- Benjamin.dResponsable du forum
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Les hommes en noir ou Men In Black (MIB)
Les hommes en noir ou Men In Black (MIB)
Les "MIB" sont vus après une observation d'Ovni, et ils intimident les témoins en leur demandant de garder le silence à propos de ce qu'ils ont vu.
Parmi les témoignages liés à l’ufologie, on ne recense pas que des observations d’ovnis. Il y a également de sinistres hommes en noir, les fameux "Men in Black" qui se manifestent un peu partout dans le monde. Ces apparitions sont plutôt déroutantes car les témoins décrivent des Cadillac démodées, des pantalons noirs bien repassés, le tout dans une ambiance digne des meilleurs films noirs américains.
MIB :Abréviation de Men In Black, ou hommes en noir. Les MIB sont des personnages très bizarres, bien qu’il soit d'apparence humaine, ils effraient la plupart de ceux qui les rencontrent. Ils visitent les témoins d’une observation d’ovni et les persuadent de se taire à propos de leur expérience et d'oublier ce qu’ils ont pu voir. Ils vont même jusqu’à faire des menaces si les témoins ne veulent pas coopérer. De plus, ils effacent toute preuve sur les observations d’ovnis ou d’extraterrestres appartenant aux témoins.
Description:
Ils sont appelés les "Hommes en Noir" ("Men In Black" en anglais, d'où l'acronyme MIB) ou les "Horlocks" parce qu'ils sont habillés tout de noir: avec un costume noir, chapeau noir, manteau noir, etc. L'expression de MIB a été inventée par John Keel (enquêteur ufologue américain) dans les années 60. Ils ont parfois des mouvements comme des robots. Ils parlent d'une voix monotone. Ils ont des yeux sensibles à la lumière, ils portent très souvent des lunettes de soleil noires. Cheveux noirs, peau blanche, des hommes presque toujours. Visage sans expression. Ils sont apparemment le plus souvent des humains qui sont contrôlés par des influences extraterrestre ; bien que d'autres "MIB" aient été rencontrés qui ne semblent pas humains, mais plus synthétiques (il y a le cas d'un MIB qui a été vu avec un fil greffé le long d'une jambe et qui a paru épuisé au bout d'un moment, et a donné congé à ceux à qui ils parlaient en disant qu'il "avait besoin d'aller se recharger").
Activités:
Les "MIB" sont vus après une observation d'OVNI, et ils intimident les témoins en leur demandant de garder le silence à propos de ce qu'ils ont vu (plusieurs des témoins peuvent être des "enlevés" dont la mémoire de cet évènement d'enlèvement a été supprimée). Ils leur demandent de ne parler à personne, ni aux autorités, ni à leurs amis, ni à leur famille de ce qu'ils ont vu; sous peine de voir leur vie ou celle de leur famille menacée. Le plus étrange est qu'ils sont au courant que le témoin a vu un OVNI puisqu'ils apparaissent très peu après, parfois même à l'instant où l'apparition cesse, quelques secondes après; et en tous cas avant que le témoin en ait parlé avec qui que ce soit presque toujours, alors qu'il était seul à avoir observé l'OVNI: ils sont manifestement au courant parce qu'ils étaient eux-mêmes dans l'OVNI ou ont été averti par les occupants de l'OVNI de faire ce travail. Ils n'apparaissent pas systématiquement lors de toutes les observations d'OVNIs: on peut penser qu'ils sont là seulement lors des apparitions d'OVNIs appartenant à leur civilisation ou a ceux de leurs maîtres pour qui ils travaillent. Si le témoin parle malgré tout ultérieurement, ils le savent et reviennent le voir pour augmenter l'intimidation: ils semblent au courant de ses faits et gestes.
Leurs "menaces" paraissent être motivées par des tentatives d'utiliser le "terrorisme", la "peur" ou l'"intimidation" comme arme psychologique à l'encontre des témoins. Cette "arme" peut être utilisée non seulement pour garder l'humain sous contrôle des MIB, mais peut être aussi pour garder les MIB sous contrôle aussi (de leurs maîtres). Leurs menaces peuvent aller, si le témoin persiste, jusqu'à l'utilisation de la force mortelle (et c'est arrivé malheureusement). Ils se déplacent souvent par groupe de trois. Lorsqu'ils rencontrent les témoins à qui ils demandent le silence, ils se font passer pour des postiers, des réparateurs, des agents du gouvernement, etc. Il semblerait parfois que selon la personne à qui ils s'adressent et ce qu'elle est prête à croire, ils cherchent dans ses pensées comment se présenter pour avoir l'impact le plus grand sur elle. Ils apparaissent parfois aux témoins pendant qu'ils sont chez eux (se matérialisant pour leur parler puis disparaissant?).
Ils sont souvent vus, même presque toujours, avec de grandes automobiles noires, toujours de modèles anciens (des automobiles de ville marque Buicks ou Lincoln par exemple) dont certaines ont disparu sous les yeux des témoins dans des montagnes (comme dans le cas d'un de leurs lieux d'anchrage quelque part entre Hopland et Lakeport en Californie)., des canyons ou des tunnels et dans certains cas la voiture s'est matérialisée ou dématérialisée (cachée?) dans l'air.
Apparitions des Men in Black dans le monde
Il y a, apparemment, de nombreuses personnes qui ont été contactées par des hommes en noirs, dans des pays aussi différents que les Etats-Unis, l’Italie, la Suède, la Grande-Bretagne ou le Mexique.
De nombreux détails de ces récits correspondent à la description donnée par Bender. D’autres, ne correspondent pas du tout. De nombreux témoignages ont bien sûr étaient éliminés car provenant de personnes peu sérieuses ou un peu "dérangées".
En fait, ces visites mystérieuses sont plutôt inquiétantes dans la mesure où on ne sait pas s’il s’agit de la vérité, d’une hallucination ou de canulars.Les témoignages classiques font état d’un scénario immuable. Peu de temps après avoir vu un ovni, le témoin reçoit la visite d’un enquêteur.Cette visite intervient très peu de temps après l’observation d’ovni, si rapidement que ni les autorités, ni la presse ne sont encore au courant.En général, l’enquêteur n’est pas seul. Trois est le chiffre le plus souvent avancé. Ces enquêteurs agissent comme de vrais policiers et sont déjà au courant d’une incroyable quantité de détails : nom de la personne, circonstances de l’observation de l’ovni, témoins présents …
Les hommes arrivent toujours dans une Cadillac noire d’un modèle périmé bien que la voiture paraisse neuve.
Quand le témoin a noté le numéro d’immatriculation, il s’avère faux.
Les visiteurs sont presque toujours des hommes et sont habillés de noir des pieds à la tête sauf pour la chemise d’un blanc immaculé.
http://www.dinosoria.com/hommes_noirs.htm
Quelques témoignages sur les manières de faire des MIB
Il arrive que des personnes ayant pu s'approcher d'un ovni reçoivent, peu de temps après, la visite des mystérieux "hommes en noir" leur enjoignant de se taire. Appartiennent-ils à des services gouvernementaux secrets ou sont-ils des visiteurs d'une autre dimension ?
Philip Spencer
Novembre 1987, à l'aube, sur Ilkley Moor, dans l'Ouest du Yorkshire, en Angleterre. Un ancien policier, Philip Spencer, s'apprête à prendre une photographie du village de Menston. Soudain il aperçoit une " entité entourée d'une lumière verte" à distance devant lui. Ensuite, il ne se souvient de rien: il se réveille â Menston, étourdi et désorienté. Aussitôt, il fait développer sa pellicule. Sur l'une d'elles figure la fameuse " entité ". Désemparé, Spencer décide de s'adresser à un ufologue. Il tombe sur l'adresse de Jenny Randles, spécialiste dans ce domaine, à qui il écrit une lettre décrivant ce qui lui est arrivé. Celle-ci le met en rapport avec un autre chercheur, Peter Hough, qui suggère à Spencer de se soumettre à une enquête approfondie. Philip Spencer accepte de collaborer, et environ six semaines plus tard, il reçoit la visite inattendue de deux hommes qui prétendent être des agents des services de rensei-gnement de la Royal Air Force. En lui montrant, rapidement et de loin, leurs laissez-passer officiels, ils déclinent leurs noms : Jefferson et Davis. Puis ils lui expliquent que leur mission consiste à récu-pérer la photographie que Spencer a prise à Ilkley Moor. Mais celui-ci a déjà remis la photo à Hough. Mécontents, les visiteurs repartent bre-douilles. Comment ces étrangers connaissaient-ils l'existence de cette photographie? Spencer n'en avait parlé qu'à sa femme, à Peter Hough, à Jenny Randles et à Arthur Tomlinson, autre ufologue enquêtant sur cette affaire. Informé de la mésaventure de Spencer, Hough contacte les services de renseignement de la Royal Air Force pour obte-nir confirmation de l'identité des visiteurs. On lui répond que personne de ce nom n'existe et qu'au-cun membre des services en question ne s'est rendu chez Spencer. Devant ces faits troublants,
Hough parvient à la conclusion que Spencer à été victime d'un des " sous-produits " les plus curieux du phénomène ufologue moderne : une visite des " Hommes en noir ".
1953 - témoignage d' Albert K. Bender
Un soir alors que Bender était allongé dans sa chambre, il remarque 3 visages dans la pièce. Ceux-ci deviennent peu à peu plus clairs et les détails de leur vêtements se précisent. Ils sont vêtus de noir, et portent des chapeaux qui masquaient en partie les traits de leur visage.
Bender raconte : " Les yeux des 3 hommes se mirent soudain à s'illuminer. Comme des ampoules électriques, et les 3 visages firent de même. Alors, ils convergèrent tous vers moi. La douleur au-dessus de mes yeux devint presque insupportable. Ils semblaient brûler de l'intérieur. Ce fut à ce moment que je sentis qu'il m'adressaient un message par voie télépathique."
Les étranges visiteurs confirment alors à Bender que ses spéculations sur la véritable nature des ovnis sont parfaitement justes. Ils lui fournissent même des détails supplémentaires. Mais ils lui demandent de faire cesser la publication de son journal, dissoudre son association, et ne révéler la vérité à personne. Il ne devait en tout pas révéler quoi que ce soit. De fait, juste après la publication du numéro d'Octobre 1953, les publications s’arrêtèrent, et l'ISBF ferma ses portes sans aucune autre explication.
Cette histoire qui peut sembler rocambolesque n’a été connue que bien des années plus tard. En 1963, Bender raconta son histoire dans un livre intitulé "les soucoupes volantes et les trois hommes en noir." Le livre ne fournit que peu d’informations et dans l’ensemble est très décevant. Bender y raconte une histoire de bases extra-terrestre dans l'Antarctique. C'était apparemment la vérité que Bender n'avait pas osé communiquer plus tôt. Bender a également fourni des schémas des soucoupes qu'il aurait vues.
Certains pourront penser que Bender a trop rêvé d’ovnis et a fini par en voir. D’autres pourraient penser qu’il s’agit d’une opération publicitaire. On a aussi émit l'hypothèse que son histoire de visiteurs mystérieux et cette mise en garde n’étaient que des alibis pour fermer une association qui perdait de l'argent.
Cependant, ce qui étrange, c’est que cette histoire n’est pas la seule du genre.
Paul Miller
Après une partie chasse, un soir de Novembre 1961, Paul Miller et 3 de ses amis reviennent chez eux, à Minot (Dakota du Nord, USA). Ils aperçoivent soudain, dans un champ voisin, une sorte de "silo lumineux" en train d'atterrir. Ils s'approchent, croyant voir un avion en difficulté, et découvrent 4 humanoïdes. Pris de panique, Miller ajuste l'un d'eux et tire, blessant, semble-t-il, la créature qui s'enfuit.
Les 4 amis décident de ne parler de l'incident à personne. Pourtant, le lendemain matin, 3 hommes vêtus de noir se présentent au domicile de Miller, juste avant qu'il ne parte au travail. Ils se disent envoyés par un bureau gouvernemental, sans d'ailleurs pouvoir le prouver, et affirment être au courant de l'incident par un "rapport".
Apparemment, ils connaissent tout de Miller : son travail, ses loisirs, ce qui s'est passé la veille. Ils posent leurs questions comme s'ils en connaissaient les réponses, mais ne disent rien de l'humanoïde blessé. Par contre, ils semblent fascinés par les vêtements de Miller, qu'ils cherchent manifestement à regarder de plus près.
L'incident laissera une telle impression de malaise au chasseur qu'il n'osera pas en parler avant plusieurs années.
http://www.rr0.org/MillerPaul.html
le Docteur Herbert Hopkins
Médecin psychiatre réputé.
Le 11 Septembre 1976, agé de 48 ans, il est en pleine possession de ses moyens. Alors qu'il travaille sur un cas d'apparition d'ovni dans le Maine (Etats-Unis), il reçoit un coup de téléphone. Un homme, qui se présente comme le vice-président d'une association de recherche sur les ovnis, demande à lui parler. Le docteur accepte. Pour guider son visiteur, il descend allumer les lumières extérieures de la maison. C'est alors qu'il voit un homme en train de monter les marches. C'est celui qui vient de lui téléphoner. 1er mystère : comment a-t-il fait pour accourir aussi rapidement, d'autant qu'il n'y a aucune voiture garée sur le parking de la maison ? Hopkins déclarera :
Je n'ai pas vu de voiture ; et même s'il avait eu une voiture, il n'aurait absolument pas eu le temps de venir chez moi aussi rapidement à partir d'un téléphone public.
