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Sam 13 Oct 2007, 11:31
De l’intelligence de l’espèce humaine ou la venue d’un bienfaiteur : la civilisation contemporaine dans le doute
par Thierry MERICQ

De la précision des calculs astronomiques des Mayas aux connaissances mathématiques des Sumériens, de l’art graphique, des civilisations sud américaines ou égyptiennes aux capacités architecturales des créateurs de la merveilleuse Teotihuacán, la civilisation moderne reste confrontée à une réalité le plus souvent dérangeante : les civilisations aujourd’hui disparues ont parfois réalisé des tours de force technologiques dont le secret ne nous est pas toujours connu. De suppositions en théories, l’homme a cherché à comprendre. S’il y a parfois réussi, et ce, grâce aux technologies modernes les plus perfectionnées, certaines réalisations, certains récits restent un mystère insurmontable. Dès lors, l’homme moderne a proposé une solution dont la forme varie mais qui reste invariable dans le fond : la religion. Qu’il s’agisse du Dieu catholique pour expliquer certains passages obscurs de la Bible ou de dieux propres à certaines civilisations, la théologie a toujours été le recours du dernier instant. Une autre solution peut cependant être prise en considération : celle d’une présence extraterrestre qui aurait guidé l’être humain dans sa quête d’une vie plus riche, plus simple et plus harmonieuse. Ces "êtres venus du ciel" dont on note la présence dans la culture artistique de diverses ethnies, qu’ils soient sculptés, façonnés, peints ou que l’on relate leurs exploits oralement de génération en génération. Alléchante hypothèse que celle qui permettrait d’expliquer l’épisode biblique des trompettes de Jéricho ou le travail de l’étain par une ethnie bolivienne, alors que l’homme moderne n’en maîtrise la technique que depuis une centaine d’années.

Les Hopis sont la seule tribu indienne à avoir construit leurs habitations en dur. De très vieilles peintures rupestres de cette tribu représentent des êtres aux formes particulièrement curieuses. La légende raconte :

"D’îles en îles, ils allaient en direction de la terre et chaque fois qu’ils quittaient une île, cette dernière sombrait dans la mer. Seuls quelques guerriers Hopis atteignirent la terre ferme mais ils avaient perdu toutes leurs armes. Alors, venant d’un soleil brillant apparurent des êtres étranges qui leurs apportèrent des outils qui étaient meilleurs que tous ceux qu’ils avaient possédés jusque là. Ces êtres étaient différents de ceux de notre monde. Ils avaient une force incroyable et leurs pouvoirs magiques étaient plus forts que le feu et les éclairs". Les Hopis les appelèrent Cachinas. Les Hopis fabriquent encore aujourd’hui des poupées casquées à l’effigie des Cachinas. Ce nom signifie en langage Hopis "personne spirituelle hautement respectable". Toujours d’après la légende, les Cachinas, après avoir aidé la tribu, l’on quittée, non sans avoir promis de revenir. C’est pour que les enfants des Hopis n’aient pas peur quand ces êtres étranges réapparaîtront que les Hopis fabriquent de génération en génération ces poupées à l’effigie des Cachinas.

En Amérique du Sud, au pied de la Cordillère des Andes, se trouve l’Altiplano, un plateau situé à une altitude de 4000 m. Ici, les Indiens racontent encore aujourd’hui : "Il y a très longtemps, le jour où le soleil était au plus haut, arriva du ciel en vol plané une sorte de maison. Elle ressemblait à une barque d’or autour de laquelle il y avait du feu. Il n’y avait pas de nuages dans le ciel et pourtant la terre trembla sous un violent tonnerre. Effrayés, les hommes se couchèrent sur le sol. Seul Actehuma resta debout. Il était le plus courageux et le plus beau. Il vit la sorte de maison en or atterrir sur la surface argentée du lac Titicaca. Et aussitôt, tout bruit cessa. Soudain, Oriana, déesse du ciel, se trouva devant lui. Elle prit Actehuma pour époux et avant de quitter le miroir étincelant du lac pour regagner sa barque d’or, elle lui donna beaucoup d’enfants". Si la culture des Indiens d’Amérique du Sud n’a pas gardé de trace de l’arrivée de ces visiteurs, comme l’ont fait les Hopis, le temps et le bouche à oreille en ont fait des dieux du ciel et de la fécondité.

