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- Benjamin.dResponsable du forum
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En théorie, les vaisseaux invisibles sont pour demain
Ven 21 Sep 2007, 20:19
En théorie, les vaisseaux invisibles sont pour demain
Dans un rapport scientifique à la société Royale Britannique, Nicolae Nicorovici et Graeme Milton deux chercheurs en mathématique ont élaboré le principe d’un dispositif de dissimulation pour rendre les véhicules spatiaux invisibles. Le concept est basé sur l’effet connu sous le nom de "Résonance Anormale Localisée", qui propose de placer les objets près d'un matériel appelé "Superlens" et qui est capable de les faire disparaître.
Les particules en contact avec le vaisseau seraient alors capables de disperser la lumière en s’accordant sur la fréquence de la source émissive. La lumière rebondissant sur cette couche de particules permettrait de préserver le vaisseau des photons et de le rendre invisible sur un fond uni.
Pour construire ce dispositif de dissimulation, des matériaux récemments découverts rendent le concept possible sur des constructions de grande taille en réfléchissant la lumière résiduelle qui se disperse alors sur le manteau de camouflage. Cependant ce manteau ne permettrait l’invisibilité que sur la résonance d’une fréquence déterminée. Les physiciens ont convenu que ce concept particulier a des utilisations militaires potentielles prometteuses !
Source : BBCnews.com
http://www.ufopublication.com/index.php?option=content&task=view&id=885&Itemid=2
Dans un rapport scientifique à la société Royale Britannique, Nicolae Nicorovici et Graeme Milton deux chercheurs en mathématique ont élaboré le principe d’un dispositif de dissimulation pour rendre les véhicules spatiaux invisibles. Le concept est basé sur l’effet connu sous le nom de "Résonance Anormale Localisée", qui propose de placer les objets près d'un matériel appelé "Superlens" et qui est capable de les faire disparaître.
Témoignage du Cdt Duboc (Pilote du vol 3532-Nice-Londres d'Air-France le 28/01/94) :"L'objet lenticulaire de couleur rouge est resté immobile sur notre gauche à 45 km. Nous l'avons observé pendant une bonne minute, conscients de voir quelques chose d'absolument anormal. Nous l'observions lorsqu'il s'est progressivement confondu avec l'environnement. Nous l'avons vu devenir évanescent, transparent, dilué dans l'espace. C'était absolument ahurissant".
Pour l’instant le concept ne fonctionne que sur le papier, mais il n’est pas impossible d’en faire une réalisation opérationnelle. Le phénomène est analogue à un diapason qui vibrerait sur une fréquence unique placée à côté d'un verre de vin. Le verre de vin se mettrait à résonner sur la même fréquence. L'effet de dissimulation exploite cette résonance avec les particules de poussière autour du vaisseau. Les particules en contact avec le vaisseau seraient alors capables de disperser la lumière en s’accordant sur la fréquence de la source émissive. La lumière rebondissant sur cette couche de particules permettrait de préserver le vaisseau des photons et de le rendre invisible sur un fond uni.
Pour construire ce dispositif de dissimulation, des matériaux récemments découverts rendent le concept possible sur des constructions de grande taille en réfléchissant la lumière résiduelle qui se disperse alors sur le manteau de camouflage. Cependant ce manteau ne permettrait l’invisibilité que sur la résonance d’une fréquence déterminée. Les physiciens ont convenu que ce concept particulier a des utilisations militaires potentielles prometteuses !
Source : BBCnews.com
http://www.ufopublication.com/index.php?option=content&task=view&id=885&Itemid=2
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- InvitéInvité
Contrôle du cerveau humain et télépathie artificielle
Ven 14 Nov 2008, 19:09
J'ai toujours soutenu sur le forum que si les neurones d'un cerveau pouvait communiquer avec les neurones d'un autre cerveau, le phénomène se serait développé chez des animaux, jusqu'à être aussi efficace qu'un téléphone numérique, bien avant l'apparition de l'homme -très tardive au regard de l'âge de la vie sur Terre- tant, même à l'état « embryonnaire », « balbutiant », elle donnerait d'avantages sélectifs aux spécimens pionniers qui en seraient porteurs.
Mais si la télépathie « naturelle » ne peut pas exister, les témoignages de qualité sur des communications de type « télépathique » avec le « phénomène ET » sont trop fiables pour qu'on ne puisse soupçonner une « télépathie artificielle », obtenue donc avec un « appareil ».
Toute pensée, toute activité psychique, réside dans l'activité biochimique des neurones qui échangent entre eux, au terme d'un processus encore obscur, des impulsions nerveuses parle biais d'extensions cellulaires en forme de fils microscopiques, axone et terminaisons nerveuses. Ce « câblage » est remanié jusqu'à la mort du sujet, certains neurones disparaissent, d'autres conservés précédemment pendant parfois des décennies à l'état embryonnaire se développent soudain et poussent leurs connexions vers d'autres cellules parfois fort éloignées, aidés par les névroglies.
La merveille des merveille de la Nature est là: le cerveau s'auto-organise, les informaticiens diraient « s'auto-programme ». (Ce qu'un ordinateur ne sait pas -encore- faire)
L'influx nerveux induit une onde de dépolarisation le long de la fibre neuronale qui le transporte. Cette dépolarisation est assimilable à un nano-courant électrique auquel est associé, nécessairement, un plus infime encore champ magnétique. Il y a une centaine de milliards de neurones dans notre cerveau et chaque neurone a en moyenne quelques milliers de fibres se connectant à d'autres neurones. Il y a donc en permanence, en rapport avec l'activité plus ou moins grande du cerveau, disons quelques dizaines de milliers de milliards de nano-courants circulant dans notre cerveau et émettant selon la loi d'Ampère quelques dizaines de champs électro-magnétiques qui ne se distinguent les uns des autres que par leur emplacement respectif dans l'espace.
Pour « lire » les pensées d'un cerveau, il faut donc :
1°) cartographier le cerveau neurone par neurone, et savoir lequel communique avec qui.
2°) savoir quelle « pensée » correspond à telle situation de « trafic nerveux », sachant que le nombre de combinaisons dépasse sans nul doute (je n'ai pas fait le calcul) le nombre de protons existant dans l'univers entier (!!!)
