Re: Ovnis et interférences que faut-il en penser?

Bonjour.
@Tiko
Nous sommes au moins d'accord sur un point : la question de la méthode, pour l'appât possible, pour obtenir un retour contraint au sol et pour récupérer le tout, est importante.

Si nous écartons rapidement l'idée trop commode et très improbable qu'une espèce d'outre-espace soit venue jusqu'ici pour taper sur une semblable, cela indiquerait que des vulnérabilités de ces appareils inconnus ont été trouvées. Donc des essais seraient allés loin dans un sens offensif, mettant en danger des pilotes et peut-être des populations civiles survolées. Le Sénat des États-Unis sera certainement curieux d'apprendre comment ce risque a été géré, si les allégations des lanceurs d'alerte sont vérifiées un jour, et si méthode il y a.

Une autre thèse voudrait que ces matériels exogènes soient disponibles mais pas du tout à la suite d'accidents. Peut-être dans d'autres circonstances toutes aussi improbables : par exemple la découverte d'un dépôt désaffecté, terrestre ou placé en orbite proche, mais que les autorités présenteraient comme des accidents successifs pour éviter d'avoir à préciser la source véritable. Dans ce cas, la connaissance des circonstances d'une découverte serait plus facile à admettre que de détailler une méthode précise.

De plus, avec cette méthode éventuelle, on saura déjà qu'elle n'était pas opérationnelle tardivement, quand des sites très sensibles furent survolés en toute impunité comme on l'a appris (de l'année 1967). Donc elle aurait une histoire, si elle existe. Et ne serait valable que contre certains appareils et pas contre d'autres. Mais alors lesquels ? Ça deviendrait compliqué.

L'évocation de la période de l'Italie de Mussolini que nous voyons aujourd'hui pourrait n'être là que pour gommer cette question embarrassante de la méthode, de son historicité : les accidents proviendraient donc des appareils inconnus eux-mêmes bien-sûr, puisqu'ils finissaient même chez Mussolini !

Bonjour

Contente de vous lire Tiko Wink

Il ne faut pas oublier que notre planète est recouverte à plus de 70 % d'eau et que nous n'en avons exploré qu'une ridicule partie. Il est fort à parier que ces ovnis qui veulent rester discret s'organisent pour y plonger en cas d'accident d'autant plus qu'il semblent y être à l'aise (quand un de nos avions est en perdition, le pilote s'arrange pour éviter les lieux peuplés)

@Hector
Il n'est pas étonnant que des ovnis s'écrasent en Italie mais j'ai peur que nous soyons obnubilés par le désastre de la seconde guerre mondiale pour l'admettre..c'est sulfureux Hitler et Mussolini et diabolise tout ce qui y touche..la preuve les pseudosceptiques l'utilisent pour décridibiliser Grusch...il est vrai que Grusch fait fort avec ses propos Rolling Eyes

Bonne journée à vous

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Bonjour Loreline et Hector Wink

(vous savez, même si je ne participe que très peu maintenant au forum, je continue de vous lire toujours avec beaucoup de plaisir)

Mais étonnamment, je trouve que ce cas italien de 1933 (la supposée récupération d'un objet en forme de cloche), donne du sens à ce qui s'est produit ensuite dans l'histoire des ovnis. Parce que nous pouvons constater que souvent, avec ces cas d'ovni, il existe des faits de base (prosaïques ou non), à partir desquels tout un tas de nouvelles histoires se greffent. Quand ce ne sont pas des faits concrets, ces nouvelles histoires peuvent provenir de simples anecdotes, de confusions, et même de mensonges. C'est à dire que les histoires s'enrichissent avec le temps (l'important étant d'arriver à séparer le vrai du faux).

C'est comme ça par exemple que Roswell est devenu un cas fourre-tout, qu'il y ait eu à la base, un ballon ou un disque écrasé là bas. Parce que l'esprit humain est comme cela. C'est humainement logique. Quand un cas demeure mystérieux, avec le temps, un mythe se construit et se développe autour. C'est comme cela que se construisent les légendes urbaines. Des légendes qui n'ont parfois même aucun fait objectif à la base. Cela peut être une histoire intégralement inventée, pouvant aussi s'enrichir avec le temps, au travers des différentes personnes qui la propagent.