Au fin fond de la forêt vierge brésilienne, au bord du Rio Fresco habitent les Cayapos. Le fleuve et la jungle forment la frontière de leur monde. Aujourd’hui encore, ils vivent comme leurs ancêtres. Une grande fête rituelle avec danses et chansons célèbre la venue de Beb Cororoti. La légende raconte que "un jour, Beb Cororoti apparut dans le village. Il était vêtu d’une sorte de scaphandre qui le recouvrait des pieds à la tête. A la main, il portait une arme de tonnerre. Certains essayèrent de lutter contre l’intrus mais leurs armes n’étaient pas assez résistantes. Dès qu’ils touchaient aux vêtements de Beb Cororoti, ils étaient réduits en poussière. Le guerrier qui était venu de l’espace ne pouvait s’empêcher de rire de la fragilité de ceux qui le combattaient. Pour montrer sa force, il pointa son arme sur un arbre et le détruisit. Ensuite, il transforma une pierre en poussière. Il vécut une dizaine d’années parmi eux avant de les quitter pour toujours". Il est intéressant de remarquer dans ce récit ancien que le visiteur a d’abord eu une réaction hostile, voire foncièrement méchante envers les Cayapos. Dans la représentation dansée de la scène, une personne est déguisée en Beb Cororoti. Elle porte une parure faite de feuilles de palmier tressées. Sa ressemblance avec le costume de nos astronautes est flagrante et troublante. Même la démarche du danseur rappelle celle de nos astronautes sur la lune. Des photos d’un Cayapos ayant revêtu sa tenue de danse ont été prises en 1952. A cette époque, peu de gens, et à plus forte raison les Cayapos ne connaissaient la combinaison des astronautes américains ou des cosmonautes soviétiques, le premier homme dans l’espace remontant à 1961.

Iles de la Société : la légende du dieu Ari. "Loin derrière nous dans le temps, nous vivions dans une terre triste. Notre peau était plus foncée et la nuit nous changeait en aveugles. Par un jour sombre, le ciel fut éclairé par trois lunes. L’une d’elles se posa sur la montagne et l’obscurité se fit. Les plus courageux de la tribu y trouvèrent au lever du soleil Ari, le fils des dieux. Sa peau était comme l’écume et ses cheveux comme l’or. Sur un bateau rapide comme la flèche, il nous conduisit vers un nouveau pays, dans les îles de fleurs et de chansons". Il est à noter qu’aujourd’hui encore, la caste supérieure des tribus insulaires est convaincue qu’elle descend des dieux.