L'homme est habillé en noir : costume à la coupe démodée, chapeau, cravate et souliers. Sa chemise est immaculée. Tout, sur lui, a l'air parfaitement propre et bien repassé. Deuxième étrangeté, l'homme est complètement glabre ; il n'a ni cheveux, ni sourcils, ni cils. De plus, sa peau est très pale, alors que ses lèvres sont rouge vif. Quelques instants plus tard, le docteur Hopkins s'apercevra qu'il s'agit d'un maquillage et que l'homme porte comme un rouge à lèvres !
La conversation s'engage librement. On parle d'ovnis. Le visiteur conseille à Hopkins de détruire la totalité de ses archives concernant l'affaire d'enlèvement. Plus le temps passe et plus l'intensité du discours de l'homme en noir diminue. Il finit par se lever, un peu comme s'il avait les jambes très faibles, et il dira :
Mon énergie diminue, je dois partir maintenant. Au revoir.
Avant de partir, il affirmera au docteur que 2 pièces de monnaie se trouvent dans ses poches. C'est le cas. Par une sorte de suggestion hypnotique, l'homme en noir en fera disparaître une, affirmant :
Ni vous, ni quiconque, ne reverra cette pièce sur cette planète.
Titubant légèrement, l'homme gagnera la sortie en s'enfonçant dans l'obscurité. Le docteur apercevra une lumière très vive sur la route, une lueur plus blanche que celle des phares d'une voiture. On ne retrouvera aucune trace de l'engin.
Quelques jours plus tard, Maureen, la belle-fille du docteur devait recevoir une visite au moins aussi étrange. Un couple, cette fois ! L'homme et la femme paraissent âgés d'une trentaine d'années, et portent des vêtements démodés. La femme a un air bizarre avec sa poitrine tombante et ses hanches curieusement faites. Tous deux marchent à petits pas, comme s'ils avaient peur de tomber.
Pendant tout l'entretien, qui porta sur des questions personnelles et sur la vie quotidienne, l'homme ne cessa pas de "câliner" sa compagne, non sans demander à Maureen et à John, son mari, si c'était bien ainsi que cela se faisait. Il finira d'ailleurs par poser des questions très particulières sur l'intimité de Maureen et lui demandera des photographies d'elle nue !
L'entretien cessera brutalement et les 2 êtres, correspondant tout à fait aux descriptions de MIB, partiront sans même dire au revoir à ceux qui les avaient accueillis.
http://www.dinosoria.com/hommes_noirs.htm
http://www.rr0.org/HopkinsHerbert.html
Li Jing-Yang mai 1963
Li Jing-Yang avait six ans en mai 1963, quand il vit, tandis qu'il jouait avec ses camarades, un disque argenté brillant qui planait dans le ciel de sa province du Shansi, à Yangguan précisément. Le lendemain de cette observation, Li fut arrêté dans la rue par un homme très grand, mince et habillé tout en noir. L'homme demanda à Li, en pointant l'endroit du ciel où l'objet était apparu, s'il avait vu quelque chose d'inhabituel récemment. L'enfant répondit bien sûr par l'affirmative, et le MIB lui dit alors de "ne jamais dire à personne" ce qu'il avait vu. Puis il s'en alla et disparut au coin de la rue.
Li rapporte que l'apparition de ce personnage peu commun fut remarquée et abondamment commentée par plusieurs habitants, qui furent frappés par la démarche mécanique et la voix bizarre de l'inconnu, qui semblait sortir d'un automate - ses lèvres restant immobiles tandis qu'il parlait. Il fit ainsi à l'observation du disque volant une publicité qui allait exactement à l'encontre de sa mise en garde au petit Li.
Rex Heflin 1965
L'aventure de Rex Heflin, cet inspecteur d'autoroute de Santa Ana (Californie) qui avait photographié un ovni près d'un camp de Marines, a marqué les esprits. En 1965, il prit plusieurs photos d’un OVNI avec son Polaroïd.
Il reçut la visite d’un homme disant être un représentant du NORAD (North Americain Air Defense Command) à qui il remit les originaux des photographies (par bonheur, il avait fait copier ses photos). Ne voyant pas venir ses photos en retour, au bout d'un certain temps, Heflin contacte le NORAD: on lui répond qu'aucun membre de cette agence ne l'a visité Les polaroïds originaux ne seront jamais retrouvés..
Deux ans plus tard, le 11 octobre 1967, un inconnu frappe à sa porte, au crépuscule. Il porte un uniforme de l'Air Force. Fort de sa première expérience, Heflin lui demande ses papiers, ils étaient au nom du capitaine C.H. Edmonds. L’homme lui pose quelques questions et lui parle des photos, il lui demande même s'il sait quelque chose du Triangle des Bermudes! Pendant la conversation, Heflin remarque la présence, d’une voiture arrêtée, dans la rue, avec sur le siège arrière quelqu’un, et une lumière violette qui éclaire faiblement l'intérieur.
Plus tard, un certain nombre d'enquêteurs, parmi lesquels le regretté James E. McDonald, mettront tout en oeuvre pour identifier ces visiteurs. Leurs efforts, malgré les précautions prises par Heflin, resteront vains. Personne ne saura jamais qui a parlé à Rex Heflin…
Carlo Rossi Italie fin de juillet 1952
Carlo Rossi avait l'habitude de pêcher la nuit dans son coin favori, sur la rivière Serchio dans la partie septentrionale de l'Italie. Bien qu'il avait perdu un bras dans un accident, Carlo Rossi, un homme dans la cinquantaine, se débrouillait avec son autre main pour amorcer sa ligne, et prenait énormément de plaisir à son loisir favori.
Il était trois heures du matin, en cette fin de juillet 1952. Un reflet de lumière sur l'eau attira l'attention de Rossi. Il leva les yeux et vit un objet bizarre, comme une bobine aplatie, avec des rotors sur le dessus, qui planait un peu au-dessus du cours d'eau. Il lançait des éclairs oranges et bleus. Un tube sortit bientôt de l'objet et plongea dans la rivière, semblant pomper de l'eau. Rossi regardait la scène bouche bée, quand un personnage d'apparence humaine émergea par une ouverture au sommet de l'engin. Il dévisagea le pêcheur pendant un instant, puis pointa son doigt vers lui, comme s'il voulait le montrer à une autre personne que Rossi ne pouvait pas voir, à l'intérieur de l'objet. Carlo Rossi n'était pas rassuré et prit la fuite. Un rayon de lumière verte passa encore au-dessus de sa tête, tandis qu'il ressentait comme une secousse électrique dans tout le corps. S'étant jeté à terre, il put voir l'objet s'élever et disparaître en direction de Viareggio.
Rossi décida de ne parler à personne de ce qu'il avait vu. Il ne fut pas peu surpris quand, deux mois plus tard environ, le 15 septembre, alors qu'il gagnait son lieu de prédilection en fin de journée, un étranger le salua et lui demanda s'il n'avait pas vu "un avion, ou un autre engin volant au-dessus de la rivière"! L'inconnu, qui avait semblé l'attendre, était vêtu de bleu sombre, et son visage était très anguleux et son regard pénétrant. Il s'exprimait en italien, mais avec un fort accent, comme celui d'un Scandinave. Rossi, se sentant menacé, nia avoir vu quoi que ce soit. L'autre lui offrit alors une cigarette - comme le pêcheur n'en avait jamais vue, avec une marque dorée sur le côté. Sitôt qu'il en eut tiré une bouffée, il se sentit pris de vertiges et de nausées. Alors l'étranger lui arracha la cigarette, l'écrasa et la jeta dans la rivière! Puis il s'en alla sans demander son reste.
Robert Richardson Habitant de Toledo (Ohio) aux Etats-Unis.
Une nuit de Juillet 1967, Richardson entre en collision avec un objet inconnu qui lui barre la route. Il en avertit aussitôt un organisme officiel de recherches. A la police qui l'accompagne sur les lieux après l'incident, il ne peut que relater son aventure.
Il roulait à faible vitesse quant il a vu, dans ses phares, un étrange objet lui barrer la route. Incapable de s'arrêter à temps, il l'a percuté de plein fouet. L'objet, lui, a disparu aussitôt. La police ne relèvera que les traces de la voiture de Richardson. Pourtant, quelques jours plus tard, revenu seul sur les lieux, il trouvera un morceau de métal qu'il estimera provenir d'un ovni.
Tout commence alors. Le lendemain, un peu avant midi, 2 hommes se présentent au domicile de Richardson et l'interrogent pendant 10 mn. Il ne se présentent pas et se contentent de le questionner. Il repartent ensuite dans un cadillac noire, d'un modèle vieux de 15 ans. Le numéro, noté par Richardson, se révèlera être un faux.
Une semaine plus tard, 3 hommes se présentent encore au domicile de notre homme. Ils sont habillés en noir. Leur peau est également noire. La conversation s'engage, dans un anglais teinté d'accent. Les 3 hommes tentent de persuader Richardson qu'il n'a pas eu d'accident. Il lui réclament ensuite le morceau de métal qu'il a retrouvé sur la route. Quand il leur répond qu'il est dans un laboratoire officiel pour analyse, les trois hommes menacent et lancent : Si vous voulez que votre femme reste aussi jolie qu'elle l'est actuellement, vous feriez mieux de nous rendre ce morceau.
Normalement, personne n'était au courant de l'accident nocture de Robert Richardson, hormis la police et l'organisme officiel de recherche sur les ovnis. On peut donc se demander qui étaient ces deux groupes de visiteurs et pourquoi ils tenaient à récupérer une "pièce à conviction".. Home
http://www.rr0.org/RichardsonRobert.html
Les M.I.B. II: Le Retour
Depuis la fin des années 50, on a recensé plus de 30 cas de visites aux USA d'hommes habillés de noir qui tentèrent d'impressionner des témoins ou des chercheurs d'OVNI.
Le plus souvent par groupes de trois, certains se font passer pour des témoins d'apparitions d'OVNI, d'autres intimident leurs victimes en les menaçant de leur faire subir des représailles corporelles si elles continuent de parler de leurs observations. Certains s'expriment avec un accent et leur langage est tantôt extrèmement soigné, tantôt ridicule, car utilisant un argot des séries B américaines d'autrefois. Ils ont tous en commun un costume noir, une cravate noire, et une chemise d'une blancheur irréelle. La plupart seraient plutôt basanés, souvent avec des yeux bridés, d'autres ont le teint très pâle. D'après les témoignages, les hommes en noir se comportent comme des robots dénués de sentiment, leur élocution est mécanique et ils font preuve d'une grande perplexité devant certains objets aussi banals que des stylos à billes ou des couverts.
On avait l'habitude de voir les Hommes en Noir (en anglais: Men in Black, MIB) se balader par trois, dans de grosses Cadillac noires qui n'avaient rien à envier à Kitt, la fameuse héroïne de K 2000.
Cette époque est révolue: les Cadillac ont cédé la place à des véhicules plus... ou moins discrets! Et puis, les MIB des années '90 semblent avoir un comportement moins typé: s'ils font toujours penser, de loin, à l'agent Mulder et à ses acolytes, leur attitude paraît, d'une façon générale, moins axée sur l'obsession d'étouffer les affaires d'ovnis. Pas d'équivoque, pourtant: ce sont eux. Ils surgissent toujours du même monde sulfureux, l'impression qu'ils laissent chez les humains qui les rencontrent est toujours la même, angoissante, désagréable. Avec des nuances, cependant, qui semblent varier selon la réaction de leur interlocuteur. De plus, leur lien avec les apparitions de mystérieux objets célestes est toujours aussi évident.
Jorge Martin, l'éditeur de la revue Evidencia Ovni, a enquêté sur une apparition de MIB à Porto-Rico (où l'activité soucoupique est très intense). En interrogeant Diego Segarra, un des témoins principaux des observations de la Laguna Cartagena, il apprit de celui-ci qu'un de ses amis avait eu une expérience peu commune en explorant les environs du lagon. Il avait avec lui son camescope, pour filmer les différents lieux d'apparitions. Soudain, il fut ébloui par un éclair très brillant, et vit qu'il provenait d'un objet sphérique sur le point d'atterrir! Il se cacha dans la végétation tropicale, dense à cet endroit, et put assister à (et, paraît-il, filmer) la sortie de Petits Gris de l'objet, suivis par un personnage d'apparence humaine et albinos, vêtu d'un complet noir, chemise blanche et cravate rouge (un accoutrement traditionnel des MIB). Il portait des lunettes noires (naturellement, serait-on tenté de dire) et ses cheveux étaient argentés. Il se passa alors quelque chose qui semble confirmer une fantastique hypothèse que le Grepi présentera bientôt sur ce site: il fut emmené par deux soldats à bord d'une jeep! On est loin du standing des MIB d'antan...
Pour rester dans la région, mentionnons cette dépêche d'UPI qui circula un certain temps dans les Caraïbes, quand les journaux rapportèrent un événement qui s'était déroulé à San Juan de los Morros, au Vénézuela. Deux médecins avaient vu s'arrêter, sur la route conduisant à leur clinique, une Mustang rouge, d'où étaient sortis deux hommes habillés exactement de la même façon: costume noir, lunettes fumées et cravate rouge... Les deux personnages ceignirent alors ce qui semblait être une sorte de ceinture. Quelques instants plus tard, un ovni apparut dans le ciel, et s'approcha suffisamment du sol pour que les deux énigmatiques "touristes" puissent y monter par une échelle descendue de l'appareil. Ayant fait demi-tour, l'objet s'éleva rapidement dans l'espace.
