur de gaz nous a sorti de notre match. Une odeur qui est devenue de plus en plus forte, jusqu’à inquiéter mon père. Nous n’avions aucun appareil fonctionnant au gaz chez nous, mais mon père est quand même descendu dans son atelier pour tout vérifier, comprendre d’où ça pouvait venir. La fenêtre étant grande ouverte, on s’est dit que c’était peut-être une odeur qui venait de dehors. Mon père, ma mère et moi sommes donc sortis pour voir. Sur le balcon, je me suis tournée vers la droite, vers le sud donc. Et là, j’ai juste dit à mon père que la lune était « bizarre ». Lui m’a répondu qu’elle avait l’air tout à fait normal et qu’il ne savait vraiment pas ce qui pouvait provoquer cette odeur toujours aussi forte, même dehors.
Puis il s’est retourné vers moi et m’a dit : « Mais ce n’est pas la lune, ça ! Elle est de l’autre côté ! »
C’est là que j’ai compris pourquoi elle me semblait « bizarre ». Au lieu d’un beau croissant, c’était une sorte de gros haricot (dans les proportions visuelles de la lune), jaune, lumineux comme la lune, qui était suspendu, immobile dans le ciel. En juin, la nuit tombe tard. Le ciel était déjà obscur, mais pas complètement noir. Nous sommes restés là, à regarder ce « drôle de truc » dans le ciel. Des voisins étaient aussi sortis et observaient le phénomène. Ma sœur alors âgée de 9 ans, jouait avec une amie devant la maison. Elles étaient cachées derrière une voiture pour regarder le ciel, effrayées.
Le « haricot » s’est ensuite lentement modifié. De ce qui semblait être une de ses extrémités (?), un puis deux et enfin un troisième élément se sont détachés.
Dans le ciel il y avait maintenant cette sorte d’objet et 3 autres plus petits, ressemblant à des boules, ou étant circulaires en apparence. Les 4 « choses » semblaient bouger, lentement, sans se déplacer, on avait cette impression que ce n’était pas immobile.
Lorsque les 4 éléments se sont à nouveau réunis pour n’en former qu’un comme au début de notre observation, l’ensemble a disparut comme en s’éteignant progressivement.
Nous avons observé ce phénomène pendant plus de 20 minutes, chacun y allant de son explication : Une sonde météo ? Un feu à l’horizon ? (la plus impossible des explications, car nous étions en plaine, c’était haut dans le ciel, et ça ne ressemblait pas à un feu) Une expérience militaire ? … et d’autres explications que vous imaginez bien.
Là, je n’ai pas non plus fait de déposition, mais il y a encore beaucoup de témoins qui pourront vous en parler.
En conclusion, je me demande… qui pourrait bien avoir envie de nous connaitre, nous qui sommes si primitifs dans nos comportements et certainement dans notre technologie ?
Parce qu’il faut être honnête, si les lois de la physique sont les mêmes dans tout l’univers, il faudrait déployer une technologie autrement plus pointue que celle qui nous permet juste d’envoyer des sondes sans retour aux confins de notre petit système solaire, dans notre petite – quoiqu’extraordinaire : elle comporte un trou noir massif en son centre ! - galaxie…
Et qui sommes-nous, parasites de l’univers, pour imaginer que notre « intelligence » soit LA référence ?
Et que dire d’univers parallèles qui expliqueraient bien des phénomènes ?
Je ne suis pas physicienne. Je ne peux rien en dire.
Mais j’ai fait 2 rencontres du premier type."
Source: "Le Post"
Depuis, les "lumières" et autres sphères sont de retour sur Audun le Tiche, observées à plusieurs reprises entre le 24 et 31 juillet dernier...
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