Les Iles Carolines : dans l’île de Ponape (900 km au nord de Papeete). Dans la partie la plus difficilement accessible cette petite île se dressent les ruines impressionnantes d’une ville mégalithique : Nan Matal. Des blocs de basalte, parfaitement taillés, disposés comme les rondins d’une maison de bois, forment des murailles qui atteignent près de 10 m de hauteur. Un système de canaux, ou plutôt de chenaux, découpe la cité mystérieuse en îlots entourés de murailles. Des portes ouvraient et fermaient ces canaux du côté de la mer. Protégeant peut-être un port, un mur avait été construit dans la mer. L’architecture de Nan Matal ne ressemble à aucune autre. Les Micronésiens actuels sont incapables d’avoir réalisé ce genre de construction. On ignore la date à laquelle fut édifiée cette cité et la raison pour laquelle ses habitants l’abandonnèrent brusquement (certaines murailles ont été laissées inachevées). On peut aussi se demander pourquoi Ponape, île perdue, fut choisie pour y construire une ville de cette importance. Surtout que cette île possède un sol très marécageux. Dans ce sol spongieux, certaines constructions possèdent des pièces pesant plus de 10 tonnes. Nan Matal compte en tout 400 000 colonnes de basalte et plus de 80 édifices. Alors qui ? Pourquoi ? Combien de temps ? Et où vivait la masse de travailleurs nécessaires à un ouvrage d’une telle ampleur sur une si petite île ? comment étaient transportés tous ces hommes et leur matériel ? Voilà beaucoup de questions pour une si petite île. Nous ne possédons aucune inscription, aucune indication. Les indigènes locaux ne désirent pas s’étendre sur le sujet, même si la légende est éloquente : "Un dieu étrange avec un dragon crachant du feu n’avait qu’à prononcer une parole magique pour que ces gigantesques blocs de pierre arrivent du fond de l’horizon en volant au-dessus de la mer". La culture de cette civilisation n’étant pas basée sur les dessins et les peintures, on ne peut trouver de traces physiques permettant d’éclairer notre lanterne.

En Australie, à quelques kilomètres de Sydney. Dans une tribu aborigène, des danses et des peintures rupestres retracent la venue d’une divinité. Elles évoquent la venue d’une déesse de la voie lactée. Ces peintures rupestres, une fois analysées, signifient : "La déesse arriva de l’univers dans un vaisseau brillant, prodigua ses conseils et son aide et s’en retourna vers les étoiles". Cette déesse apporta aussi un objet qui n’existe nulle part ailleurs dans le monde : le boomerang. Rien dans la nature ne correspond à sa forme aérodynamique ; la finesse de sa forme tend à prouver qu’il n’a pu être inventé par hasard, mais qu’il a fallu des connaissances aérodynamiques précises permettant sa mise au point. Pour une ethnie primitive, comment créer une arme de chasse qui, une fois lancée, revienne d’elle-même à son point de départ si elle vient à manquer son but ? Aujourd’hui, les pales d’hélicoptères sont fabriquées selon les mêmes lois de finesse aérodynamique.

Bien avant l’ère chrétienne, il y a eu de nombreuses représentations d’engins volants ainsi que d’étranges créatures ailées. Alors, sont-ils tous sortis tout droit des mythologies et autres croyances divines ? En fait, il est tout de même troublant qu’au même moment, tout autour de la terre des artistes de toutes races, de toutes religions, aient eu la même source d’inspiration ou la même imagination. A moins qu’ils n’aient gravé un phénomène qu’ils avaient vu ou qui leur avait été décrit., telle cette gravure suisse du XVIIe siècle (voir gravure).

Ces boules mystérieuses, représentées sur cette gravure suisse du XVIIè siècle, seraient apparues en 1566, selon de nombreux témoins. Les inscriptions cunéiformes nous apprennent que les Sumériens atteignaient un âge qui dépasse notre entendement. En effet, le règne des dix premiers rois sumériens couvre une période de 456 000 ans. A ce jour, aucune explication scientifique n’a pu être formulée et l’hypothèse d’un "vide" dans notre connaissance de la chronologie de l’époque sumérienne reste peu probable, au regard de la durée de la période couverte. Dans l’art sumérien, on retrouve des tablettes de la taille d’une boîte d’allumettes représentant des dieux avec des flambeaux allumés sur le dos, des hommes oiseaux, des boules dans le ciel. Au vu de cet héritage, on peut dire que le ciel sumérien était véritablement sillonné de créatures particulières. Sur le plan archéologique, ces dessins ne peuvent être de pures abstractions. Car dans ce cas, l’art sumérien aurait été le seul à avoir été abstrait à ses débuts. En effet, dans toutes les civilisations, l’art commence par être naturaliste puis matérialiste. Ce n’est qu’après que l’imagination des créateurs explose en créations débordantes.