Lois Le Gros, un enquêteur de Pennsylvanie, a étudié plusieurs cas impliquant des MIB dans les années '90. Voici deux cas où les témoins sont des personnes qui avaient été enlevées à bord d'ovnis.
L'un de ces abductés, en compagnie d'un ami, fut menacé par un Homme en Noir dans un supermarché des environs de Pittsburgh: le mystérieux personnage tenta, dirent-ils, de les hypnotiser avec une étrange bague qu'il portait au doigt.
L'autre cas, également dans la région de Pittsburgh, est celui d'une jeune "enlevée" qui rencontra jour après jour un MIB sur le chemin de son travail. Le décrivant comme "intimidant", ce témoin raconta à Le Gros qu'il montait tous les jours dans le bus, s'asseyant chaque fois plus près d'elle. Ce sinistre individu était entièrement vêtu de noir: long imperméable (même par beau temps), chapeau, chaussures, gants et chemise noirs. Une fois, il prit place juste à côté d'elle, l'obligeant à se recroqueviller contre la fenêtre.
Cette jeune femme pourrait jurer qu'elle était la seule, dans le bus, à percevoir la présence oppressante de ce personnage qui semblait sortir d'un autre monde.
Une rencontre étrange est rapportée par un lecteur de FATE à son magazine: elle survint au début des années 80, alors qu'il habitait l'upper west side de Manhattan.
Un après-midi, comme il rentrait chez lui après les cours, il pénétra comme d'habitude dans le vestibule de son immeuble quand il remarqua trois hommes qui se tenaient près de la porte intérieure. Il eut la très nette impression que ces hommes l'attendaient. Ils n'étaient pas grands, environ 1m70, le teint olivâtre, les cheveux noirs. Ils portaient tous trois des complets noirs et des chemises blanches, sans cravate. Ils lui firent penser aux serveurs qui travaillent dans les restaurants grecs, nombreux à New-York.
Quand il s'approcha des trois hommes, celui qui se trouvait le plus proche (ils étaient alignés le long du mur) lui demanda: "Quelle heure est-il?"
- Trois heures trente.
A cette réponse, ils se tournèrent d'un seul mouvement et se dirigèrent mécaniquement, l'un derrière l'autre, vers la sortie.
Le témoin de cette scène singulière réalisa quelques instants plus tard qu'il avait fait une classique rencontre de MIB. Il n'avait rien trouvé d'effrayant, ni de menaçant dans l'attitude de ces personnages. Il avait connaissance de ce genre de phénomène, et se souvint qu'effectivement, les MIB apparaissaient souvent par trois, et demandaient fréquemment l'heure, ou autre chose d'insignifiant et d'absurde. Le témoin pensa que son intérêt pour ce genre de choses devait être à l'origine de sa rencontre.
Un autre chercheur de Pennsylvanie, Mike Lonzo, fut amené à recueillir le témoignage d'une vieille dame dont l'histoire est singulière. Cette dame vit un jour tomber une étrange pierre noire dans son jardin. Et presque immédiatement après, elle reçut la visite de deux MIB en smoking, qui lui demandèrent, de façon tout à fait précise, de leur rendre la pierre noire, arguant que sa perte "serait la cause de la destruction de leur univers". Effrayée, elle s'empressa d'accéder à leur requête, et les choses prirent alors un tour inattendu: ses élégants visiteurs l'invitèrent à dîner dans un restaurant de Pittsburgh, où ils furent rejoints par leurs équivalentes féminines (l'histoire ne précise pas si elles aussi étaient vêtues de noir).
(Scott Corrales, Steamshovel Press #13, été 1995)
http://www.ovni.ch/conspira/mibret.htm
ETRANGES VISITEURS
Il serait tentant d' attribuer le récit de Spencer à son imagination débordante, mais il se trouve que le docteur Jim Singleton, psychologue, a fait subir à Spencer une série de tests. Ce dernier est formel : Spencer " dit la vérité telle qu'il croit la connaître ". En outre, l'expérience subie par Spencer n'est pas inédite, loin de là. Dans le monde entier, des ufologues recueillent d'innombrables récits analogues, récits de visites effectuées par des Hommes en Noir dont le seul but semble être d'inciter au silence les personnes concernées. Si l'on étudie le phénomène de plus près, on constate qu'il existe deux types de visites d'Hommes en noir: en effet, si ceux-ci prétendent toujours posséder une identité humaine, dans certains cas, cette identité semble au premier abord plausible ce n'est qu'après vérification que l'on s'aperçoit que l'identité déclinée était fausse et que ces hommes ont une connaissance inexpliquée de cer-taines informations. Dans d'autres cas, au contraire, leurs apparitions foisonnent de détails invraisemblables. Une de ces affaires extraordinaires eut lieu après l'enlèvement par des extraterrestres de deux hommes en octobre 1975, alors que l'activité extraterrestre battait son plein dans l'État du Maine aux États-Unis. Près d'un an après l'incident en ques-tion, le 11 septembre 1976, le psychiatre enquêtant sur l'affaire, le docteur Herbert Hopkins, travaillait chez lui, seul, lorsqu'il reçut un appel téléphonique d'un homme qui se présentait comme enquêteur en matière d'ovnis. L'étranger demanda l'autorisation de rendre visite au psychiatre, et moins d'une minute après l'appel téléphonique, il sonna à sa porte. "Je n'ai pas vu de voiture, et même s'il avait eu une voiture, il n'aurait absolument pas eu le temps de venir chez moi aussi rapidement à partir d'un téléphone public", fit remarquer le docteur Hopkins. Le visiteur conseilla à Hopkins de détruire la totalité de ses archives concernant l'affaire d'enlèvement. Mais peu à peu, Hopkins remarqua que la parole du visiteur devenait hésitante. L'homme se leva soudain en tremblant et, parvenant avec difficulté jusqu'à la porte, s'excusa en disant : " Ma réserve d'énergie est presque épuisée, il faut que je parte. " C'est alors que le docteur Hopkins prit conscience de l'aspect extrêmement étrange de son visiteur. Il portait un costume noir d'une coupe très démodée, mais qui semblait neuf. Totalement Chauve, il n'avait pas de sourcils ni de cils et, détail encore plus étrange, il portait du rouge à lèvres. L'expérience vécue par le docteur Hopkins constitue l'un des récits les plus fiables et les plus détaillés une visite d'Homme en noir. Pourtant, bien des aspects semblent absurdes, voire surréaliste. On constate cependant que nombre de cas d'apparition d'Hommes en noir comportent des détails de ce type. Cela semble indiquer que ces entités ne sont peut-être pas un phénomène physique, du moins au sens où nous l'entendons communément. Ces conclusions ont amené certains spécialistes à affirmer que les Hommes en noir sont des extraterrestre. Mais une autre hypothèse est avancée, selon laquelle ces hommes étranges ne seraient autres que des agents officiels.
DES AGENTS OFFICIELS ?
Si l'on rassemble les informations que l'on possède sur les diverses apparitions d'Hommes en noir, on constate que les récits varient d'un cas à l'autre quant aux détails, mais on retrouve toujours la même trame. En général, les Hommes en noir se manifestent peu de temps après qu'un ovni ou une rencontre avec un extraterrestre a été signalé. Il s'agit soit d'une visite, soit d'un appel téléphonique à la personne qui a rencontré le phénomène extraterrestre, ou à une personne enquêtant sur l'affaire. Lorsqu'il apparaissent en général à deux ou trois ils sont vêtus de noir OU portent un uniforme militaire. Ils se déplacent souvent dans une voiture d'un modèle très ancien, mais paraissant neuve. Certains Hommes en noir pré-sentent des papiers d'identité, mais ceux ci s'avèrent toujours faux par la suite. Les Hommes en noir semble toujours posséder des renseignements détaillés concernant la victime et l'expérience qu'elle a vécue, renseignements connus de la victime seule. Étant donné que la visite inter-vient la plupart du temps quelques heures seulement après l'incident de l'ovni, comment font-ils pour obtenir ces renseignements si rapidement? Selon certains ufologues, les seules personnes ayant accès à ce genre d'informations sont des agents secrets du gouvernement, ils estiment que ces mystérieux étrangers participent à une campagne de désinformation visant à dissimuler la nature véritable de certaines opérations secrètes menées par les services officiels, comme des opérations militaires ultra secrètes, par exemple. Par ailleurs, un certain nombre d'ufologues sont convaincus que les gouvernements cherchent à empêcher la population de découvrir la vérité sur les ovnis. Dans cette hypothèse, les Hommes en noir feraient partie d'une conspiration gouvernementale, fomentée par les services secrets et destinée à manipuler les témoins d'apparitions d'ovnis et les enquêteurs. La principale faiblesse de cette théorie réside dans le fait que les vagues menaces proférées par les Hommes en noir ne sont jamais mises à exécutons. En effet, ceux qui ont refusé de se conformer à leurs instructions n'ont jamais plus été inquiétés par la suite.
AVATARS DE L'IMAGERIE POPULAIRE ?
D'autres personnalités cherchent une explication psychologique au phénomène des Hommes en noir. L'ufologue américain Alvin Lawson note que toutes les personnes à l'allure étrange liées aux affaires d'ovnis semblent correspondre aux archétypes qui, selon le psychologue Cari Jung, sont enfouis dans l'imagerie inconsciente de chacun. En effet, de nombreux récits populaires évoquent des hommes vêtus de noir qui, périodiquement, sortent de leur monde souterrain pour rendre visite aux vivants. Selon certains chercheurs, les Hommes en noir ne sont que la version contemporaine de ces figures mythologiques. Mais dans ce cas, quel est l'élément qui déclenche, dans l'imagination de la victime, le processus lui donnant accès à ce réservoir d'images et lui permettant de créer une séquence d'événements étranges, toujours fondée sur le même schéma? Pour Lawson, la véritable énigme n'est pas tant ce que voit la victime, mais ce qui déclenche l'apparition de ces images archétypales. Malheureusement, il n'a, jusqu'à présent, apporté aucune réponse à cette énigme.
MANQUE DE PREUVES
Le phénomène des Hommes en noir fait mainte-nant partie intégrante du lourd dossier concer-nant les ovnis, exploité notamment par l'industrie cinématographique: Barry Sonnenfeld vient de réaliser un film, Men in black, produit par Spielberg. Pourtant, bien que l'on signale constamment la présence d'Hommes en noir dans divers endroits de la planète, jamais la preuve concluante de ces visites n'a pu être fournie. En outre, pour ajouter à la confusion générale, des services officiels tel que le Ministère de la Défense, tout en affichant désormais un grand intérêt pour des observations d'ovnis, notamment celles liées aux "triangles noirs " sur l'ensemble du continent européen, nient toujours la moindre participation dans le phénomène des Hommes en noir. Pourquoi?
Men in black : L'étrange affaire des hommes en noir et des ovnis
de Joël Mesnard
Joël Mesnard, Editions Le Mercure Dauphinois, octobre 2005
4e de couverture
Les témoignages sur les MIB (Men in black: hommes en noir) constituent l'une des facettes les plus obscures du phénomène OVNI. L'invraisemblance de ces manifestations, au premier abord, est telle qu'on serait tenté de douter de leur réalité.
Tout se complique quand on constate que l'ensemble des récits présente une cohérence assez marquée, et que des apparitions de ce genre ont été décrites dans de nombreux pays (jusque en Chine dès 1963), toujours à la suite d'observations d'ovnis. Qu'il s'agisse de "visions" (au sens non optique du terme) ou de quelque chose de plus matériel, les MIB nous soumettent une énigme d'un genre nouveau, aux limites de l'ufologie.
L'auteur, Joël Mesnard, assure depuis 1988 la publication de la revue ufologique Lumières dans la Nuit, fondée en 1958. Il lui est arrivé à plusieurs reprises d'obtenir, en France, des témoignages de cette sorte. Sa position sur ce sujet est claire: il estime nécessaire de recueillir, avec soin, les récits des témoins, lorsqu'aucune circonstance particulière n'incite à douter de leur bonne foi. En revanche, il croit prudent de réfréner toute volonté de les interpréter prématurément, et craint que notre imagination ou nos présupposés de toute sorte puissent nous suggérer de fausses solutions. Pour lui, les faits ont plus de valeur que tout ce qu'on peut en dire. Il est convaincu que la meilleure manière d'affronter ces mystères consiste à respecter les données brutes, et à se montrer exigeant sur la qualité de l'information, notamment en allant, chaque fois que c'est possible, au plus près de la source.
Les MIB - Les MEN IN BLACK - Les HOMMES EN NOIR et LES EXTRATERRESTRES QUI SONT PARMI NOUS
par christian Macé
Nous n’avons que trop tendance à " classer " certains incidents importants ou simples faits divers, qui finissent ainsi par sombrer dans l’oubli.
Nous allons ressortir pour vous ces " affaires non classées " à l’aspect inquiétant.
Les lecteurs pourront exercer leur sagacité sur ces faits bizarres à tous points de vue, qui, jusque là, faisaient partie du " domaine réservé " des... ufologues avertis !
De quoi s’agit-il ?
LES HOMMES EN NOIR
Il nous faut évoquer ces angoissants personnages qui sont venus, plus d’une fois, rendre visite à certains témoins d’observations OVNI, ... " les Hommes en noir " !
" Ils " ne se déplacent pas pour des faits mineurs, mais pour des affaires qui doivent revêtir, pour ceux-ci, une extrême importance quelque part...