3°) se donner les moyens d'enregistrer en continu le trafic réel (au moins pour les régions, parfois dispersées du cerveau, où s'effectuent la création de la « pensée » du moment.
4°) « démêler », en temps réel!, dans « l'écheveau » de ces dizaines de milliers milliards d'émissions électromagnétiques celle qui va de tel neurone à tel autre, de manière à reconstituer toute cette activité.
5°) dans le cas d'une surveillance « clandestine » d'un cerveau humain, opérer l'enregistrement à distance. Or la puissance rayonnante d'émission du champ électromagnétique diminue en proportion du carré de la distance entre émetteur et récepteur. Avec un effet de seuil quantique qui fait qu'en dessous d'une certaine valeur, il n'y a plus aucun moyen de recueillir quelque chose tout simplement par ce qu'il y a moins de un photon pour transmettre le signal.
Ces exigences sont tellement prodigieuses qu'on a peine à imaginer que même une civilisation beaucoup plus avancée que la nôtre y parvienne. On comprend pourquoi, de tout façon, il est hors de question de « surveiller » le fonctionnement cérébral des six milliards et plus d'êtres humains. Mais que « l'on » doit se contenter « d'échantillons », choisis ou pas. Et que le plus simple est « d'équiper » ceux-ci avec des « implants » qui font l'analyse de l'activité du cerveau à proximité de celui-ci.
L'analyse mathématique du champ électromagnétique global, comparable à celle qui sont en œuvre dans le scanner, l'IRM ou le radar passif de type HAARP devient tellement colossal que même les ET ont peut-être l'obligation d'enlever une première fois le sujet afin d'obtenir en quelque sorte un « code » spécifique du cerveau de celui-ci afin de simplifier « l'analyse » ultérieure de son champ électromagnétique cérébral pour connaître ses pensées. Les autres manipulations alléguées par les enlevés pourraient ne servir que de camouflage à cette opération essentielle.
Les humains n'en sont pas encore là même si les militaires étatsuniens ont obtenu des crédits importants pour utiliser les techniques développées pour la médecine à faire la guerre.
Voici l'article paru dans Techno-sciences:
Quand les soldats communiqueront par la pensée
L'armée américaine vient d'accorder à l'université (Une université est un établissement d'enseignement supérieur dont l'objectif est la production du savoir (recherche),...) de Californie d'Irvine un fond de 4 millions de dollars afin de développer un système de “télépathie synthétique” qui permettrait aux combattants sur le front d'envoyer des messages directement depuis leur cerveau. Le système consisterait en une interface (Une interface est une zone, réelle ou virtuelle qui sépare deux éléments. L’interface désigne ainsi ce que chaque...) neurale directe qui détecterait certaines manifestations cérébrales. En réception le contenu serait affiché en mode texte (En informatique, le mode texte, par opposition au mode graphique, est un type d'affichage sur écran constitué...) ou converti en message (La théorie de l'information fut mise au point pour déterminer mathématiquement le taux d’information transmis...) vocal.
Le système proposé reposera essentiellement sur la détection d'ondes (Une onde est la propagation d'une perturbation produisant sur son passage une variation réversible de propriétés...) cérébrales (EEG, électoencéphalogramme). Il semble qu'on soit très loin d'envisager de développer un système complexe impliquant l'imagerie par résonance (Lorsqu'on abandonne un système stable préalablement écarté de sa position d'équilibre, il y retourne, généralement à...) magnétique (IRM) et une analyse poussée des activités du cerveau. La technologie (Le mot technologie possède deux acceptions de fait :) EEG, assez ancienne, présente l'avantage d'être peu onéreuse et aisément transportable. En revanche, elle est peu précise. Comment donc les chercheurs espèrent-ils obtenir des résultats fiables avec cette méthode ? En effet des casques reposant sur l'EEG existent déjà pour les joueurs, comme celui d'Emotiv, et se révèlent très limités dans leur capacité à reconnaître les signaux cérébraux. Et, comme le dit Paul Sajda, de l'université de Columbia, il est plus facile de penser “déplacer rocher” que “rendez-vous au Starbuck à 15h30″. C'est pourtant des phrases de ce genre que devrait pouvoir traiter ce futur système.
Dans les années 60 le chercheur Edmund Dewan avait certes réussi à moduler la fréquence (Cet article ou cette section doit être recyclé. Sa qualité devrait être largement améliorée en le réorganisant et en le...) de ses ondes alpha pour rédiger un message en morse. Mais la méthode utilisée par les chercheurs sera probablement plus sophistiquée. Ils envisagent de procéder à une classification des différentes activités du cerveau, ce qui pourrait nécessiter une phase (Le mot phase peut avoir plusieurs significations, il employé dans plusieurs domaines et principalement en...) de préparation assez longue. “Il faudra effectuer un entrainement assez long pour envoyer et recevoir des messages. Au début, la communication (La communication concerne aussi bien l'homme (communication intra-psychique,interpersonnelle, groupale...) que l'animal...) se reposera sur un ensemble (En théorie des ensembles, un ensemble, désigne intuitivement une collection d’objets (que l'on appelle éléments...) limité de mots reconnus par le système”, explique Michael D'Zmura, le responsable du projet (Un projet est - dans un contexte professionnel - une aventure temporaire entreprise dans le but de créer un produit ou...), à la tête du département des sciences cognitives et notamment du Laboratoire des neurosystèmes cognitifs. “Il pourra impliquer un langage plus sophistiqué, au fur et à mesure de la technologie avancera.”
Voici un exemple de la procédure imaginée. On montre à un patient, recouvert d'un casque EEG les lettres “y” pour “yes”, ou “n “pour “no” (des français utiliseraient bien sûr les caractères o et n). Une ou deux secondes plus tard, on demande au cobaye de penser “yes” ou “no”, et on enregistre les ondes pour l'ensemble du processus. On refait l'expérience des dizaines de fois, jusqu'à ce qu'on puisse déterminer les ondes qui surgissent dans le cas d'un “yes” ou d'un “no”. Nous vous laissons imaginer le temps (Le temps est un concept développé pour représenter la variation du monde : l'Univers n'est jamais figé, les...) nécessaire pour arriver à constituer un lexique suffisamment complet pour être utilisable... Dans ce processus de classification, des méthodes plus onéreuses comme l'IRM ou la magnéto-encéphalographie pourraient être utilisées, mais en complément de l'EEG.