Nous ne retrouvons pas seulement chez les Sumériens des objets tendant à prouver l’existence et la venue sur terre d’autres civilisations d’origine non - terrestre. Au musée du Caire, on a longtemps catalogué comme la représentation d’un oiseau un modèle en bois vieux de 2 000 ans. Ce n’est qu’en 1965 que le doute est apparu. Cet "oiseau" a en effet les plumes de la queue représentées à la verticale, à la façon d’une dérive d’avion. Les proportions de cette sorte de maquette sont aérodynamiquement idéales pour voler à l’aide d’un propulseur. Sur le Rio Magdalena, en Colombie, la civilisation Caïmus a laissé, parmi ses édifices aux proportions énormes, des bijoux que l’on peut rapprocher de "l’oiseau" du Caire. Ces bijoux en forme d’ailes volantes ont des formes si proches de nos prototypes militaires les plus avancés que c’en est troublant. Beaucoup de bijoux en or répondent aux lois aérodynamiques modernes : ils ont des ailes triangulaires fixées sous le corps tel un Mirage III ainsi qu’une dérive verticale arrière. La principale divinité des Caïmus est Tekendawa. Selon la légende, il est venu des étoiles pour apporter les usages et les lois, ainsi que pour créer beaucoup de fils et de filles avant de retourner dans le ciel.

De cette présence de bijoux en forme de vaisseaux des airs, certains chercheurs tels Erich Von Däniken ont déduits que les grandes artères tracées dans le sol péruvien -le site de Nazca compte des figures d’une précision impressionnante de plus de 100 m de long- étaient en fait des pistes tracées par les Nazcas pour des "visiteurs" dont on ne sait rien. Mais ici, force est de constater que les théories plus étoffées de Maria Reiche ou encore Bill Spohrer remportent les faveurs des passionnés d’histoire humaine et d’archéologie. Pourtant, la NASA elle-même a émis une hypothèse allant dans le même sens que celle du préhistorien germanique : un vaisseau mère de taille phénoménale qui transporterait jusqu’à de faibles altitudes des appareils de dimension plus réduite et capables d’atterrir, les pistes devenant alors indispensables. Toujours d’après la NASA, les vaisseaux mères pourraient avoir une forme sphérique, cette forme étant idéale en état d’apesanteur. On retrouve d’ailleurs au Costa Rica des sphères quasi-parfaites de granite de plus de deux mètres de diamètre et datant sans doute de plus de 3 000 ans. Comment une telle précision a-t-elle été possible et pourquoi ? La conclusion d’un rapport d’archéologie sur ces boules est explicite : "Les boules du Costa Rica comptent parmi les énigmes non résolues" ! Alors ont-elles été créées pour témoigner du passage de vaisseaux spatiaux, des vaisseaux de forme sphérique, ou bien sont-elles simplement l’expression d’un art aussi créatif qu’abstrait ? Mais les vaisseaux épousant cette forme comptent parmi les projets de la NASA ; pourquoi une intelligence extraterrestre ne les aurait-elle pas réalisée avant les humains ?

Des figures d’une précision merveilleuse -comme cet immense oiseau de 128 m d’envergure- contribuent au mystère des Nazcas. En Chine aussi, il existait quelques ouvrages témoignant de la présence d’étranges objets volants. Notamment, certains dessins datant de l’époque équivalente à notre Moyen Age, mais représentant une époque bien antérieure (2 000 ans avant J.C.) reproduisant des voitures volantes, des chars volants. C’est l’époque du peuple Tsi Kong. De cette époque, les Chinois ont gardé certains signes d’écriture notamment, le symbole du ciel, qui auparavant signifiait "celui venu du ciel".