Remettons nous en mémoire certaines de leurs interventions...
Le 26 mars 1880, à Galisteo Junction, au sud de Santa-Fe, Nouveau-Mexique, quatre hommes virent un OVNI au dessus de leur village ; un objet en tomba, une espèce de vase couvert de hiéroglyphes incompréhensibles.
Citation : " Les témoins l‘avaient porté dans la seule boutique du village, qui faisait également office de lieu de réunion, afin de prouver qu’ ils avaient bien vu " quelque chose ". L’objet y était resté deux jours, jusqu'à ce qu’un homme se disant " collectionneur " se présentât pour l’acheter. Il en offrit une somme astronomique, dit-on... ", page 146 du livre de Jean Prachan " Le Triangle des Bermudes, base secrète des OVNI ", Éditeur Belfond, 1978.
Autre citation, page 146 du même livre : " On sait, par exemple, qu’en 1897, au Texas, un " homme en noir " s’empara d’un morceau de métal retrouvé par les témoins du passage d’un OVNI après que celui-ci l ‘eut laissé tomber. "
À noter que la CIA n y était pour rien, puisque cette Agence fut créée en... 1947 !
Aux USA, 21 juillet 1947, Mr Dohl, à bord du bateau de patrouille du port de Tacoma, au large de l’île Maury, vit six OVNI, dont un laisse tomber de la matière.
Il reçut la visite d’un " homme en noir ", qui avait décrit l’incident, aussi nettement que s’il avait été assis près de Mr Dohl sur le bateau ! Le mystérieux personnage lui intima l’ordre de se taire ! Enquête sur place du célèbre Kenneth Arnold. Voir son livre " The Coming of the Saucers " écrit avec Ray Palmer, édition à compte d Auteur, Amtierst, Wisconsin, 1952.
En 1951, USA, au large des côtes de la Floride, l’équipage d’une vedette aperçoit un OVNI. L’océan alentour était couvert de poissons morts, le ventre à l’air. Soudain, un avion apparut à l’horizon et le mystérieux objet s’éleva dans l air où il disparut en quelques secondes.
À peine la vedette avait-elle regagné son port d attache à Key West (extrême sud de la Floride), que les membres de l’équipage furent accostés par un groupe d hommes d’allure officielle vêtus de noir.
Ils posèrent mille questions concernant leur observation en pleine mer. Selon l’un des témoins, on aurait dit que « ces hommes tendaient à discréditer la validité du témoignage des marins » ! Voir page 147 du même livre de Jean Prachan.
En janvier 1952, Albert K. Bender, avait créé l’organisme " International Flying Saucers " (Bureau international pour les soucoupes volantes), qui éditait le magazine " Space Review " (Revue de l'Espace)... moins de deux ans plus tard, bien qu’elle fut en plein essor, l’association dût brusquement fermer ses portes ! L’ultime numéro du magazine publiera le communiqué suivant : " Il n’y a plus de mystères des soucoupes volantes : on sait déjà d’où est venu la solution, mais toute révélation à ce sujet est interdite par ordre d’une autorité supérieure. Nous aurions aimé raconter toute l’histoire dans " le bulletin de l’espace ", mais en raison de la nature de cette information, il nous a été conseillé de n’en rien faire à notre grand regret. " Voir page 100 du livre " Extraterrestres et Soucoupes Volantes ", Éditeur Le Livre de Paris-Hachette, 1979.
Bender révélera plus tard qu‘il avait dû suivre " les recommandations " de trois " hommes en noir ", aux yeux brillants, capables de se " matérialiser " et " dématérialiser ", doués du pouvoir télépathique !
Voici maintenant un autre cas tout aussi édifiant, qui avait été transmis à titre privé (moyennant la garantie de l’anonymat) au docteur J. Allen Hyneck, consultant pendant 20 ans à l’US Air Force, en matière d OVNI.
L’incident eut pour témoins quatre hommes, dont deux d’entre eux ont un poste relevant de la sécurité militaire (page 172, livre de J. Allen Hyneck " Les OVNI, mythe ou réalité ? ", Éditeur Belfond, 1974).
Fin novembre 1961, Paul Miller et ses trois amis revenaient chez eux, à Minot (Dakota du Nord), après une partie de chasse. Ils virent un OVNI atterrir, et arrivés sur les lieux, ils constatèrent la présence de quatre humanoïdes autour de l’engin. Pris de panique, Paul Miller tira sur l’ une des "réatures ", avec un fusil Hornet 22, un Winchester modèle 43, équipé d’une lunette Weaver K-4 !
Après leur retour, ils se rendirent compte... qu’une période de temps manquait ! … Les quatre amis décidèrent de ne parler de l’incident à personne.
Pourtant, le lendemain matin, trois hommes vêtus de noir se présentèrent au domicile de Miller, juste avant qu’il ne parte au travail. Ils se disent envoyés par un bureau gouvernemental, sans d’ailleurs pouvoir le prouver. Ils affirment être au courant de l’incident par un " rapport ". Apparemment, ils connaissent tout de Miller : son travail, ses loisirs, ce qui s’est passé la veille... " Tiré de " Hommes en noir : Trois ténébreuses affaires ", page 102 du livre " OVNI, un dossier brûlant ", Éditions Atlas, 1984.
La relation de ces événements est mentionnée de façon complète dans le livre de J. Allen Hyneck et Jacques Vallée " Aux limites de la réalité ", Éditeur Albin Michel, 1978, pages 149 à 161.
La voiture utilisée par ces " hommes en noir ", devait être une Plymouth 61, une voiture de série.
Comme on vient de le voir, et comme on le verra encore, ces " inquiétants Agents " sont très bien renseignés. De surcroît, ce sont manifestement des imposteurs qui veulent nous induire en erreur, et qui peuvent opérer aussi... en uniforme !
En novembre 1966, deux femmes, dont Mme Ralph Butler, observent des OVNI à Onatonna (Minnesota). L’amie de Mme Butler servira en quelque sorte de médium à ce moment, car une étrange voix métallique posant des questions, surgira de ses lèvres ! Par la suite, dés qu’elles essaient de parler de l’affaire à d’autres personnes, elles se mettent toutes les deux à souffrir de maux de tête épouvantables !
En mai 1967, un mystérieux personnage rend visite à Mme Butler. Il dit être le commandant Richard French ; il mesurait environ 1,75 m, avait le teint olivâtre et une figure pointue, aux cheveux bruns et longs. Il portait un complet gris, une chemise blanche, une cravate noire ; tout était flambant neuf. Il conduisait une... Mustang blanche, dont le mari de Mme Butler avait noté le numéro... On découvrit par la suite que c’était une voiture louée à Minneapolis ! Voir pages 107-108 du livre " Extraterrestres et Soucoupes Volantes ", Éditions Le Livre de Paris-Hachette, 1979.
Complément d’information à noter avec force. Il s’avéra ensuite que le bureau de l US Air Force du Minnesota employait bel et bien un certain Richard French. Mais une photo de celui-ci permit à Mme Butler d'affirmer catégoriquement que l’homme qu’elle rencontra... n’était pas celui de la photographie ! ! !
En 1965, Rex Heflin prit plusieurs photos d un OVNI avec son Polaroïd, en Californie. Il reçut la visite d’un homme prétendant appartenir au NORAD ( Commandement de la Défense Aérienne de l'Amérique du Nord), à qui il remit les originaux des photographies. Ils ne lui seront jamais retournés, et par la suite le NORAD démentira que ses représentants soient allés lui rendre visite !
Le 11 octobre 1967, un officier d'aviation en uniforme se rend chez Rex Heflin, en soirée, et présente ses pièces d’identité. Mme Heflin les examine attentivement. Elles étaient au nom du capitaine C.H. Edmonds, du Bureau des Affaires Spatiales de la Division Organisation... Celui-ci pose un certain nombre de questions, dont : " Allez-vous essayer de récupérer vos originaux ? " L’officier aurait alors demandé au témoin ce qu il savait... du Triangle des Bermudes ! ! ! L’entretien eut lieu devant l’entrée de la maison.
Dans la rue, une voiture arrêtée, avec sur le siège arrière quelqu’un, et une lumière violette !…
Quand les enquêteurs de la Commission Condon (université du Colorado) vont suivre cette piste, ils découvriront que des quatre " C.H. Edmonds " sur l’annuaire des officiers, aucun n’a le grade correspondant et ne s’écrit ainsi ! ! !
Voir page 106 du livre " Extraterrestres et Soucoupes Volantes ", Éditions Le Livre de Paris-Hachette, 1979.
Le " Rand Daily Mail " du 31 janvier 1967 fait état de ces " mystérieux personnages ". Il cite le colonel George Freeman, porte-parole du Project Blue Book, organisme de l’Armée de l Air des USA, pour l’étude des OVNI. " Ces hommes n’ont rien à voir avec l US Air Force ", a déclaré le colonel Freeman, et " Nous n’avons rien pu découvrir à propos de ces hommes. Nous serions heureux d’en arrêter un " a conclu le colonel Freeman.
Il cita un cas, parmi d autres, où des officiers de police et d’autres témoins d une observation, au New Jersey, avaient déclaré qu un homme en uniforme de l Air Force, leur avait ordonné de dire " qu’ils n’ avaient rien vu du tout " et qu’ ils ne devaient plus désormais discuter ou parler de cet incident ! ! !
Les Anglais et Américains nomment les " Agents inconnus ", les " Silencers ", ceux qui essayent de réduire au silence les témoins d’observations ou d'incidents.
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Re: Les hommes en noir ou Men In Black (MIB)
Ils semblent travailler par étapes :
Il y a " la recommandation ", puis " la menace ", et enfin " les représailles finales " ! ! !
Pour l’exemple, la mésaventure arrivée au docteur Reilly H. Crabb, directeur de la " Borderland Sciences Research Foundation ", Inc., Vista, Californie. Dés qu il reçut la lettre d’un ami lui certifiant avoir observé avec un collègue détective le décollage d un OVNI, le docteur Crabb fut constamment harcelé téléphoniquement. Sans cesse, une voix masculine lui conseillait de ne pas rendre public le témoignage de son ami ! ! ! Puis, il échappa de justesse à un attentat, sous les roues d une grosse limousine noire ! Peu après, un individu fit feu sur lui, alors qu’il prenait un café dans son local habituel. !
Pour couronner le tout, sa maladie entraîna la perte de son emploi à l université ! Il connut les plus grands soucis familiaux, et tous ses déboires entraînèrent en fin de compte le départ de son épouse !
C’est ainsi, qu’une fois de plus, les " Hommes en noir " avaient atteint leur but : " domestiquer " les témoins non disciplinés ! ! !
Voir " Ufologia " n° 27, 3ème trim. 1981, pages 12-13, article de Peter Krassa " En marge du phénomène OVNI : les manipulations ténébreuses des hommes en noir... "…
D’après les nombreux témoignages recueillis, les sinistres " hommes en noir " portent un costume sombre, d une coupe démodée avec des chapeaux noirs ; ils sont tirés à quatre épingles ! Les voitures utilisées sont quelque peu démodées où l’on trouve des Cadillac, limousines, etc...
Un ufologue français très connu, a été confronté au phénomène des " hommes en noir ". Dans le même bâtiment qu’il habitait à Limeil-Brévannes, dans le Val de Marne, il y avait trois personnages lugubres à tête de croque-mort qui habitaient un appartement... au-dessus de chez lui !
Il y a quelques années, dans l’Oise, sa propre épouse vit un étrange personnage, portant un col roulé... en plein été, qui s’était " dématérialisé " !
Les brochures " Le MJ 12 " et " Opération Cheval de Troie, la Terre aux mains des petits gris ", Éditrice Louise Courteau, Québec, évoquent les " hommes en noir " souvent aperçus avec... des cols roulés !
MYSTÉRIEUX PERSONNAGES
Dans la mouvance des " hommes en noir ", il nous faut parler d’étranges personnages à l’allure insolite, et tout aussi très bien renseignés.
Ils doivent nous capter mentalement grâce à leurs Pouvoirs Paranormaux…
Le docteur Herbert Hopkins est un médecin réputé. En septembre 1976, il travaille sur un cas OVNI, dans le Maine, aux USA. Il recevra la visite d’un homme habillé en noir, avec un maquillage... Celui-ci dira " Mon énergie diminue, je dois partir maintenant. Au revoir ". Il gagnera la sortie, s’enfoncera dans l'obscurité, et disparaîtra dans un brillant éclat de lumière blanche…
Quelques jours plus tard, Maureen, la belle-fille du docteur, devait recevoir une visite au moins aussi étrange. Un couple, cette fois ! Âgés d’une trentaine d'années, ils portaient des vêtements démodés.
La femme avait un air bizarre, avec sa poitrine tombante et ses hanches curieusement faites. Tous deux marchaient à petits pas, comme s’ils avaient peur de tomber ! Voir page 103 du livre " OVNI, un dossier brûlant ", Éditions Atlas, 1984.
Le chercheur OVNI Bruce Cathie, ancien commandant de bord de l’aviation civile Néo-zélandaise, a été confronté, lui aussi, à un couple bizarre ! C était un matin de février 1969, à Mangere, l’aéroport d’Auckland. L’homme était grand, dégingandé, avec des membres longs et filiformes. Le plus étrange était sa tête : à peu près parfaitement sphérique, et aussi nue qu’une boule de billard ! Avec une peau bronzée et lisse. Sa compagne était plus petite, avec un visage long, presque en lame de couteau !