Ce “casque” ne servirait pas qu'à créer des messages. Les ondes cérébrales permettent aussi de repérer les mouvements de l'attention de l'utilisateur. On pourrait ainsi aussi savoir où et à qui l'expéditeur souhaite envoyer sa missive.
Tout ça semble bien compliqué et on se demande un peu si la montagne ne va pas accoucher d'une souris, et si un soldat rampant dans la boue sous le feu ennemi n'aura pas autre chose à faire qu'à calibrer soigneusement ses pensées pour envoyer des messages télépathiques à son vis-à-vis.
Mais si la télépathie « naturelle » ne peut pas exister, les témoignages de qualité sur des communications de type « télépathique » avec le « phénomène ET » sont trop fiables pour qu'on ne puisse soupçonner une « télépathie artificielle », obtenue donc avec un « appareil ».
Toute pensée, toute activité psychique, réside dans l'activité biochimique des neurones qui échangent entre eux, au terme d'un processus encore obscur, des impulsions nerveuses parle biais d'extensions cellulaires en forme de fils microscopiques, axone et terminaisons nerveuses. Ce « câblage » est remanié jusqu'à la mort du sujet, certains neurones disparaissent, d'autres conservés précédemment pendant parfois des décennies à l'état embryonnaire se développent soudain et poussent leurs connexions vers d'autres cellules parfois fort éloignées, aidés par les névroglies.
La merveille des merveille de la Nature est là: le cerveau s'auto-organise, les informaticiens diraient « s'auto-programme ». (Ce qu'un ordinateur ne sait pas -encore- faire)
L'influx nerveux induit une onde de dépolarisation le long de la fibre neuronale qui le transporte. Cette dépolarisation est assimilable à un nano-courant électrique auquel est associé, nécessairement, un plus infime encore champ magnétique. Il y a une centaine de milliards de neurones dans notre cerveau et chaque neurone a en moyenne quelques milliers de fibres se connectant à d'autres neurones. Il y a donc en permanence, en rapport avec l'activité plus ou moins grande du cerveau, disons quelques dizaines de milliers de milliards de nano-courants circulant dans notre cerveau et émettant selon la loi d'Ampère quelques dizaines de champs électro-magnétiques qui ne se distinguent les uns des autres que par leur emplacement respectif dans l'espace.
Pour « lire » les pensées d'un cerveau, il faut donc :
1°) cartographier le cerveau neurone par neurone, et savoir lequel communique avec qui.
2°) savoir quelle « pensée » correspond à telle situation de « trafic nerveux », sachant que le nombre de combinaisons dépasse sans nul doute (je n'ai pas fait le calcul) le nombre de protons existant dans l'univers entier (!!!)
3°) se donner les moyens d'enregistrer en continu le trafic réel (au moins pour les régions, parfois dispersées du cerveau, où s'effectuent la création de la « pensée » du moment.
4°) « démêler », en temps réel!, dans « l'écheveau » de ces dizaines de milliers milliards d'émissions électromagnétiques celle qui va de tel neurone à tel autre, de manière à reconstituer toute cette activité.
5°) dans le cas d'une surveillance « clandestine » d'un cerveau humain, opérer l'enregistrement à distance. Or la puissance rayonnante d'émission du champ électromagnétique diminue en proportion du carré de la distance entre émetteur et récepteur. Avec un effet de seuil quantique qui fait qu'en dessous d'une certaine valeur, il n'y a plus aucun moyen de recueillir quelque chose tout simplement par ce qu'il y a moins de un photon pour transmettre le signal.
Ces exigences sont tellement prodigieuses qu'on a peine à imaginer que même une civilisation beaucoup plus avancée que la nôtre y parvienne. On comprend pourquoi, de tout façon, il est hors de question de « surveiller » le fonctionnement cérébral des six milliards et plus d'êtres humains. Mais que « l'on » doit se contenter « d'échantillons », choisis ou pas. Et que le plus simple est « d'équiper » ceux-ci avec des « implants » qui font l'analyse de l'activité du cerveau à proximité de celui-ci.
L'analyse mathématique du champ électromagnétique global, comparable à celle qui sont en œuvre dans le scanner, l'IRM ou le radar passif de type HAARP devient tellement colossal que même les ET ont peut-être l'obligation d'enlever une première fois le sujet afin d'obtenir en quelque sorte un « code » spécifique du cerveau de celui-ci afin de simplifier « l'analyse » ultérieure de son champ électromagnétique cérébral pour connaître ses pensées. Les autres manipulations alléguées par les enlevés pourraient ne servir que de camouflage à cette opération essentielle.
Les humains n'en sont pas encore là même si les militaires étatsuniens ont obtenu des crédits importants pour utiliser les techniques développées pour la médecine à faire la guerre.
Voici l'article paru dans Techno-sciences:
Quand les soldats communiqueront par la pensée
L'armée américaine vient d'accorder à l'université (Une université est un établissement d'enseignement supérieur dont l'objectif est la production du savoir (recherche),...) de Californie d'Irvine un fond de 4 millions de dollars afin de développer un système de “télépathie synthétique” qui permettrait aux combattants sur le front d'envoyer des messages directement depuis leur cerveau. Le système consisterait en une interface (Une interface est une zone, réelle ou virtuelle qui sépare deux éléments. L’interface désigne ainsi ce que chaque...) neurale directe qui détecterait certaines manifestations cérébrales. En réception le contenu serait affiché en mode texte (En informatique, le mode texte, par opposition au mode graphique, est un type d'affichage sur écran constitué...) ou converti en message (La théorie de l'information fut mise au point pour déterminer mathématiquement le taux d’information transmis...) vocal.