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Sam 13 Oct 2007, 11:31
Toujours dans les représentations à caractère technique, on trouve sur une pierre tombale d’un temple maya un personnage représenté assis dans un fauteuil carré entouré de cylindres que l’on prendrait aisément pour des écrans de contrôle ; de plus, son talon semble actionner une pièce mécanique, telle une pédale. En Equateur, ont été trouvées des figurines Terraquota en cuivre représentant un visage détaillé entouré par une sphère représentant sans nul doute possible un casque. On retrouve le même type de motif dans certaines peintures rupestres d’Italie du Nord. Idem pour les pierres sculptées de Thula, au Mexique. A Nitrière, zone archéologique isolée, perdue dans le nord du Chili : des archéologues ont découvert des figurines taillées dans le grés, des créatures ailées.

Mais les fresques mayas restent le mystère le plus étudié, le plus hermétique aussi. Les personnages représentés sur certains bas- reliefs ressemblent à s’y méprendre à nos conquérants de l’espace : sur la tête une lampe et dans le dos comme un harnachement très proche de nos bouteilles à oxygène.

Une question se pose alors : pourquoi des entités extraterrestres auraient-elles précisément la même anatomie que nous ? La biologie moderne, par le biais du Docteur H. Gerhardt (All.), donne la réponse suivante : "D’après le niveau de connaissance actuel de la recherche biologique, des conditions physiologiques et physiques semblables mènent à la formation de corps semblables, même chez des êtres dont la vie génétique est différente".

Etaient-ils comme nous, sommes-nous comme eux ? Qui est à l’image de l’autre ? Alors que les voyages dans l’espace sont pour les humains une nouvelle Conquête de l’Ouest, pourquoi d’autres formes d’intelligence n’auraient-elles pas déjà accompli cet exploit technologique ? S’il est difficile de le démontrer, et encore plus difficile de le prouver, il est indéniable que la terre est couverte de signes. Un exemple encore : il a été découvert récemment dans le nord du Chili un dessin gigantesque tracé sur le sol (tel le Cheval d’Uffington, GB, long de 109 m et haut de 40) représentant une créature semblable à un robot avec une tête carrée et des antennes. Un symbole religieux, répondent certains scientifiques. D’accord, mais pour qui ? Des dessins gravés dans le sol comme ceux-ci ne sont identifiables qu’à haute altitude. Il a fallu attendre l’aviation pour les découvrir. Alors l’Amérique du Sud aurait-elle été un terrain d’atterrissage pour des E.T., ces dessins que l’on retrouve de par le monde étaient-ils des signaux pour eux ?

D’autres signes encore, comme les Collines des Dieux du Soleil en Grande-Bretagne, des collines artificielles créées par l’homme et dont on retrouve un exemplaire absolument identique en poids, en volume, en hauteur comme en surface en plein coeur de la forêt vénézuélienne. Mais qui étaient ces Dieux du Soleil ? Il semble en tout cas qu’à une certaine époque les distances n’aient eu aucune importance. Sinon, comment expliquer qu’une statue mexicaine et un bas-relief syrien possèdent le même détail -il s’agit d’un sac à franges taillé de la même façon dans les deux cas.

L’homme se sent immensément petit dans l’univers qui l’entoure, et ces découvertes dont il ne peut expliquer l’origine ou le pourquoi le poussent à chercher encore. Au Honduras britannique, on a tenté de dégager par le feu la ville maya de Cubahantun. Sous une pierre à sacrifice d’un temple en ruine, on a découvert un crâne du plus pur cristal de roche que les Mayas nommaient "eau gelée du ciel". Les spécialistes ont constaté que le crâne a été taillé dans un seul bloc de cristal de quartz très rare et travaillé dans le sens opposé à son axe. Même au microscope électronique, on ne distingue aucune trace d’exécution. On ne connaît pas non plus avec précision son âge : 3 à 5 000 ans. De plus, des prismes cachés dans la base du crâne et les lentilles des orbites, polies à la main, lui donnent une clarté éblouissante. Pourtant, les chercheurs n’ont trouvé nulle part trace d’outils modernes. D’où provient ce crâne ? Nous ne le saurons sans doute jamais mais, une fois encore, le mystère d’une technologie dépassant l’entendement reste entier.