Avec une chevelure d’un noir de jade, lui tombant sur les épaules, selon une mode remontant à plusieurs années !
L’homme photographia Bruce Cathie. L’homme et la femme disparurent subrepticement ! Pages 80 à 83 du livre de Bruce Cathie " Harmonic 695 ", Éditrice Sylvie Messinger, 1981...
Le 6 juin 1977, Caroline Coombs reçoit la visite de deux mystérieux personnages, presque jumeaux, très bien renseignés, eux aussi. L’un d eux exprima le besoin de se rendre d’urgence à une sorte de rendez-vous, à Croesgock, petit village du Pays de Galles ! Étrange coïncidence, un vacancier, Mr Smith, vit un énorme vaisseau spatial en vol stationnaire, à deux cents mètres d’altitude, au début du mois d’avril 1977 à... Croesgock ! ! !
La voiture utilisée par les deux visiteurs, était une voiture de sport " futuriste ", très silencieuse. Voir pages 159 à 162 du livre de Peter Paget " Le dossier secret des OVNI gallois ", Éditions Du Rocher, 1983.
Dans " LDLN " n° 332, Joël Mesnard, évoque aux pages 29 à 36, d’ "étranges personnages " : Suzanne habite la région de Chantilly (Oise). En 1959, peut-être au printemps, un jour vers 13 h, Suzanne prit un train direct, qui devait l’amener à la gare du Nord, à Paris. Dans ce train bondé, deux jolies jeunes femmes blondes, comme des soeurs jumelles... Elles disparurent brutalement !
Le lendemain, un dimanche, Suzanne se rendit à la messe de 8 h. Présence des deux femmes blondes... à cet endroit ! Puis, disparition sur place ! ! !
Le 22 mai 1976, Mme Annick Dargaud assiste à une réunion publique du Groupe OVNI " GEPA " à Paris. Présence de deux belles blondes " insolites " accompagnées de deux hommes vêtus peut-être de costumes sombres. Les quatre personnes, au bout d une demi-heure, peut-être... n étaient plus là ! ! !
Dommage pour moi ; j'ai été membre du G.E.P.A. (1970 à 1974) et j ai assisté aussi à des réunions publiques du GEPA à la même adresse... mais je n ai pas eu la chance de rencontrer d’aussi belles blondes ! ! !
Mme Marlynda Hollinger, connue sous le nom de Mamouchka, fut confrontée elle aussi, à une très jolie femme blonde insolite, au cours de la deuxième quinzaine de septembre 1988, vers 15 h ou 16 h.
Présence aussi d’un personnage masculin, aux vêtements de couleur sombre. Eux aussi étaient très bien renseignés ! Ils étaient à bord d une très grosse et très belle voiture, gris métallisé. Cela se passa dans l’Hérault.
Nicole et Jean-Claude habitent à Noyon, dans l’Oise. Fin octobre, au tout début de novembre 1992, Jean-Claude promène sa chienne vers 13 h 30 dans un chemin qui borde des jardins, près du canal du Nord. Il vit alors un... "homme en noir " ! Taille : 1,80 m. Couleur générale : noire, jusqu au ras du cou. Coiffé d’une sorte de canotier. Des yeux comme deux points noirs, profonds. On aurait cru voir du vide ! ! !Fin des infos de Joël Mesnard.
Autre cas : " Un jeune couple, Peter et sa femme Frances, furent confrontés à une rencontre rapprochée OVNI avec effets parapsy, pendant la nuit du 30 au 31 mai 1974 : Ils circulaient à bord de leur voiture Peugeot 404, sur le trajet de Salisbury (Rhodésie) à Durban (au Natal, Afrique du Sud), lorsqu’ils furent témoins d événements extraordinaires peu communs !
Par la suite, mis sous hypnose profonde par le docteur Obertik, membre de la société pour la recherche psychiatrique de l ‘Afrique du Sud, Peter fera la révélation suivante à propos de ces extraterrestres :Docteur O. : Dites-moi, Peter, sont-ils nombreux parmi nous à passer inaperçus ?
Peter : Des milliers (?)
Dr O. : Sont-ils parmi nous ?
Peter : Ce sont des employés de bureau, des dactylos, des hommes d affaire, des étudiants, des chargés de cours, des éboueurs, etc.
Dr. O. : Si vous voulez entrer en contact avec eux et apprendre leurs connaissances, nous les donneront-ils ? Entrent-ils en contact si vous le voulez ?
Peter : Ils n’entrent en contact que quand ils le veulent, et en influençant les autres. Ils ne font jamais rien directement sur Terre... cela les obligerait à jouer le rôle d’importants personnages, faisant d’eux un pôle d’attraction. Ils ne sont que des personnes qui influencent, projettent et dirigent celles qui le désirent. ", fin de citation.
Paru à l’origine dans la renommée " Flying Saucer Review " et repris dans le livre " Les Apparitions mystérieuses ", éditions Tchou, 1978, pages 288 à 303 ; et dans le livre de Jack Perrin " Le Mystère des Ovni ", éditions J ai Lu, 1978, pages 168 à 194.
Je suis en mesure de révéler que des bruits circulent qui font état de la présence d’une base d’ « hommes en noir » et autres " mystérieux personnages "... dans l’Oise, France ! ! !
Il n’y a pas de fumée sans feux, et le récapitulatif des cas suivants tend à le prouver : 1959, Suzanne, de Chantilly (Oise), constate la présence de deux belles blondes identiques, insolites, dans le train vers Paris.
Il y a quelques années, l’épouse d’un ufologue connu qui aperçoit un mystérieux personnage à col roulé, en plein été, dans l Oise.
Fin d année 1992, Jean-Claude, de Noyon, toujours dans l Oise, qui découvre un " homme en noir " près de chez lui !L’Oise, France, semble prisée par nos mystérieux visiteurs ! ! !
LES RENDEZ-VOUS OVNI - VOITURE
Le vendredi 2 janvier 1953, localité de Rauch, Province de Buenos-Aires, Argentine, à 21 h 35.
Plusieurs témoins observent un OVNI qui atterrit. Peu de minutes après, une automobile se rend sur les lieux de l’atterrissage !
Quelqu’un avait donc eu connaissance de cet atterrissage, et se dirigea immédiatement à l’endroit en question ! Info de feu François Couten.
10 mai 1957, vers 22 h 30, à Beaucourt-sur-l Ancre, dans la Somme, France, trois petits êtres à proximité d un engin. On appris qu à la veille et l’avant veille de l observation, certains habitants avaient remarqué les allées et venues insolites d une 2 CV grise dans la campagne environnante. Véhicule piloté par un homme élégant, vêtu d’un costume pied de poule, et... inconnu au pays !
L'inconnu aurait abandonné la fameuse 2 CV devant une gare de la région. Info de feu François Couten.
Le 21 mai 1968, au km 189 de la route allant de Pelotas à Camaqua, État de Rio Grande do Sul, Brésil, deux personnes circulant en voiture, virent un OVNI atterrir. A l’endroit de l’atterrissage, une Volkswagen à l’arrêt.
Les deux témoins dirent qu’ils étaient restés sur la forte impression que la Volkswagen attendait l’objet sur le côté de la route, et qu’ils avaient eu le sentiment qu’ils avaient interrompu le rendez-vous ! " Phénomènes Spatiaux " n° 29, septembre 1971, page 31.
Le 7 juillet 1971, localité de San Juan de Los Morros, Espagne : Plusieurs témoins virent deux personnages vêtus de noir, arriver à bord d une Mustang rouge du dernier modèle, puis monter à bord d une soucoupe volante ! " Phénomènes Spatiaux " n° 29, septembre 1971, pages 30 et 31...
Voici maintenant une information personnelle. C était au début de l éclosion des radios F.M., en 1982- 1983. Une animatrice de la radio " Active F.M. ", Patricia L’Hérisson, connaissant ma passion pour l’ ufologie, me raconta ceci : Elle connaissait un inspecteur de Police du Commissariat de Champigny, ami avec elle, qui lui révéla cette info : La police était informée, qu'à cette époque (1981-1983), une haute personnalité politique avait été témoin d’un atterrissage d un OVNI... près d une voiture Volkswagen de couleur bleue à l’arrêt, dans le secteur de Melun (en Seine et Marne).À rapprocher avec la... Volkswagen du Brésil ! ! !
Melun est tout proche de la mystérieuse Forêt de Fontainebleau, lieu privilégié d’apparitions d’OVNI, et du centre Radio-Électrique de Sainte-Assise, autre lieu privilégié des OVNI !
Une information m était parvenue comme quoi un C.R.S., Mr Renoir, avait fait la connaissance " d’une mystérieuse femme en noir ", à Barbizon, localité toute proche de... la Forêt de Fontainebleau !
Au bout de quelques mois, ce C.R.S. avait cessé de la fréquenter, car épouvanté par ses découvertes !
Cette " femme en noir ", vêtue de noir, cheveux bruns, ne s alimentait pas, et ne buvait pas non plus.
En présence d un témoin, le C.R.S. l’avait vu aussi se " dématérialiser " ! Sexuellement parlant, elle était de même constitution que nos femmes ! Ce C.R.S. est maintenant dans une caserne, à Marseille. Nos amis du CERPA doivent vérifier cette info, pour confirmer l’authenticité de cette affaire...
Pierre Monnet fut contacté par des extraterrestres pour la première fois, par une nuit de juillet 1951, au bord de la N7, qui traverse le village de Courthezon et relie la ville d Orange où devait se rendre Pierre Monnet qui y habite...
En juin 1974, un samedi matin, vers 10 h, à la station-service située en pleine ville, Pierre Monnet vit deux extraterrestres du même genre que ceux de 1951, faisant le plein d'une Renault 16 neuve, reluisante, gris métallisé, immatriculée en " WW " ! Pages 85 à 89, " Les Extraterrestres m'ont dit... "par Pierre Monnet, Éditions AlainLefeuvre, 1978...
Le 10 avril 1952, près de Nîmes (Gard), Rose C., rencontre trois extraterrestres et un... ancien instituteur qui était avec eux !
Il avait lui-même fait une rencontre du 3ème type, 20 ans plus tôt ; étant pour ainsi dire seul au monde, il avait accepté l’invitation de ces extraterrestres. Ils vivait depuis avec eux !
Voir la révélation de cet instituteur. Il expliqua à Rose que la Terre avait été aménagée à l’intention de ses habitants par ces extraterrestres, qui avaient même apporté sur place son satellite réputé naturel, la Lune ! ! !
Voir " Rencontre avec les Extraterrestres ", par Rose C., Éditions Du Rocher, 1979.
Le même ufologue cité plus haut, m’a révélé qu il connaissait un cas de rendez-vous " OVNI - voiture ", où c'était un officier militaire qui avait assisté à un tel rendez-vous !
Citation du livre de Serge Hutin, " Gouvernants invisibles et sociétés secrètes " , éditions J'ai Lu, 1971, pages 91 & 92 : " Voici une bien étrange histoire qu'on nous a racontée et qui se déroula en 1967, dans la vieille cité romane de Tournus. Un brave homme de la ville conçut le projet d'explorer un dédale de souterrains dont l'un des accès débouchait justement dans sa cave. Il ne parla de son idée à personne, ni femme, ni parents, ni amis. Il possédait déjà de longue date un matériel entreposé chez lui, et on ne le vit donc pas en ville acheter ou transporter l'équipement de mineur qui lui était nécessaire.
Matériellement, personne ne pouvait être au courant de son projet d'exploration souterraine, dont aucune trace n'aurait pu apparaître à la surface du sol. Or, la veille même du jour où il avait décidé d'entreprendre l'exploration du souterrain, il reçut la visite d'un personnage qui se présenta à lui en tant que haut fonctionnaire du ministère des Beaux-Arts et le menaça de poursuites judiciaires immédiates s'il donnait suite à son projet de fouille clandestine.
On peut se poser deux questions :
D'abord, par quel truchement le ministère des Beaux-Arts avait-il pu être informé de ce projet de fouille que personne ne connaissait.
Ensuite, comment cette intervention ministérielle put-elle être si foudroyante, préventive même, puisque, dans les cas les plus rapides d'intervention contre les imprudents ou des vandales, il faut toujours compter un délai nécessaire pour mettre en branle le lourd mécanisme administratif ?
Il faudrait admettre alors, peut-être, qu'il existe en France des lieux jalousement gardés, placés sous la sauvegarde de forces magiques, où intervient l'action de moyens paranormaux.
On peut se poser deux questions :
D'abord, par quel truchement le ministère des Beaux-Arts avait-il pu être informé de ce projet de fouille que personne ne connaissait.
Ensuite, comment cette intervention ministérielle put-elle être si foudroyante, préventive même, puisque, dans les cas les plus rapides d'intervention contre les imprudents ou des vandales, il faut toujours compter un délai nécessaire pour mettre en branle le lourd mécanisme administratif ?
Il faudrait admettre alors, peut-être, qu'il existe en France des lieux jalousement gardés, placés sous la sauvegarde de forces magiques, où intervient l'action de moyens paranormaux. " fin de citation.
Autre citation du même livre, Page 310 : " L'auteur américain de science-fiction Philip José Farmer a écrit un excellent et très étrange roman, " L'univers à l'envers ", dont la clé est celle-ci : des puissances supra humaines régissent, tout au sommet de la pyramide des gouvernants visibles et invisibles, l'évolution de tous les systèmes stellaires et planétaires et de tous les êtres qui y vivent, hommes compris. S'il en était ainsi, le point de vue humain si limité serait aussi inapte à saisir les lignes d'ensemble des cycles stellaires et planétaires que, pour hasarder cette métaphore, une cellule de nôtre organisme est incapable de comprendre l'ensemble structuré qu'il forme. ", fin de citation du livre de Serge Hutin.