Le système proposé reposera essentiellement sur la détection d'ondes (Une onde est la propagation d'une perturbation produisant sur son passage une variation réversible de propriétés...) cérébrales (EEG, électoencéphalogramme). Il semble qu'on soit très loin d'envisager de développer un système complexe impliquant l'imagerie par résonance (Lorsqu'on abandonne un système stable préalablement écarté de sa position d'équilibre, il y retourne, généralement à...) magnétique (IRM) et une analyse poussée des activités du cerveau. La technologie (Le mot technologie possède deux acceptions de fait :) EEG, assez ancienne, présente l'avantage d'être peu onéreuse et aisément transportable. En revanche, elle est peu précise. Comment donc les chercheurs espèrent-ils obtenir des résultats fiables avec cette méthode ? En effet des casques reposant sur l'EEG existent déjà pour les joueurs, comme celui d'Emotiv, et se révèlent très limités dans leur capacité à reconnaître les signaux cérébraux. Et, comme le dit Paul Sajda, de l'université de Columbia, il est plus facile de penser “déplacer rocher” que “rendez-vous au Starbuck à 15h30″. C'est pourtant des phrases de ce genre que devrait pouvoir traiter ce futur système.
Dans les années 60 le chercheur Edmund Dewan avait certes réussi à moduler la fréquence (Cet article ou cette section doit être recyclé. Sa qualité devrait être largement améliorée en le réorganisant et en le...) de ses ondes alpha pour rédiger un message en morse. Mais la méthode utilisée par les chercheurs sera probablement plus sophistiquée. Ils envisagent de procéder à une classification des différentes activités du cerveau, ce qui pourrait nécessiter une phase (Le mot phase peut avoir plusieurs significations, il employé dans plusieurs domaines et principalement en...) de préparation assez longue. “Il faudra effectuer un entrainement assez long pour envoyer et recevoir des messages. Au début, la communication (La communication concerne aussi bien l'homme (communication intra-psychique,interpersonnelle, groupale...) que l'animal...) se reposera sur un ensemble (En théorie des ensembles, un ensemble, désigne intuitivement une collection d’objets (que l'on appelle éléments...) limité de mots reconnus par le système”, explique Michael D'Zmura, le responsable du projet (Un projet est - dans un contexte professionnel - une aventure temporaire entreprise dans le but de créer un produit ou...), à la tête du département des sciences cognitives et notamment du Laboratoire des neurosystèmes cognitifs. “Il pourra impliquer un langage plus sophistiqué, au fur et à mesure de la technologie avancera.”
Voici un exemple de la procédure imaginée. On montre à un patient, recouvert d'un casque EEG les lettres “y” pour “yes”, ou “n “pour “no” (des français utiliseraient bien sûr les caractères o et n). Une ou deux secondes plus tard, on demande au cobaye de penser “yes” ou “no”, et on enregistre les ondes pour l'ensemble du processus. On refait l'expérience des dizaines de fois, jusqu'à ce qu'on puisse déterminer les ondes qui surgissent dans le cas d'un “yes” ou d'un “no”. Nous vous laissons imaginer le temps (Le temps est un concept développé pour représenter la variation du monde : l'Univers n'est jamais figé, les...) nécessaire pour arriver à constituer un lexique suffisamment complet pour être utilisable... Dans ce processus de classification, des méthodes plus onéreuses comme l'IRM ou la magnéto-encéphalographie pourraient être utilisées, mais en complément de l'EEG.
Ce “casque” ne servirait pas qu'à créer des messages. Les ondes cérébrales permettent aussi de repérer les mouvements de l'attention de l'utilisateur. On pourrait ainsi aussi savoir où et à qui l'expéditeur souhaite envoyer sa missive.
Tout ça semble bien compliqué et on se demande un peu si la montagne ne va pas accoucher d'une souris, et si un soldat rampant dans la boue sous le feu ennemi n'aura pas autre chose à faire qu'à calibrer soigneusement ses pensées pour envoyer des messages télépathiques à son vis-à-vis.
- InvitéInvité
Re: Nos cerveaux sous influence
Ven 14 Nov 2008, 19:13
Dans Techno-sciences encore on peut lire un article sur le traitement des troubles obsessionnels compulsifs (TOC) par des électrodes implantées dans le cerveau.
Cette technique d'électrodes de stimulation a été mise au point, comme il est indiqué dans l'article, pour soigner la maladie de Parkinson. Dans cette affection neuro-motrice très invalidante, le sujet à du mal à coordonner ses mouvements, le mauvais fonctionnement de nerfs moteurs entraîne un tremblement irrépressible. Sous l'effet de ce courant de très basse intensité, les neurones concernés fonctionnent correctement.
Mais c'est une activité élémentaire. Il en va tout autrement pour les TOC : le sujet qui vérifie vingt fois que ses portes ont été verrouillées fait appel au fonctions supérieures de son psychisme pour se créer un doute permanent sur leur fermeture, celui qui respecte un rituel extrêmement compliqué pour entreprendre telle ou telle action doit avoir de l'imagination pour l'inventer.
Que des activités de niveau si « supérieur » puissent être perturbées par de simples électrodes est étonnant. Bien entendu, comme l'explique l'article, c'est par hasard, en traitant de parkinsoniens victimes en plus de TOC que les médecins ont fait cette découverte.
Cette innovation révolutionnaire permet-elle d'augurer que l'on pourra un jour que l'on pourra traiter avec cette méthode une fois qu'elle sera perfectionnée, traiter des affections plus lourdes comme la psychose et stopper préventivement les pulsions des agresseurs de tous ordres y compris sexuels, rien n'interdit maintenant de l'espérer.
Pour nous, sur ce forum, cela signifie que si les hommes parviennent déjà à ce remarquable résultat, les ET sont allés beaucoup plus loin et qu'ils savent aussi bien écrire dans notre cerveau qu'ils savent y lire, qu'ils peuvent effacer des souvenirs et en inscrire des faux, stimuler la zone qui engendre la panique absolue comme induire un état de paix de relaxation ou de joie profonde et nous faire artificiellement trouver beaux ou « pleins de dignité » leurs engins.