Mais les surprises et mystères dans les connaissances des traitements des métaux ne s’arrêtent pas là : en Inde, à New Delhi, dans la cour d’un temple se dresse un pilier de style indiscutablement hindou. Il mesure sept mètres de haut et 0,42 de diamètre en moyenne. Il est en fer. Or, malgré la mousson et l’humidité, il ne s’oxyde pas. Daté par les savants du Ve siècle de notre ère (méthode du carbone 14), il pose une agaçante énigme. En effet, même de nos jours, on ne peut arriver à produire un fer inaltérable qu’à grands frais et en très petite quantité. Mais au Ve siècle ! De plus, l’étude scientifique a révélé que le métal de cette colonne est plein d’impuretés ; par conséquent, il devrait rouiller encore plus facilement.

Réalisations de la plus haute valeur architecturale, force artistique, connaissances techniques, peut-on exclure une influence externe ? Il a dû exister à une certaine époque une connaissance qui s’est perdue au cours des millénaires. Sinon, comment aurait-il été possible d’extraire, de tailler puis de transporter au coeur de la forêt vierge les pierres de plusieurs tonnes qu’a nécessitées la construction de la merveilleuse cité de Tiahuanaco, située dans les Andes ?

Et comment ces pierres, gigantesques pour la plupart, ont-elles été dressées ? Ces témoins d’un passé inconnu ont été travaillés et dressés depuis des millénaires. Ils restent visibles par tous mais restent un mystère pour tous. Sous toutes les latitudes, les archéologues travaillent et tous les ans nous en apprenons un peu plus.

Récemment, au Pérou, une découverte étonnante a été faite : une pierre d’Ica. Certaines de ces pierres avaient déjà été extraites de sépultures mais l’on n’y avait pas prêté attention. Lorsque la rivière Ica changea de lit, on remarqua que des milliers de pierres gisaient dans l’ancien lit asséché. Ces pierres représentent le déroulement chronologique d’une opération du coeur. Tout y est détaillé : perfusion, anesthésie, incision, extraction du coeur. Dissection ou opération ? On sait que des opérations du crâne ont été réalisées il y a des millions d’années. D’où les hommes de l’époque tiraient-ils leurs connaissances ? D’autres pierres nous fascinent aujourd’hui par les sujets abordés : cartes du monde, représentation d’un homme avec une loupe, puis avec une longue vue... Ces pierres sont vieilles de 3 000 ans. Et nous avons commencé à scruter le ciel avec ces appareils il y a un peu plus de 1 400 ans. Des longues vues, des connaissances médicales précises, une maîtrise technologique et architecturale hors du commun...