LE PARC AUTOMOBILE DES VISITEURS
Il semble bien que les visiteurs utilisent une gamme diversifiée de véhicules : années 60 et 70, utilisation de Cadillac, Plymouth, limousines noires aux USA, ainsi qu’une Mustang blanche.
Fin des années 60, une Volkswagen au Brésil.
Années 70, une Mustang rouge en Espagne, dernier modèle.
Années 50, une 2 CV en France.
Années 70, une R 16, France, neuve.
Années 80, une Volkswagen bleue en France, près de Melun.
Fin des années 70, une voiture de sport " futuriste ", Pays de Galles.
Jean-Claude Pantel a été transporté par les " Visiteurs ", dans une SM Masérati verte !
INFRASTRUCTURE ET SOUTIEN LOGISTIQUE
Les visiteurs clandestins sont très bien organisés, et disposent de soutiens dans nos sociétés, pour vaquer à leurs opérations. Voir les infos de feu François Couten.
EN RÉSUMÉ
En résumé, les " hommes en noir ", les " couples bizarres ", ou les " personnages seuls insolites ", associés aux rendez-vous OVNI - voiture, sont étroitement imbriqués ! ! !
" Ils " se fondent facilement dans nos sociétés, disposent de très bons renseignements, et ne laissent aucunes traces après leurs interventions.
Comme les voitures qu’ils utilisent, " Ils " disparaissent au sens littéral du terme !
Comme si les "pièces à conviction" s'étaient évanouies dans une " faille spatio-temporelle " ! ! !
CONCLUSION
En conclusion, nous pouvons affirmer qu’une " cinquième colonne " extraterrestre s'affaire sur " notre " planète, et que des terriens se sont déjà mis à leur service, ... pour le meilleur ou pour le pire ! ! !
Tout cela est pour le moins bien inquiétant ! ! !
Maintenant, nous savons que " les envahisseurs " sont là, qu ils ont une " apparence humaine ", et que le cauchemar a déjà commencé ! ! !
Cela ne vous rappelle rien ? La série culte télévisée " LES ENVAHISSEURS " ! ! !
Mais après tout, ne dit-on pas que la réalité dépasse souvent la fiction ?
Pour la mémoire de toutes celles et ceux qui sont décédés par les manifestations dangereuses du phénomène OVNI, témoins, auteurs disparus et pour ceux qui ont approché de trop près les vérités interdites ufologiques, en décédant brutalement, comme Franck Edwards, Morris Jessup, James Mac Donald, et tous les autres, je vous demande d’observer avec moi une minute de silence à la fin de ces lignes...
Merci pour EUX.
REOUVERTURE DU DOSSIER : JUIN 2002.
Dans son ouvrage " Des OVNI, à la Transcommunication. Des Esprits, aux Extra-Terrestres. ", paru à compte d auteur en 1996, l’amie Ufologue Lucienne-Frédérique Sagnes nous fait part de ses rencontres avec de mystérieux " Hommes en noir ". Lire le chapitre " Expériences avec les OVNI.
M.I.B. Rencontres du 1er type. ". Pages 127 à 130.
Citation : " Toulouse. 1971. C’est au mois de juin 1971, que je vais connaître mon premier contact avec l’inconnu.
Je ne savais pas grand-chose sur les OVNI, et ne m’en préoccupais pas. Je n’avais jamais été informée sur le sujet, et rien ne m’avait sensibilisée au phénomène.
Ce soir de juin 1971, avec un ami, nous nous rendons à quelques kilomètres de la ville où se produit le guitariste Manitas de Platas. Lorsque nous arrivons, le spectacle est commencé et Manitas joue sur la piste centrale, entouré d’une centaine de personnes qui l’écoutent, d’autres dansent le flamenco.
Cela se passe dans un grand parc. Il est environ 21 H 30. Les tables sont toutes inoccupées. Nous nous installons au fond du parc, de ce fait nous nous trouvons dans la pénombre. Nous sommes à environ 80 mètres de l’entrée.
Un homme apparaît. Il mesure 1 m, 80 environ, mince, élégant, les cheveux courts, grisonnants, d’un âge approximatif de cinquante à soixante ans. Sans hésitation il se dirige vers nous à travers les tables vides. Avec un sans-gêne incroyable, il déplace une chaise et va s asseoir devant moi et mon compagnon à notre table, sans saluer ni prononcer un seul mot. Pendant un long moment il va me dévisager froidement. Notre confusion est telle que nous portons nos regards ailleurs, ce qui nous empêche de le voir s’éloigner. Mais je peux l’apercevoir à la sortie du parc. Il sort sans se retourner comme s’il n était venu que pour s’asseoir devant moi un moment.
Un mois plus tard au mois de juillet vers 1 H 30 de l’après-midi. Il faisait très chaud, je me rendais à mon travail par les quais de la Garonne. Je devais traverser une petite place vide à cette heure. J’allais m engager, lorsqu ‘apparaît de l’autre côté, le même genre de personnage, grand, vêtu d’un complet sombre, tête nue. Je décide de traverser la place par le centre, il fait de même, son allure est curieuse, sa démarche un peu sinueuse. Il arrive près de moi et me frôle en murmurant une phrase dans laquelle je n’ai retenue qu’un seul mot : " Conservé " ! Il y avait dans ces deux rencontres quelque chose d'étrange, sans cela je n'aurais pas retenu ces faits dans ma mémoire.
Je ferai une autre rencontre, en allant à mon travail un soir à 19 H en 1976 à Etampes (Note de Christian Macé : Etampes, ville située dans l’Essonne, France).
J’étais alors bien investie dans la recherche et dans l expérience OVNI. Je me trouvais dans mon véhicule, et arrivait à proximité du rond-point qui traverse la 191. Soudain arrive de l’arrière une 4 L blanche qui stoppe contre ma voiture et je peux voir un homme assez jeune, cheveux blonds taillés en brosse. Il doit être grand puisque sa tête arrive au plafond de la voiture. Il tourne son visage vers moi de façon mécanique.
C’est un regard froid inexpressif. Je n’ai pas noté la couleur de ses yeux, car il était dans l’ombre. Puis il tourne à gauche et disparaît. Ma collègue qui suivait derrière, dans sa voiture et qui avait vu la scène, était persuadée qu’il avait essayé de m’accidenter. Il était vêtu d'un pull noir à col roulé.
La dernière rencontre, la plus étrange se produira à Cergy-Pontoise, lors de la signature du livre de Jimmy GUIEU relatant l’atterrissage d un OVNI, suivi de l’enlèvement du jeune Frank Fontaine. Cette affaire qui s’est révélée très douteuse par le comportement de l’un des protagonistes de moralité très suspecte, a laissé subsister un doute profond dans l’esprit des Ufologues. Enlèvement ? Peut-être pas, atterrissage ? Certainement.
Je me suis rendue sur les lieux avant le retour de Frank Fontaine le 26 novembre. Ce soir là alors que je stationnais à l’endroit même de l’événement, avec un ami parisien, nous remarquions que la radio s’allumait seule. Je revins à Etampes, après avoir déposé mon compagnon à Paris. Je garais ma voiture. Il était environ trois heures du matin. Le lendemain, dans la matinée, je constatais avec stupeur que les quatre enjoliveurs de ma Matra, étaient dépourvus de peinture. Celle-ci composée de polyuréthane, avait complètement disparu. Le garagiste ne put trouver d’explication au phénomène.
Le jour de la signature, après avoir déjeuné dans un restaurant en compagnie de Jimmy GUIEU et d’un ami, le lieutenant J. P GUIEU, cousin éloigné de Jimmy, nous nous rendîmes sur les lieux où se passait la signature du livre, une grande surface de Cergy. A un moment donné, je me retrouvais seule devant la vitrine d ‘une librairie.
Je regardais les ouvrages, quand tout à coup je ressentis un frisson dans mon dos, qui me fit tourner la tête. Tout près de moi, se tenait un homme de taille moyenne, plutôt petit, vêtu de façon impeccable, d’un complet noir agrémenté d’une fine rayure blanche. Le teint olivâtre, les cheveux et les yeux noirs. La même expression glacée que les trois autres. Ce regard me fit souvenir des autres rencontres. Nos yeux se rencontrent, et il réagit tout de suite comme s’il avait deviné ma pensée. Je le vois filer à travers la foule, en glissant, ondoyant comme un serpent. Il glisse littéralement à une allure impossible pour quelque’ un qui marcherait normalement. Personne ne semble le voir. Il disparaît de l’autre côté du magasin vers la sortie. ". Fin de citation.
Votre narrateur a très bien connu l’amie Ufologue Lucienne-Frédérique Sagnes, lorsque celle-ci était établie dans l’Essonne, secteur d Etampes. Maintenant Lucienne-Frédérique demeure dans le Sud- Ouest de la France.
Feu l’ami Jimmy GUIEU, que j’ai très bien connu, relate dans son ouvrage " Le Livre du Paranormal ", réédité chez l’éditeur " Dossiers Vaugirard " en 1993, livre que m’avait dédicacé Jimmy à Pontoise le 12 février 1995, un cas ressemblant aux Hommes en noir : Se reporter au chapitre : " Pierre Meslat, le prodigieux médium d Epernay ". A partir de la page 257.
Feu Pierre Meslat était sujet à l’existence de phénomènes dits paranormaux. A la fin des années 60, Pierre Meslat et sa femme prenne la gérance d’un magasin " Coop " à Choisyen- Brie, en Seine-et-Marne. Puis, citation, page 261 : " Ici se place un épisode également bizarre. Partant de Choisy-en-Brie vers cinq heures du matin, Pierre effectuait des tournées en fourgonnette. Durant deux mois, il remarqua qu’une traction avant noire, transportant trois ou quatre hommes, le suivait. La traction le dépassait, lui faisait une queue de poisson pour s’arrêter plus loin. Pierre se dégageait, accélérait et s’arrêtait à une certaine distance pour jeter un coup d oeil en arrière : la route bien droite, sans chemin perpendiculaire, était déserte ! Souvent également, la mystérieuse traction le doublait, stoppait au sommet d'une côte et s’évanouissait dans le néant quand Pierre arrivait à sa hauteur ! ". Fin de citation…
Il y a quelques années, par l’intermédiaire d’une amie, j'avais pu recueillir la déposition d un couple Mme et M. C., demeurant actuellement en Seine-et-Marne. C’est particulièrement la dame qui a accepté de me relater leur extraordinaire aventure, vécue il y a déjà plusieurs années, alors qu’ils vivaient en Côte-d Or. Ils tenaient un Café-Boutique situé à Beaune, en Côte-d Or. Ce couple faisait parti d un petit groupe, dont eux-mêmes et plusieurs personnes ont été les témoins d’événements ufologiques plutôt extraordinaires.
C’est le secteur de Beaune (France) qui sera l’épicentre de toutes ces manifestations...
Un policier du commissariat de Beaune et un militaire de l’armée de Terre seront impliqués lors de ces événements troublants. Le policier sera confronté à un " Homme en noir " et une " Femme en noir " !
Lors d’un atterrissage d’une soucoupe volante dans ce secteur de Beaune, ce couple insolite sera aperçu à côté, comme s’il avait été déposé.
Lors d’un réglage de la circulation dans la ville de Beaune, le policier reverra ces deux personnages bizarres ! Le militaire sera pris en chasse en ville par un véhicule, mais réussira à semer ses poursuivants ! Par la suite, un responsable de la " D.S.T. " (" Direction de la Surveillance du Territoire ") alerté par le groupe, viendra enquêter avec ses hommes, mais se montera sceptique…
L’amie Ufologue J. A. du Var (Provence) me relatera personnellement sa propre expérience en ce domaine :
Cela s’est passé dans le Var, secteur de Brignoles, il y a quelques années à peine.
Alors que J. se rendait à son travail en voiture un matin de juin vers les 09 H. Elle avait devant elle un camping-car qui roulait sur sa route, et J. entreprend de le doubler Elle découvre alors devant elle une voiture, avec des occupants particulièrement insolites. Des " Hommes en noir " ! Deux devant, et un à l’arrière. Ils regarderont intensément l’amie J. ! J. décide alors de doubler leur véhicule. La première tentative sera un échec, car leur véhicule se rabatera brusquement sur la gauche ! La deuxième tentative de J. sera la bonne. L’amie pourra distinguer, de façon rapide, dans leur véhicule, à l’arrière, somme, comme un petit personnage à tête de " GRIS " ! Puis, arrivés à un croisement, J. prendra une direction sur sa gauche, et la voiture des " Hommes en noir ", prendra l’autre route sur leur droite. Ils avaient continué de fixer du regard l’amie J. !
A noter que cela s’était passé quelques jours avant ou après, que J. soit allé effectuer une surveillance du ciel au fameux col de Vence. Un lien de cause à effet ?
J. était amie avec feu l’ami Jimmy GUIEU, et avait effectué aussi des surveillances du ciel en compagnie de Jimmy, notamment dans le secteur du plateau d Albion…
La revue spécialisée " Phénoména " de l’association " Sos-OVNI ", dans un numéro de 1997, nous fait part aussi d’étranges " Hommes en noir ". Voir pages 24-25 : Un incident préalable à cette affaire concerne et prend place dans le massif du Parmelan, en Haute- Savoie, durant la nuit du 20 au 21 novembre 1996.