Voici cet article:
News Doctissimo > News Psycho > Un stimulateur cérébral pour soigner les TOC
Les News Psycho
Un stimulateur cérébral pour soigner les TOC
Jeudi 13 novembre 2008
Près de 2 à 4 % des Français sont victimes de troubles obsessionnels compulsifs. Ces gestes répétés et autres obsessions récurrentes gâchent la vie de ceux qui les subissent. Le traitement classique, associant psychothérapie et antidépresseurs, ne fonctionne pas chez un tiers des patients. Pour ceux-là, un nouvel espoir de traitement semble se confirmer : la stimulation cérébrale.
Il y a 6 ans, un essai de stimulateur cérébral pour soigner la maladie de Parkinson eut un résultat inattendu chez deux patients : il diminuait l'ampleur des troubles obsessionnels compulsifs dont ils étaient également atteints. Ce système composé d'électrodes implantées dans une zone précise du cerveau, reliées à un stimulateur externe, permet soit de stimuler certains neurones, soit au contraire de d'inhiber les influx nerveux.
Mais il fallait vérifier que les deux cas observés n'étaient pas le fruit du hasard. L'Inserm a donc lancé une étude sur 16 patients atteints de TOC pour vérifier l'efficacité du traitement. Et les résultats semblent spectaculaires.
La moitié des patients ont été soumis à une stimulation, puis a un placebo (électrodes toujours en place, mais boîtier éteint), l'autre moitié a connu le cas inverse (placebo puis stimulation). Résultat : au bout de trois mois de traitement, la stimulation améliore 7 patients sur 10. Un quart ont même vu le problème de TOC disparaître totalement !
L'avantage de cette technique est d'être réversible, à l'inverse de celles de destruction ciblée de neurones qui avaient été envisagées. Ici, il suffit d'éteindre le stimulateur pour arrêter l'effet.
La stimulation cérébrale reste toutefois une technique complexe, réservée donc aux patients qui résistent au traitement classique. De plus, on ne connaît pas encore les effets à long terme ou les risques éventuels associés à ce procédé. Car implanter des électrodes dans le cerveau n'est pas anodin ! Un décalage de quelques millimètres et le patient peut souffrir de troubles comportementaux : hyperactivité, insomnie, irritabilité... D'autres études seront nécessaires avant de proposer ce traitement à tous les patients. Les victimes de TOC devront donc s'armer de patience.
Source : Communique de l'Inserm et New England Journal of Medicine, publication en ligne, novembre 2008.
Cette technique d'électrodes de stimulation a été mise au point, comme il est indiqué dans l'article, pour soigner la maladie de Parkinson. Dans cette affection neuro-motrice très invalidante, le sujet à du mal à coordonner ses mouvements, le mauvais fonctionnement de nerfs moteurs entraîne un tremblement irrépressible. Sous l'effet de ce courant de très basse intensité, les neurones concernés fonctionnent correctement.
Mais c'est une activité élémentaire. Il en va tout autrement pour les TOC : le sujet qui vérifie vingt fois que ses portes ont été verrouillées fait appel au fonctions supérieures de son psychisme pour se créer un doute permanent sur leur fermeture, celui qui respecte un rituel extrêmement compliqué pour entreprendre telle ou telle action doit avoir de l'imagination pour l'inventer.
Que des activités de niveau si « supérieur » puissent être perturbées par de simples électrodes est étonnant. Bien entendu, comme l'explique l'article, c'est par hasard, en traitant de parkinsoniens victimes en plus de TOC que les médecins ont fait cette découverte.
Cette innovation révolutionnaire permet-elle d'augurer que l'on pourra un jour que l'on pourra traiter avec cette méthode une fois qu'elle sera perfectionnée, traiter des affections plus lourdes comme la psychose et stopper préventivement les pulsions des agresseurs de tous ordres y compris sexuels, rien n'interdit maintenant de l'espérer.
Pour nous, sur ce forum, cela signifie que si les hommes parviennent déjà à ce remarquable résultat, les ET sont allés beaucoup plus loin et qu'ils savent aussi bien écrire dans notre cerveau qu'ils savent y lire, qu'ils peuvent effacer des souvenirs et en inscrire des faux, stimuler la zone qui engendre la panique absolue comme induire un état de paix de relaxation ou de joie profonde et nous faire artificiellement trouver beaux ou « pleins de dignité » leurs engins.
Voici cet article:
News Doctissimo > News Psycho > Un stimulateur cérébral pour soigner les TOC
Les News Psycho
Un stimulateur cérébral pour soigner les TOC
Jeudi 13 novembre 2008
Près de 2 à 4 % des Français sont victimes de troubles obsessionnels compulsifs. Ces gestes répétés et autres obsessions récurrentes gâchent la vie de ceux qui les subissent. Le traitement classique, associant psychothérapie et antidépresseurs, ne fonctionne pas chez un tiers des patients. Pour ceux-là, un nouvel espoir de traitement semble se confirmer : la stimulation cérébrale.
Il y a 6 ans, un essai de stimulateur cérébral pour soigner la maladie de Parkinson eut un résultat inattendu chez deux patients : il diminuait l'ampleur des troubles obsessionnels compulsifs dont ils étaient également atteints. Ce système composé d'électrodes implantées dans une zone précise du cerveau, reliées à un stimulateur externe, permet soit de stimuler certains neurones, soit au contraire de d'inhiber les influx nerveux.
Mais il fallait vérifier que les deux cas observés n'étaient pas le fruit du hasard. L'Inserm a donc lancé une étude sur 16 patients atteints de TOC pour vérifier l'efficacité du traitement. Et les résultats semblent spectaculaires.
La moitié des patients ont été soumis à une stimulation, puis a un placebo (électrodes toujours en place, mais boîtier éteint), l'autre moitié a connu le cas inverse (placebo puis stimulation). Résultat : au bout de trois mois de traitement, la stimulation améliore 7 patients sur 10. Un quart ont même vu le problème de TOC disparaître totalement !
L'avantage de cette technique est d'être réversible, à l'inverse de celles de destruction ciblée de neurones qui avaient été envisagées. Ici, il suffit d'éteindre le stimulateur pour arrêter l'effet.