Mais il y a encore bien des découvertes surprenantes, bien des sites qui ne nous ont pas encore livré tous leurs secrets. En Bolivie, on a découvert un site industriel étonnant : un labyrinthe de terrasses, de gradins taillés dans le roc, une coupole et des canalisations, une rigole circulaire au sommet de cette coupole... La première hypothèse a été que cet endroit était un lieu de culte. Les archéologues soviétiques ont apporté une solution : une station préhistorique de lavage de métaux précieux en Arménie possède les caractéristiques exactes de ce site bolivien (dualité d’une découverte en deux endroits géographiquement éloignés) : toutes ces rigoles et cheminées servaient de filtres, les métaux étaient retenus dans les cuves ; terre et pierres, plus légères, étaient emportées : ici, on lavait de l’argent, de l’or, du platine. Or, le platine ne fond qu’à 1 800° et nous ne savons le travailler que depuis une centaine d’années. Pourtant, la finesse de certains bijoux boliviens incrustés de platine laisse à penser que leur maîtrise technologique était extraordinaire, ou bien étaient-ils "aidés" ? Au sortir de la préhistoire, cette évolution soudaine de l’humanité laisse tout de même perplexe. Pour quelle raison, aux quatre coins du globe, l’homme a-t-il construit ces pyramides, ces collines s’élevant vers le ciel ? Pour quelles raisons ces villes temples se dressent-elles à 3 000, voire 6 000 mètres ? A cette altitude, on ne peut être plus près des dieux. Alors, la religion serait-elle l’explication de ces oeuvres sculpturales créées par l’homme. Cela n’empêche cependant pas d’en trouver des représentations étranges, souvent encore non expliquées par notre civilisation dite moderne et où l’homme pourrait bien avoir reçu une aide extérieure. Car après tout, la déification d’une personne ou d’un objet n’est autre que "adorer, élever, vénérer... une personne ou un objet pour ses pouvoirs ou son mystère" (Paul Robert : dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française). La Bible elle-même est pleine de ces passages mystérieux qui laissent à penser qu’un être supérieur -en intelligence, en pouvoir, en connaissance et surtout ancien, ici Dieu- est venu en aide à l’humanité. Prenons pour exemple le passage des trompettes de Jéricho, relaté par le prophète Josué. Se peut-il que l’on ait eu, à cette époque, inventé le canon acoustique, capable de briser une surface pleine par les ondes sonores émises et dont l’utilisation en est aujourd’hui encore au stade expérimental ? Surtout les murs de la ville fortifiée de Jéricho, réputée imprenable. Un autre passage de la Bible, un récit du prophète Ezéchiel, est parfaitement explicable aujourd’hui grâce à nos connaissances à condition toutefois que l’on veuille bien accepter l’hypothèse des ’’êtres venus d’ailleurs". Ezéchiel dit : "Du nord soufflait un vent impétueux, un gros nuage avec une gerbe de fer rayonnante et au centre, sortant du sein du feu, quelque chose qui avait l’éclat du vermeil. Au centre, on distinguait l’image de quatre êtres qui paraissaient avoir une forme humaine, chacun avait quatre visages, chacun avait quatre ailes et quatre mains. Or, tandis que je contemplais ces êtres vivants, je vis à terre à côté de chacun des quatre une roue. Ces quatre roues étaient semblables et ainsi construites que l’une se trouvait engagée dans l’autre. Elles pouvaient se déplacer dans quatre directions sans se retourner dans leur mouvement. Leur jante était d’une hauteur terrifiante, garnie d’yeux sur toutes la circonférence".

Alors qu’il explorait une ville parthe vieille de 2 000 ans, dans ce qui est aujourd’hui l’Iran, un archéologue allemand, Whilhelm König, découvrit un vase en terre cuite contenant une barre de fer à l’intérieur d’un cylindre de cuivre. L’objet ressemblait à une pile sèche, ce que semblait confirmer la découverte de tiges apparemment rongées par un acide (peut-être du vinaigre).

Les Parthes produisaient-ils de l’électricité 1 600 ans avant la première pile électrique connue ?

A la lecture de ce passage, on imagine difficilement une machine humaine, surtout pour l’époque du récit. Erich Von Däniken et M. Bloodrich, ingénieur en chef au centre de recherche de la NASA (un des sept médaillés d’honneur de la NASA pour services exceptionnels - et qui ne croyait pas à l’existence des UFO jusqu’à l’étude des écrits d’Ezéchiel) ont tenté de retranscrire les écrits du prophète tout en faisant abstraction des projets réalisés par la NASA à ce jour. Au-delà d’un résultat très convaincant, il est à signaler que la description de la roue par Ezéchiel a permis à M. Bloodrich de déposer un brevet pour une roue multidirectionnelle qui est dorénavant intégrée dans les programmes de véhicules de recherches planétaires de la NASA !