Citation, page 23 : " Le 21 novembre à 05 h 00, des témoins entendent un avion évoluer à basse altitude. Le survol est suivi d’une FORTE EXPLOSION - un bruit sourd et d’un éclair. D’autres observateurs parlent d’une immense lueur blanche d’une boule de feu. Tout laisse supposer qu’un aéronef s’est accidenté dans la montagne. ". Fin de citation.
A noter qu’à la suite de l’enquête très poussée des militaires, aucune trace au sol n a été trouvée. Un Antonov 12 soviétique a survolé le secteur vers 05 h 00, à 8000 mètres d’altitude, assurant une liaison régulière suivant ce plan de vol, entre l’Allemagne et l’Espagne. Mais cet avion cargo est bien arrivé à destination avec son fret, sans incident Alors que s’est-il passé ?
Citation, page 24 : " La gendarmerie de Thônes confirme qu’une patrouille a bien vu des lumières rouges dans le ciel, le 21 novembre à 05 h 03 et qu un BANG a bien été entendu par les militaires de sortie.
Autre élément, appartenant au folklore de l’ufologie, des HOMMES EN NOIR auraient été vus par plusieurs témoins. La gendarmerie a eu connaissance de leur présence sans pouvoir dire de qui il s’agissait.
" Deux hommes habillés en noir, beaux vêtements de ville (c’est-à-dire mal adaptés pour circuler discrètement en montagne dans la neige, ndlr), très blancs de visage, au comportement étrange. Ils sont partis après avoir bu un café chacun ". (Consommation prise dans un bar de Dingy-Saint-Clair, ndlr). On a parlé d agents des Renseignements Généraux.
Officiellement, aucun service de police et encore moins des RG ne s’est penché sur le crash du Parmelan, les affaires ovni n’étant pas de la compétence directe de la police.
Les deux hommes mystérieux ont échangé quelques mots avec un journaliste de radio qui leur demandait la raison de leur présence. Puis, coupant court à toute discussion, ils ont quitté les lieux. On sait seulement qu’ils étaient là pour l’affaire du Parmelan. ". Fin de citation.
La revue spécialisée " OVNI Contact " éditée par l'association " Centre d Etudes OVNI France ", BP 21 13170 La Gavotte, dans son numéro 46, a publié une étude de Joël Mesnard intitulée " Hommes en noir et communications à sens unique : deux nouvelles formules du phénomène OVNI ? ". Pages 19 à 34. Joël Mesnard relate plusieurs affaires d’Hommes en noir, dont il a eu personnellement connaissance, et dont il a mené les enquêtes Voici ci-dessous les affaires en question. Cela s’est passé en France…
Citation : " 1. Hommes en noir et voitures-fantômes.
Premier cas : disparition sur place.
En juillet 1976 (le 18, ou vers le 18), dans le Loiret. Deux jeunes femmes et les deux enfants de l'une d'elles, circulant en voiture sur une petite route de campagne, entre Cernoy-en-Berry et Châtillon-sur- Loire, voient distinctement un personnage vêtu entièrement de noir, portant un pull-over à col roulé noir (alors que sévit la canicule, et en plein après-midi). Ce personnage, vu de dos uniquement, disparaît sur place, instantanément, au moment où une voiture passe à sa hauteur.
Les deux témoins adultes sont formels, et ont observé la scène de très près, dans des conditions que l'on pourrait qualifier d idéales. Les deux enfants confirment aussitôt le phénomène. Quelques années plus tard, toutefois, le plus jeune ne se souviendra plus de rien, tandis que son frère conservera un vague souvenir.
Deux affaires peuvent, en outre, être citées à l’appui de ce témoignage :
1) Du 10 août au 27 août 1976, à 2 km à vol d oiseau du lieu de l observation, des témoins nombreux (la famille L.) font toute une série d observations rapprochées, avec séquelles physiologiques, traces au sol et observation d’humanoïdes.
2) Témoignage (encore indirect en février 1987) de M. C., employé de banque : un soir de l été 1976, M. C., après sa journée de travail à Paris, rentre chez lui par l autoroute du Nord. A l’embranchement de Survilliers, il prend une auto-stopeuse, et remarque qu’elle est vêtue d un imperméable, alors qu’il fait très chaud et sec (l été 1976 est celui qui engendrera l impôt sécheresse). Un peu plus loin, la passagère dit au chauffeur qu’elle est arrivée. Elle descend de la voiture, tourne aussitôt sur sa droite (c est à dire vers l’arrière de la voiture), et disparaît sur place. M. C., extrêmement surpris par ce qu’il vient de voir imagine aussitôt que sa passagère a pu tomber dans une tranchée de chantier ! Il sort précipitamment, contourne sa voiture par l’arrière pas de tranchée, et pas d auto-stopeuse ! Rien !
Au moins une autre personne à ma connaissance rapporte une telle disparition sur place d’un inconnu : il s’agit de l’un des témoins d’une observation d’ovni assez classique, faite à Franois, dans le Doubs, le 12 décembre 1968.
A une date impossible à préciser, ce témoin vit un individu disparaître sur place, à proximité d une voiture en stationnement dans un parking, à Besançon.
Deuxième cas :
Dans la forêt de Belle-Vaivre, une nuit d octobre 1975, vers une heure du matin :
Un lieutenant de l’armée de Terre, N. C., marche dans une allée mal entretenue, en plein bois. Il est précédé, à quelques centaines de mètres, par un autre lieutenant. Un groupe de militaires se trouve un peu en arrière, à moins d’un kilomètre peut-être. Le lieutenant C. croit deviner une présence, dans les fourrés, sur sa gauche, et imagine que son collègue s est embusqué pour lui faire une farce. Il braque sa torche vers les fourrés en disant " Fais pas le con, je t’ai vu ". Il distingue alors deux jambes, moulées dans une sorte de collant vert foncé ou noir, qui marchent en faisant des pas croisés, ou " En crabe ". Lorsqu’il relève le faisceau de sa torche, c’est pour constater aussitôt que le haut du personnage est entièrement voilé " Comme par une nappe de brouillard qu’éclaireraient des phares de voiture ". Les " Jambes " traversent le chemin, comme en glissant au-dessus du sol, et sans que les broussailles ne semblent offrir de résistance. Elles disparaissent dans les fourrés, sur la droite.
Cette rencontre eut lieu au cours d une nuit de lundi à mardi.
Moins de 24 heures plus tard, le mardi soir, le lieutenant, rentrant à son domicile à Besançon, remarque une grosse voiture, de marque américaine et de couleur gris métallisé, garée devant l’entrée de son immeuble. Derrière le volant, il voit un homme de stature imposante, au regard très impressionnant : c’est comme s’il avait deux trous noirs à la place des yeux. A la droite de ce personnage, une femme de type asiatique se tient penchée contre la portière. Ces deux personnages sont rigoureusement immobiles, et semblent fixer le Lieutenant. Lorsqu il ressort de chez lui, la voiture et ses deux occupants sont toujours là. Il monte dans sa R 17 bleue, démarre, et constate bientôt que la grosse voiture grise le suit à moins de cinq mètres, sans le lâcher, à travers les petites rues. Le Lieutenant envisage alors de s’arrêter à un feu rouge, de descendre de voiture et de faire face.
L’occasion se présente, un peu plus loin, mais il s’abstient (ce que, par la suite, il ne parviendra pas à s’expliquer). A la sortie de Besançon, il s’arrête brusquement, et se laisse doubler. Les rôles sont inversés : il poursuit la voiture grise, roulant par moment à 160 km/h, mais ne parvient pas à la rejoindre. L’autre voiture disparaît comme par enchantement, à l’entrée d un bois (ou comme si elle
avait soudain atteint une vitesse extraordinaire).
Ce n’est pas tout : une quinzaine de jours plus tard, le Lieutenant C. accompagne un ami minéralogiste qui, une semaine auparavant, recherchant des bivalves dans un champ, à Vauchignon, en Côte-d Or, a découvert des traces de pas cylindriques dans le sol. A peine sont-ils arrivés sur place, que deux personnages, d’allure simiesque, aux bras longs, mais vêtus de blousons (qui paraissaient gonflés sur les côtés), surgissent des fourrés, et, aussitôt, escaladent à une allure vertigineuse une pente très raide. Le Lieutenant s’élance à leur poursuite, mais il est très vite distancé.
Les deux personnages (qui n’ont été vus que de trois quart arrière ou de dos) disparaissent dans les buissons, et les deux témoins aperçoivent alors, sur une petite route qui passe au sommet de la pente, deux voitures qui, l’une après l’autre, freinent énergiquement, puis redémarrent.
Il s agit d’une grosse camionnette entièrement blanche, aux vitres peintes en blanc, et d’une petite voiture bleue.
Le Lieutenant, un sportif entraîné, est persuadé que les deux créatures qu’il a vainement tenté de suivre n’étaient pas des hommes : selon lui, aucun athlète ne serait capable de gravir une telle pente à une telle vitesse.
Que faut-il penser du bref arrêt des deux voitures, sur cette route très peu fréquentée ? Les conducteurs se sont-ils arrêtés seulement pour laisser passer les personnages, ou bien les ont-ils embarqués ? Aucun élément ne permet de répondre, les témoins n’ayant observé la scène que d’assez loin, et en partie à travers la végétation.
Troisième cas où il est à nouveau question d’une camionnette blanche :
A une vingtaine de kilomètres de là, et à une date qui reste impossible à préciser (vers 1974 ou 1975, et probablement en été), deux jeunes filles se promenant en bicyclette, un soir, sur une petite route, sont suivies sur plusieurs centaines de mètres par une camionnette entièrement blanche. Le pare-brise, opaque, lui-même de couleur blanche, ne permettait pas de distinguer le conducteur.
Quatrième cas : un " croque-mort " qui s’intéresse aux travaux des champs ! :
Dans le Cher, il y a une vingtaine d’années, un cultivateur, quelques jours après avoir été témoin d’un atterrissage avec humanoïdes (le lendemain peut-être), a soudain la sensation d’être observé, alors qu'il travaille dans son champ. Il se redresse et voit, à quelques mètres de lui, sur le bord d'un chemin, un homme tout de noir vêtu, qui l’observe fixement et d un air inquiétant.
Cinquième, sixième et septième cas : témoignages relatifs à une " Cambodgienne vêtue d’une soutane " :
Il a été question, dans la seconde observation du Lieutenant C., d’une femme de type asiatique. Il existe au moins trois cas qui, dans un contexte comparable, comportent la description d une " Cambodgienne habillée en curé ". Le terme de " Cambodgienne " a été employé par deux témoins.
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Re: Les hommes en noir ou Men In Black (MIB)
L’un de ces témoignages émane de M. Bonnot (orthographe incertaine), cultivateur en Côte-d Or, qui, revenant de la chasse, a eu la surprise d’apercevoir cette femme en un lieu particulièrement désert, loin de toute habitation. Un jeune homme, C. J., l’a également observée, sensiblement au même endroit, alors qu’il se promenait un midi en compagnie d’une amie. Cette femme était en conversation avec deux hommes qui, dès que C. J. et son amie sont arrivés, sont remontés dans leur voiture et sont aussitôt partis. Il faut préciser que ces lieux sont très peu fréquentés, et que le passage d’une grosse voiture dans ce chemin éloigné de tout et jamais entretenu constitue presque, en lui-même, un événement ! Toujours est-il que C. J., intrigué par le départ précipité des deux inconnus, s’est approché de la femme, imaginant pouvoir lui venir en aide. Il a pu apercevoir les petits boutons très rapprochés qui fermaient, sur le devant, son vêtement noir qui descendait jusqu au sol.
Se détournant, la femme avait disparu dans les taillis, comme si ses vêtements n’avaient offert aucune résistance en s’enfonçant dans les branchages.
Huitième cas : un " Homme-grenouille " dans un parking : Voici encore une affaire dont il est impossible de préciser la date. Elle eut lieu à Soisy-sous- Montmorency, vers le milieu des années soixante-dix.
M. B., agent de police, se leva en pleine nuit pour tenter de surprendre des pilleurs de voitures opérant croyait-il dans le parking de son immeuble. Il se trouva soudain face-à-face avec un individu vêtu de noir, portant une combinaison intégrante collante, qui s enfuit en courant, sans que ses pieds fassent le moindre bruit au contact du sol. M. B. se lança à sa poursuite, mais le perdit de vue de façon incompréhensible, à la sortie d un porche. On eut dit que le personnage avait disparu dans les buissons, pourtant peu fournis, qui garnissent le terre-plein séparant l’immeuble de la rue. On note à propos de ce témoignage, une analogie assez frappante avec les témoignages du Lieutenant C. et de C. J. qui signalent tous deux des disparitions incompréhensibles dans des buissons.
On note en outre un rapprochement possible entre la mention de " Pieds semblant glisser au-dessus du 501 ", dans la forêt de Belle-Vaivre, et celle d une course absolument silencieuse à Soisy.
De tels rapprochements, il est vrai, ne suffisent pas à nous éclairer sur la nature du phénomène, mais il n’est peut être pas inutile de tenter d en relever les caractères spécifiques lorsqu’ils s’en dégagent.
Cas numéro neuf, dix et onze : des " Phares de voiture sans voiture "… :
Il a déjà beaucoup été question de voitures dans les cas qui précédent, qu’il s’agisse de celle des témoins ou, peut être, de véhicules d’un genre plus subtil.