La stimulation cérébrale reste toutefois une technique complexe, réservée donc aux patients qui résistent au traitement classique. De plus, on ne connaît pas encore les effets à long terme ou les risques éventuels associés à ce procédé. Car implanter des électrodes dans le cerveau n'est pas anodin ! Un décalage de quelques millimètres et le patient peut souffrir de troubles comportementaux : hyperactivité, insomnie, irritabilité... D'autres études seront nécessaires avant de proposer ce traitement à tous les patients. Les victimes de TOC devront donc s'armer de patience.
Source : Communique de l'Inserm et New England Journal of Medicine, publication en ligne, novembre 2008.
- Paul.85Participation exceptionnelle
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Re: Nos cerveaux sous influence
Sam 18 Avr 2009, 09:37
C'est très intéressant,mais si les photons,donc la lumière est réfléchie,ou en quelque sorte elle contourne l'objet a dissimuler, cela signifie que l'objet ne reçoit pas de lumière donc ceux qui se trouvent l'intérieur de l'objet en question ne verront pas non plus l'extérieur.Mais peut être utiliseront-ils un moyen d'ondes ou de radar pour recevoir les informations de l'environnement dans lequel ils se trouvent?
- brunehautAnalyste enquêteur
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Rayon X les mystères du cerveau.
Mar 07 Juil 2009, 15:11
J'ai trouvé l'émission très intéressante, claire et vulgarisée suffisamment pour que mon cerveau fainéant puisse comprendre une partie de son propre fonctionnement.
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brunehaut
- RodolpheSpécialiste Photo
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Re: Nos cerveaux sous influence
Jeu 09 Juil 2009, 19:10
Une émission forte intéressante, mais basé sur des hypothèses des plus variés.
Le cerveau reste une énigme tout comme l’Univers, cela me permet de comprendre qu’il y a certainement un lien avec l’Univers, conscience et intelligence à l'application de notre évolution. Il est possible que notre cerveau soit né à l’image de l’Univers ?
Le Cosmos dans lequel nous vivons est peut-être dans un processus chaotique où l’émergence de la vie et ensuite de l’intelligence est un accès vers un niveau supérieur de complexité.
Stuart Kauffman
Le cerveau reste une énigme tout comme l’Univers, cela me permet de comprendre qu’il y a certainement un lien avec l’Univers, conscience et intelligence à l'application de notre évolution. Il est possible que notre cerveau soit né à l’image de l’Univers ?
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- brunehautAnalyste enquêteur
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Re: Nos cerveaux sous influence
Ven 10 Juil 2009, 18:02
Effectivement le cerveau est comme l'univers, un microcosme posant le même problème de compréhension et beaucoup de théories à développer.
cordialement.
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brunehaut
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Nos cerveaux sous influence
Jeu 12 Nov 2009, 12:35
3- Nos cerveaux sous influence
Sonores ou électromagnétiques, les technologies « psychotroniques » offrent la promesse de perturber, voire manipuler, le psychisme. Porté par les géants de l’électronique et le marché de la sécurité intérieure, cet arsenal invisible de l’influence, autrefois réservé aux militaires du temps de la guerre froide, se répand dans le civil. Vous avez dit subliminal ?
Sommaire du dossier: Les pollutions du cerveau
1- Entretien avec George Carlo
2-La guerre des ondes: cas du GSM
3-Nos cerveaux sous influence
4-Soigner la dépression par les ondes?
C’est à gauche. À droite. Encore à gauche. La scène se déroule en 2005, au Siggraph, la grand-messe américaine des images de synthèse et des technologies interactives. Une femme court, un casque opaque sur les oreilles, la trajectoire erratique. Chaloupant au gré de ses virages, brusques et multiples. Non loin, un homme joue des manettes, hilare, plongé dans sa démonstration de radioguidage humain. La technique, développée par NTT Japon depuis l’an 2000 et sobrement baptisée GVS (comprendre Stimulation Galvanique Vestibulaire), repose sur des électrodes placées sur la peau, sous les deux oreilles. Plus précisément derrière les mastoïdes, à hauteur d’oreille interne. Là où se niche notre gyroscope biologique, le sens de l’équilibre sous le contrôle du système vestibulaire. En commandant à distance le passage du courant dans les électrodes, l’appareil GVS déséquilibre le système vestibulaire du porteur, qui, pour retrouver l’équilibre, compense en tournant à droite, ou a gauche… Selon la polarité du courant infligée. Et la volonté de la personne aux commandes. Premier bénéficiaire annoncé de cette interface kinesthésique : les jeux vidéo. Histoire d’accentuer le réalisme des courses de voitures ou d’avions. Virages serrés, chutes, tonneaux, les sensations promettent d’être vertigineuses. La médecine aussi pourrait souhaiter traiter par GVS les victimes de troubles de l’équilibre. « D’autres applications possibles, expliquent les chercheurs de chez NTT, incluent l’anticollision automatique, la marche radioguidée par GPS, ou le contrôle du flux des piétons ». Dans sa dernière incarnation, le GVS a rejoint un projet dénommé Parasite. Un ordinateur ˝portable ˝ », captant les postures et sensations du corps, pour les retransmettre. Modifiées, corrigées.
Sécurité intérieure
HAARP Construit en Alaska, le High frequency Active Auroral Research Program de l’armée américaine est l’un des plus puissants émetteurs radios jamais conçu. Surface totale de ce réseau de 180 antennes : un peu plus de 13 hectares. L’équivalent de 26 terrains de football. Ce projet controversé est accusé d’à peu près tous les maux, du contrôle du climat au brouillage de la pensée. Non sans raison… le 10 mars 2004, HAARP a provoqué une aurore boréale artificielle en « surchauffa...