De toutes les découvertes réalisées par les historiens, géologues, curieux ou chanceux, beaucoup posent problème aux plus grands chercheurs contemporains comme aux passionnés : problèmes de compréhension sur des points tels que logistique, utilisation, etc. Mais c’est surtout l’origine des connaissances de ces peuples aujourd’hui disparus, ou le manque de communication des peuples encore en vie qui reste un véritable pied de nez aux technologies les plus avancées et aux savants les plus à même de comprendre ces civilisations. Alors, de suppositions en théories, l’homme moderne en vient à imaginer toutes les solutions possibles, en espérant rallier du monde à sa cause, comme pour se persuader de la normalité de la situation. Car un peuple vieux de 5 000 ans ou plus qui possède des techniques non comprises à l’heure des ordinateurs, des robots et des satellites, cela ne peut qu’effrayer. Et l’homme n’aime pas avoir peur.

Alors il théorise. Timide, comme Max H. Flindt, qui pense que, "peut-être, oui, peut-être, avons-nous été visités par des intelligences d’autres planètes et sommes-nous le produit de cette visite". Erich Von Däniken, aubergiste reconverti dans l’archéologie et l’écriture de best sellers sur la question UFO, va plus loin en étant, lui, sûr que nous ne pouvons que descendre d’entités extraterrestres, quand on voit la masse de connaissances accumulées par nos ancêtres et certaines civilisations aujourd’hui disparues qui ont créé des choses fabuleuses telles la ville géante de Teotihuacán, les observatoires incas, celui de Stonehenge en Grande Bretagne, la pile sèche de Kadath, âgée de 2 000 ans, les boussoles et les cartes du monde... La liste est si longue.

Et la théorie si plaisante. Pourtant, il faut savoir mesurer son enthousiasme, comme le prouve le cas des dessins Nazcas dans la Pampa péruvienne, dont le mystère de la création semble aujourd’hui résolu par des chercheurs réputés tels Bill Spohrer, Maria Reiche et Gérald Hawkins avec eux. Mais pour finir sur un dernier mystère, et non des moindres, et qui nous ouvre sans doute encore de nouveaux horizons sur l’origine de l’homme, osant bafouer les religions les plus prestigieuses et la séduisante théorie de l’évolution des espèce de Charles Darwin, naturaliste et biologiste anglais, comment peut-on réagir à une découverte comme celle des messages s’adressant aux habitants du ciel, ceux dont la vie nous préoccupe tant, pour peu que la notre y soit aussi liée ? Un vieux manuscrit sémitique, "Le Rouleau de La Mecque", offre une indication déconcertante : "Battenor, l’épouse du père de Moïse assura à son mari qu’elle n’avait pas eu de rapports avec les Gardiens du Ciel". Qui étaient ces gardiens du ciel ? Des entités extraterrestres ? Oui, semble-t-il, car un prophète juif, Hénok, se montre encore plus concret. Il note ce reproche adressé aux Gardiens du Ciel : "Pourquoi avez-vous quitté le ciel, couché avec les femmes, pourquoi vous êtes-vous souillés avec les filles des hommes ? Avez-vous fait comme les enfants de la terre et tué les fils géants ? "

La question reste donc posée : qui sommes-nous, d’où venons-nous, où allons-nous ?

Bibliographie : Patrick Ferryn et Ivan Verheyden : Chroniques des civilisations disparues, (Editions Robert Laffont), Erich Von Däniken : Présence des Extraterrestres (Editions Robert Laffont), Les phénomènes inexpliqués, (Sélection du Reader’s Digest), Les derniers mystères du monde, (Sélection du Reader’s Digest), Extraits du film de Harald Reinl : Les extra-terrestres dans l’Histoire (1977) inspiré de l’oeuvre de Erich Von Däniken.

http://www.ovni.info/article.php3?id_article=220

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la civilisation contemporaine dans le doute Empty Re: la civilisation contemporaine dans le doute

Lun 16 Juin 2008, 14:07
Merci Benzemas pour ces recherches, aux quatres coins du globe, le folklore et les traditions orales sont bien étranges.
Je reviens juste sur les ruines de l'ile de Ponape avec qlqs info supplémentaires :


la présence de telles ruines à la préhistoire  semble étonnant dans cette partie du monde, mais il y rien de choquant et cela reste possble

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