Voici maintenant, brièvement exposés, trois cas de ce que l’on pourrait appeler des " Voitures fantômes ". Tous trois se sont déroulés dans le département du Lot : Dans la nuit du 7 au 8 juin 1981 vers minuit, M. Alain S. circule sur une petite route entre Saint- Cirgues et Lacapelle-Marival. Devant lui roule une 504 blanche qui tourne à gauche, sur la petite route menant au Montet.
Quelques secondes plus tard, il voit les phares de cette voiture dans son rétroviseur, et ne comprends pas comment le conducteur a pu faire marche-arrière en si peu de temps. Il voit alors dans le rétroviseur quatre phares, comme deux voitures roulant côte-à-côte (ce qui est impensable sur une route si étroite). Subitement, ces lumières disparaissent.
Le 31 août 1981 vers 0 h 45 le même Alain S. circule sur la même route, dans le même sens, pas exactement au même endroit, mais quelques kilomètres plus à l’ouest. Je suis assis à la place avant droite, et trois autres personnes se trouvent à l’arrière. Nous apercevons une lumière de couleur rouge sur la gauche. Le conducteur arrête alors sa voiture et fait une marche arrière. La lumière est devenue blanche. Elle se trouve au sommet des arbres d un petit bois, à trois ou quatre cent mètres de nous.
Nous descendons de voiture, et observons quelques instants cette lumière : c’est comme un phare assez puissant, de couleur blanche, qui serait braqué vers nous.
Soudain, la lueur se met à grossier dans des proportions étonnantes. Se rapproche-t-elle de nous, sans monter ni descendre et sans déplacement latéral, ou bien demeure-t-elle sur place en augmentant fortement d’intensité ? Il est difficile de le préciser.
Toujours est-il que l’intensité de la lueur croit comme si la distance nous séparant de la source, supposée d'intensité constante était réduite, en une dizaine ou une quinzaine de secondes, à la moitié ou aux deux tiers de sa valeur initiale. Nous sommes alors très excités et inquiets, mais la lumière cesse de grossir, décroit et finit par s éteindre sur place. Nous restons là quelques minutes, guettant une possible réapparition du phénomène et commentant ce que nous avons vu, lorsqu’arrive, un peu par hasard, la voiture de deux personnes que nous connaissons, qui nous reconnaissent et viennent nous rejoindre. Nous leur expliquons ce que nous venons de voir.
Quelques minutes s écoulent et, alors que je me suis un peu écarté du groupe, je vois les feuillages des arbres éclairés de façon mouvante, manifestement par les phares d une voiture qui approche.
Nos deux voitures étant fort mal garées, peu après la sortie d un virage, je crie aussitôt " Attention, une voiture ! ". Les deux conducteurs apercevant eux aussi les phares, se précipitent dans leurs voitures et vont les garer correctement un peu plus loin.
Les feuillages des arbres retombent alors dans l’obscurité. La voiture redoutée ne débouche pas du virage. A aucun moment nous n’avons entendu le bruit de son moteur.
Dira-t-on que nous avons rêvé ? C’est à mon avis peu vraisemblable, et si le temps me le permettait, je pourrais citer une vingtaine d observations d’ovni et de divers phénomènes étranges faites dans cette région du Lot, pour la plupart en 1981. Je n’en citerai qu’une qui me semble particulièrement intéressante en raison de la manière parfaitement fortuite dont j en ai eu connaissance.
L’affaire s’était déroulée deux ans plus tôt : Mme R., circulant en voiture en compagnie de sa fille et de son fils et alors qu’elle se trouvait entre Saint-Cirgues et Bagnac, vit une voiture arriver en sens inverse et alluma ses feux de croisement. Les phares se rapprochèrent encore quelques instants, puis faiblirent et s’éteignirent. Il n’y avait pas de voiture".
Fin de citation de l’article de Joël Mesnard.
J’ai eu l‘occasion d’avoir des contacts, de rencontrer, et de faire ensemble une enquête ufologique avec Joël Mesnard, quand Joël était établi dans l’Essonne, puis en Seine et Marne.
Maintenant Joël Mesnard réside dans le Sud-Ouest de la France, sur Poitiers, et dirige toujours sa revue spécialisée sur les OVNI " Lumières dans la nuit ".
Site internet de la revue de Joël Mesnard « Lumières dans la Nuit » : http://www.ldln.net
Voici maintenant le témoignage de l’ami Ufologue Bernard Bidault, que je connais très bien.
Bernard demeure en Gironde, et était aussi, tout comme moi, ami avec feu notre ami Jimmy GUIEU.
En 1972, l’ami Bernard Bidault avait fait la connaissance d’un haut responsable de la Gendarmerie, dont celui-ci s’occupait uniquement du phénomène OVNI. Et il lui dévoila entre autres pas mal de choses sur les " Enlèvements " liés au phénomène OVNI. Notamment des enlèvements définitifs de femmes et d’enfants.
Et Bernard pris donc la décision d’écrire un futur livre sur cette question, et son manuscrit comportait à ce moment une cinquantaine de pages. Lorsque arriva alors sa rencontre avec des " Hommes en noir " !
Cela s’est passé en 1976, en région parisienne, sur une route entre Fresnes et L’Haye-les-Roses, par une belle journée ensoleillée. Bernard conduisait sa voiture Ford, rentrait chez lui pour déjeuner, et il était entre 12 h 45 et 13 h. A cette heure du repas, il n’y avait personne sur cette route. A un moment donné Bernard jette un oeil dans son rétroviseur central, et ne remarque aucune voiture. Rien à l’horizon. Puis, à peine 3 ou 4 secondes plus tard, après un nouveau regard dans son rétroviseur, Bernard découvre une voiture Volkswagen bleue qui le suivait, presque collée à son pare-chocs !
A l’intérieur, il y avait 3 hommes en costume noir, avec une chemise blanche, et portant aussi une cravate noire et un chapeau noir. Ils avaient des lunettes de soleil de couleur noire.
Puis, curieusement, Bernard entendit un appel mental lui disant " Arrête d écrire ton livre " . Après un nouveau contrôle dans son rétroviseur, plus de voiture ! Puis cette voiture insolite était entrain de le doubler mais finalement la manoeuvre n’aboutira pas, car une fois de plus, plus de voiture, plus rien !
Bernard s’arrêtera un peu plus loin pour faire le point de la situation…
Le véhicule s’était bien volatilisé de manière incompréhensible.
Bernard n’écrira pas son livre, et par la suite tombera gravement malade, atteint d un cancer…
Bernard Bidault avait été juge et président d un tribunal des Prud hommes. (Mise à jour mardi 13 avril 2004 :
Bernard Bidault a finalement écrit son livre intitulé " OVNI attention danger ", Editeur Jean-Michel Grandsire, paru en 2003).
Grâce à mes contacts, Bernard Bidault sera invité sur le plateau de télévision de la chaîne " TF 1 ", émission " Y’a pas photo ! " consacrée aux OVNI, et diffusée le 15 mai 2000. J’avais révélé cette affaire au journaliste Laurent Varlet de " Y ‘a pas photo ! ", qui mettait en oeuvre cette émission sur les OVNI, et ainsi Bernard racontera son aventure sur le plateau de " TF 1 " Et je donnais à " Y’a pas photo ! " une foule de renseignements sur le phénomène OVNI. Par un courrier de Paris en date du 22 mai 2000, Laurent Varlet m’écrira : " Christian, Un grand merci pour votre participation active à la construction de notre émission.
Amicalement.
Laurent ".
REVELATIONS.
Lire avec intérêt les deux tomes de l’ami Contacté Jean-Claude Pantel intitulés " Les Visiteurs de l'Espace-Temps ", parus aux Editions Ramuel.
On y découvre de considérables renseignements et de situations vécues entrant dans le cadre des manifestations de personnages insolites, tout à fait identiques à ceux mentionnés tout au long de mon étude Ceux-ci sont des Humanoïdes, hommes et femmes, venant des AUTRES DIMENSIONS.
Feu l’ami Jimmy GUIEU avait été le premier a révéler la fabuleuse histoire de Jean-Claude Pantel étalée maintenant depuis une trentaine d’années, et étaient restés toujours amis.
Dans son livre " Nos Maîtres les Extraterrestres ", paru aux Editions " Presses de la Cité " en 1992,
Jimmy GUIEU nous dit ceci pages 288-289 : " Révélations, nouvel ouvrage (à clé) de Jacques Vallée.
Avant d ‘analyser certains points de ce livre, qui peut et doit me semble-t-il être lu à plusieurs niveaux, un flash-back est nécessaire. Jacques Vallée et moi nous sommes rencontrés pour la première fois, en novembre 1989, sur le plateau de « Ciel mon mardi » , où nous avons pris rendez-vous pour le lendemain matin à 10 heures. " Nous bavarderons une demi-heure car mon emploi du temps est chargé ", me prévint Jacques. En fait, nous nous sommes quittés vers midi cinquante dans un climat de vive sympathie. Un peu avant de nous séparer, je dis à Jacques Vallée :
- J’ai rencontré Allen Hynek à deux reprises en 1978 : une fois à Montréal, brièvement, où il avait supervisé le film accompagnant ma tournée de conférences, et chez lui, à Evanston (Chicago), où il m’avait invité, fin mai, à l’issue de ma longue tournée. Nous avons sympathisé, je lui ai minutieusement relaté l’étrange affaire Jean-Claude Pantel, ses quatre contacts avec des êtres d’Ailleurs, les pénibles années jalonnées de phénomènes paranormaux, souvent extrêmement violents, qui empoisonnèrent sa vie et celle de ses camarades (cf. Le livre du paranormal épuisé et La Terreur venue du néant, n° 3 de la collection " Les Chevaliers de Lumière "). Allen se montra vivement intéressé, captivé même, et longuement songeur en tétant sa pipe éteinte, dans son jardin " dévasté ", tout chamboulé, qui attendait sa remise en ordre par un jardinier . ". Fin de citation.
Feu Allen Hynek avait été pendant une vingtaine d années, le consultant officiel et scientifique de l’Armée de l’Air des USA, en matière d OVNI.
Grâce aux informations très pointues apportées par l’ami Jean-Claude Pantel, il est avéré qu’il existe des multitudes d’Espèces Humanoïdes depuis des temps très anciens, demeurant dans de multitudes AUTRES DIMENSIONS, donc nous côtoyant, et faisant des apparitions de temps à autre dans notre DIMENSION ou environnement.
Ces Etres multidimensionnels son appelés " Etres Semi-Géométrisés. Nous mêmes, Espèce humaine, sommes des " Etres Géométrisés ".
Ainsi les fameux " Hommes en noir ", " Etres Semi-Géométrisés ", participent de ce mode opératoire de ces Humanoïdes qui se meuvent à travers ces AUTRES DIMENSIONS existant dans notre propre environnement. Ce qui explique aussi et ainsi les apparitions et disparitions subites de tous ces véhicules utilisés par ceux-ci, qui font la navette avec ces AUTRES DIMENSIONS !
L’usage de ces dernières confère l’INVISIBILITE quand on les réintégre !
Leurs Pouvoirs Paranormaux extraordinaires leur permette de capter nos pensées, et ainsi tout savoir de nous !… C’est pourquoi « Ils » sont si bien renseignés…
L’auteur de ces lignes, Christian Macé, a pu rencontrer plusieurs fois certains de ces " Etres Semi-Géométrisées ", appartenant à une Société Secrète (1) d’une AUTRE DIMENSION, et d’assister à l’apparition et à la disparition instantanée de véhicules automobiles…
(1) : Le jeudi 06 janvier 2000, Jean-Claude Pantel, d’autres amis Ufologues et moi-même, étions aux funérailles de notre feu ami Jimmy GUIEU, à La-Chaussée-d Ivry, en Eure-et-Loir (où repose maintenant Jimmy dans le cimetière de cette même localité). Un couple (Humanoïdes homme et femme) de cette Société Secrète était présent en ces lieux, disposant d’un Renault Espace de couleur vert. Ils ont dit une phrase incongrue à l’un des participants, comme un clin d‘oeil pour attirer leur attention et signaler ainsi subtilement leur présence…
L’ami Jean-Claude Pantel, dans son 1er tome "Les Visiteurs de l’Espace-Temps ", paru aux Editions
Ramuel, en 1997, nous dit ceci, page 292, à la suite d un voyage au centre de la Terre, mais situé dans une AUTRE DIMENSION, effectué par son ex compagne Lucette en compagnie de feu son ami Dakis :
"C’est sous terre, comme nous l’avions plus ou moins déduit, qu ils avaient voyagé ! Mais sans doute à une profondeur qu aucun spéléologue n abordera jamais Virgins (Entité de l Espace-Temps, Fluidoluminescente.
Note de Christian Macé) ne négligea pas de nous indiquer qu’il existe " force possibilités de bifurcations démultipliables à l’intérieur de la matière vivante ".
Elle parla de " couloirs " empruntés toujours accidentellement par les Hommes dont ces derniers, hélas, ne peuvent ensuite s’extirper. Ces couloirs se situent dans les airs, sur ou sous la mer et, bien évidemment, à la surface terrestre ou sous celle-ci, comme nous venons d’en faire état. Ils sont contrôlés par d’autres Espèces vivantes dont notre Planète demeure le support.
Dakis évoqua le célèbre Triangle des Bermudes et les mystérieuses disparitions constatées alentour, Virgins surenchérit alors :
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