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Des voix dans la tête
Quelques mois plus tard, toujours en 2005, c’est au tour de Sony de déposer une série de brevets décrivant comment produire des hallucinations sonores ou visuelles… À distance et sans fil, bien entendu, en soumettant le cerveau à des impulsions ultrasons précises. L’idée, ingénieuse, consiste à projeter deux faisceaux d’ondes de fréquences quasiment identiques, ciblées sur certaines zones cérébrales. De la différence entre les deux fréquences en naîtrait une troisième, de très basse fréquence – 2, 4, 7 ou 12 hertz par exemple – suffisante pour « télécommander » l’embrasement des neurones concernés. Suscitant des mirages olfactifs, sonores, multimédia. Des sensations artificielles, à la demande ou subies… Inédites peut-être ? Annoncé comme « prophétique » par la compagnie japonaise et considéré comme très plausible par les chercheurs du domaine, le système se veut non-intrusif. Ne suscitant ni puce ni implant. Les premières applications, là encore, seraient d’ordre médical. Pour générer par exemple des sons et corriger la surdité. Difficile pourtant de penser que le géant des loisirs et du divertissement électronique pourrait en rester là. « Cet article explique comment des voix peuvent être directement projetées dans la tête d’un individu ». Nous sommes en 1961. La publication de ce texte, signé du Dr Allan Frey, ouvre le chapitre d’un nouveau champ de recherches : la perception audible des hautes fréquences électromagnétiques, comprises entre 216 et 10 000 Mhz. Un procédé dit « électrophonique », car permettant d’entendre des sons, sans passer par des sons ! Rapporté dès le début des radars, le phénomène n’a fait l’objet d’une étude systématique aux États-Unis qu’à partir de 1961 et l’étude du Dr Frey. Les clicks, craquements et bourdonnements entendus varient selon le volume de la tête de l’auditeur mais résultent d’un effet dit thermoélastique, lié à la dilatation des tissus de la tête causée par la quantité d’énergie micro-ondes absorbées. Un phénomène de conduction osseuse transmet alors le signal au cerveau qui « entend » un son.
Relier l'homme et la machine
L’ensemble, bardé de capteurs, d’électrodes et de servo-moteurs, pèse moins de 500 gr et s’apparente une fois enfilé à un exo-squelette ultra-léger mais très intelligent. Assez pour memoriser la gestuelle d’une personne… Puis, via l’assistance d’une trentaine d’inducteurs posturo-sensoriels, GVS ou autres, les répliquer à l’échelle d’un autre individu endossant aussi son Parasite. Et mimer par exemple le swing parfait pour apprendre à jouer au golf. Car cette « interface comportemental...
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Premier bénéficiaire annoncé de l'interface kinesthésique: les jeux vidéo.
Effet bucha : épilepsies, malaises et vomissements
On se souvient de cet épisode du dessin animé Pokemon dont la diffusion au Japon en 1997 a entraîné 685 crises d’épilepsie chez des enfants sans antécédents médicaux. Des crises provoquées par l’alternance durant une poignée de secondes d’images contrastées rouge et bleue, à la fréquence de 12 hz. Une stimulation suffisante pour déclencher des crises chez environ 1 personne sur 4 000, soit environ 0.5 à 0.8 % des enfants entre 5 et 13 ans. L’épisode est toujours banni des écrans du monde entier. En fait, dès les années 50, un facteur épileptique similaire a été mis en évidence sur les pilotes d’hélicoptères, victimes de malaises inexpliqués. Les survivants décrivaient l’irruption de nausées brutales, de vertiges. La faute aux pales de l’hélicoptère qui, en tournant à une certaine vitesse – entre 1 et 20 fois par seconde – cachaient le soleil par intermittence et provoquaient des flashs lumineux, stroboscopiques, en phase avec les rythmes électriques de l’activité cérébrale, ce qui déboussolait le système nerveux des pilotes. D’où les malaises. Car cet « effet Bucha », du nom de son découvreur, peut toucher toutes les populations. Même les non épileptiques.
Les enfants de la télé ?
C’est désormais une évidence scientifique. Les variations lumineuses, l’image animée ont bien un effet d’inducteur de conscience. La télévision notamment, via sa lucarne magique, occasionne une transe légère, semi-hypnotique, caractérisée par une nette prédominance d’ondes alpha. Cette incidence sur la distribution des ondes cérébrales, si elle perdure, influence la régulation hormonale, émotionnelle, immunitaire, etc. des téléspectateurs.
Rien que pour vos yeux?
LED INCAPACITOR Dévoilé durant l’été 2007 par le Département de la Sécurité Intérieure des États-Unis, « l’incapaciteur » est un prototype de lampe torche à « effet Bucha » reposant sur un assortiment de diodes électroluminescentes (DEL) multicolores. Continuellement optimisé par un télémètre intégré, calculant la distance séparant la lampe de sa victime, les éclairs arc-en-ciel déferlent et submergent le cerveau, l’empêchant de s’y adapter… Les yeux sont aveuglés, l’ense...
Mais un téléviseur peut faire plus, notamment exploiter les champs électromagnétiques rayonnés à chaque « rafraîchissement » de l’image. « Des effets physiologiques ont été observés sur des sujets humains en réponse à la stimulation de leur peau à l’aide de champs électromagnétiques faibles, pulsés à certaines fréquences proches des 0,5 Hz et 2,4 Hz, rappelle ainsi un brevet américain déposé en 2003. De nombreux moniteurs ou d’écrans télé peuvent émettre des champs magnétiques pulsés à des amplitudes suffisantes pour causer de telle stimulation. Il devient ainsi possible de manipuler le système nerveux d’un sujet en diffusant des images « clignotantes » sur un écran situé à proximité. » Particulièrement détaillé, le brevet du procédé reprend les grandes étapes des recherches en stimulation nerveuse par électricité et champs magnétiques. L’image « pulsée » à la demande, selon un logiciel ad hoc, peut ainsi être incorporée au contenu des programmes, « noyé » dans la modulation du flux, qu’il soit vidéo ou hertzien. Ou décliné sur bandes vidéo et DVD. Seul média encore préservé de ce « neuro-encodage » : le cinéma. Alors, pourra-t-on réellement influencer à distance nos pensées, nos humeurs ? Modifier nos comportements ? On a de plus en plus de raison de le craindre à la lecture des documents de recherches scientifiques militaires maintenant déclassifiés. Surtout, si l’on regarde certaines démonstrations et brevets industriels en cours de développement. De là à déclencher, à distance et sans fil, la sécrétion de protéines ou de neuromédiateurs spécifiques, ciblés sur des aires fonctionnelles données ?... La médecine travaille déjà dans ce sens, par exemple via les stimulations magnétiques transcrâniennes. Espérons alors que la bioéthique internationale vienne sanctionner des pratiques déviantes comme elle le fait déjà pour la manipulation de l’ADN… ♦
Pour aller plus loin:
Les projets GVS & Parasite: www.brl.ntt.co.jp/cs/avi/parasitic_humanoid/
Human auditory system response to modulated electromagnetic energy, Frey, Journal of Applied Physiol 1962.