Et donc avec l'histoire des ovnis, on constate qu'entre les années 50 et 90, un véritable mythe s'est construit autour des nazis. Nous savons que certaines personnes et groupuscules extrémistes, à travers de faux documents, ont essayé de faire croire que le 3ème Reich avait développé et possédait des soucoupes volantes fonctionnelles pendant la seconde guerre mondiale. Toutes ces histoires sont fausses. Mais les faits de base pourraient être vrais, avec cette soi disant cloche...

(tout n'est jamais tout noir ou tout blanc, l'histoire est toujours plus complexe, et il convient de toujours la nuancer, sans non plus éliminer l'idée que cette histoire de cloche pourrait être un fake^^)

Bonjour.
Je souhaitais revenir sur un témoignage de D. Grusch qui n'aurait pas comporté cet aspect historique de l'Italie des années 1930. Un témoignage sans cet aspect.

S'agit-il d'un ajout imposé au lanceur d'alerte, ajout qu'on serait allé pêcher dans la saga ufologique ? Par ce moyen, tout questionnement sur l'historicité d'une méthode d'interception et de récupération outre-atlantique se trouvait écarté ou minimisé.

C'est-à-dire que le témoignage de D. Grusch mêlerait le vrai et le faux, en une opération de communication bien construite. Jusqu'à nous faire croire ensuite que des lanceurs d'alerte attendent sagement de voir comment l'un d'entre-eux est traité pour tous sortir du bois. S'agit-il d'une industrialisation du lanceur d'alerte ? Enfin ils n'auraient plus besoin d'attendre la retraite pour parler. Un bain de jouvence programmé pour l'ufologie mondiale. C'est du moins ce que nous devrions croire.

Si D. Grusch avait, à la place d'un prétendu cas italien, évoqué par exemple l'incident de Kecksburg en 1965, sur lequel Leslie Kean a enquêté, la question de la méthode restait. Il fallait probablement d'emblée sortir cet aspect du champ de la réflexion. Le comment était évacué pour n'attirer l'attention que sur une situation annoncée, à ce stade, sans preuve : une rétro-ingénierie menée même par des entreprises du secteur privé.

Hector01 a écrit:Bonjour.
Je souhaitais revenir sur un témoignage de D. Grusch qui n'aurait pas comporté cet aspect historique de l'Italie des années 1930. Un témoignage sans cet aspect.

S'agit-il d'un ajout imposé au lanceur d'alerte, ajout qu'on serait allé pêcher dans la saga ufologique ? Par ce moyen, tout questionnement sur l'historicité d'une méthode d'interception et de récupération outre-atlantique se trouvait écarté ou minimisé.

C'est-à-dire que le témoignage de D. Grusch mêlerait le vrai et le faux, en une opération de communication bien construite. Jusqu'à nous faire croire ensuite que des lanceurs d'alerte attendent sagement de voir comment l'un d'entre-eux est traité pour tous sortir du bois. S'agit-il d'une industrialisation du lanceur d'alerte ? Enfin ils n'auraient plus besoin d'attendre la retraite pour parler. Un bain de jouvence programmé pour l'ufologie mondiale. C'est du moins ce que nous devrions croire.

Si D. Grusch avait, à la place d'un prétendu cas italien, évoqué par exemple l'incident de Kecksburg en 1965, sur lequel Leslie Kean a enquêté, la question de la méthode restait. Il fallait probablement d'emblée sortir cet aspect du champ de la réflexion. Le comment était évacué pour n'attirer l'attention que sur une situation annoncée, à ce stade, sans preuve : une rétro-ingénierie menée même par des entreprises du secteur privé.

Bonjour Hector
On peut penser aussi que ce serait pour objectif de pourrir les déclarations de David Grusch : On ne peut pas le retenir et donc On neutralise ses propos ....De mêmes, il nous faut maintenant courir après les hangars géants d'après Ross Coulthart qui abriteraient d'immenses vaisseaux ►ICI

Il est vrai que j'ai toujours pas compris comment un animal aussi frustre que l'Humain ait pu concocter une civilisation aussi sophistiquée que la nôtre..sauf qu'il y a quand même mis sa marque en gâchant tout comme à son habitude