« The mind has no firewall », T.L..Thomas, Parameters, 1998
« Mobile phone emission modulates (…) EEG alpha rhythms ». Vecchio et Rossini, European Journal of Neuroscience, mars 2007.
« Mobile phone emissions and human brain excitability. » Ferreri, Rossini, Annals of Neurology, aout 2006
« Nervous system manipulation by electromagnetic fields from monitors », USPatent 6506148,
www.freepatentsonline.com
http://www.mondeo.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=110&Itemid=1&ed=14
Sonores ou électromagnétiques, les technologies « psychotroniques » offrent la promesse de perturber, voire manipuler, le psychisme. Porté par les géants de l’électronique et le marché de la sécurité intérieure, cet arsenal invisible de l’influence, autrefois réservé aux militaires du temps de la guerre froide, se répand dans le civil. Vous avez dit subliminal ?
Sommaire du dossier: Les pollutions du cerveau
1- Entretien avec George Carlo
2-La guerre des ondes: cas du GSM
3-Nos cerveaux sous influence
4-Soigner la dépression par les ondes?
C’est à gauche. À droite. Encore à gauche. La scène se déroule en 2005, au Siggraph, la grand-messe américaine des images de synthèse et des technologies interactives. Une femme court, un casque opaque sur les oreilles, la trajectoire erratique. Chaloupant au gré de ses virages, brusques et multiples. Non loin, un homme joue des manettes, hilare, plongé dans sa démonstration de radioguidage humain. La technique, développée par NTT Japon depuis l’an 2000 et sobrement baptisée GVS (comprendre Stimulation Galvanique Vestibulaire), repose sur des électrodes placées sur la peau, sous les deux oreilles. Plus précisément derrière les mastoïdes, à hauteur d’oreille interne. Là où se niche notre gyroscope biologique, le sens de l’équilibre sous le contrôle du système vestibulaire. En commandant à distance le passage du courant dans les électrodes, l’appareil GVS déséquilibre le système vestibulaire du porteur, qui, pour retrouver l’équilibre, compense en tournant à droite, ou a gauche… Selon la polarité du courant infligée. Et la volonté de la personne aux commandes. Premier bénéficiaire annoncé de cette interface kinesthésique : les jeux vidéo. Histoire d’accentuer le réalisme des courses de voitures ou d’avions. Virages serrés, chutes, tonneaux, les sensations promettent d’être vertigineuses. La médecine aussi pourrait souhaiter traiter par GVS les victimes de troubles de l’équilibre. « D’autres applications possibles, expliquent les chercheurs de chez NTT, incluent l’anticollision automatique, la marche radioguidée par GPS, ou le contrôle du flux des piétons ». Dans sa dernière incarnation, le GVS a rejoint un projet dénommé Parasite. Un ordinateur ˝portable ˝ », captant les postures et sensations du corps, pour les retransmettre. Modifiées, corrigées.
Sécurité intérieure
HAARP Construit en Alaska, le High frequency Active Auroral Research Program de l’armée américaine est l’un des plus puissants émetteurs radios jamais conçu. Surface totale de ce réseau de 180 antennes : un peu plus de 13 hectares. L’équivalent de 26 terrains de football. Ce projet controversé est accusé d’à peu près tous les maux, du contrôle du climat au brouillage de la pensée. Non sans raison… le 10 mars 2004, HAARP a provoqué une aurore boréale artificielle en « surchauffa...
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Des voix dans la tête
Quelques mois plus tard, toujours en 2005, c’est au tour de Sony de déposer une série de brevets décrivant comment produire des hallucinations sonores ou visuelles… À distance et sans fil, bien entendu, en soumettant le cerveau à des impulsions ultrasons précises. L’idée, ingénieuse, consiste à projeter deux faisceaux d’ondes de fréquences quasiment identiques, ciblées sur certaines zones cérébrales. De la différence entre les deux fréquences en naîtrait une troisième, de très basse fréquence – 2, 4, 7 ou 12 hertz par exemple – suffisante pour « télécommander » l’embrasement des neurones concernés. Suscitant des mirages olfactifs, sonores, multimédia. Des sensations artificielles, à la demande ou subies… Inédites peut-être ? Annoncé comme « prophétique » par la compagnie japonaise et considéré comme très plausible par les chercheurs du domaine, le système se veut non-intrusif. Ne suscitant ni puce ni implant. Les premières applications, là encore, seraient d’ordre médical. Pour générer par exemple des sons et corriger la surdité. Difficile pourtant de penser que le géant des loisirs et du divertissement électronique pourrait en rester là. « Cet article explique comment des voix peuvent être directement projetées dans la tête d’un individu ». Nous sommes en 1961. La publication de ce texte, signé du Dr Allan Frey, ouvre le chapitre d’un nouveau champ de recherches : la perception audible des hautes fréquences électromagnétiques, comprises entre 216 et 10 000 Mhz. Un procédé dit « électrophonique », car permettant d’entendre des sons, sans passer par des sons ! Rapporté dès le début des radars, le phénomène n’a fait l’objet d’une étude systématique aux États-Unis qu’à partir de 1961 et l’étude du Dr Frey. Les clicks, craquements et bourdonnements entendus varient selon le volume de la tête de l’auditeur mais résultent d’un effet dit thermoélastique, lié à la dilatation des tissus de la tête causée par la quantité d’énergie micro-ondes absorbées. Un phénomène de conduction osseuse transmet alors le signal au cerveau qui « entend » un son.
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L’ensemble, bardé de capteurs, d’électrodes et de servo-moteurs, pèse moins de 500 gr et s’apparente une fois enfilé à un exo-squelette ultra-léger mais très intelligent. Assez pour memoriser la gestuelle d’une personne… Puis, via l’assistance d’une trentaine d’inducteurs posturo-sensoriels, GVS ou autres, les répliquer à l’échelle d’un autre individu endossant aussi son Parasite. Et mimer par exemple le swing parfait pour apprendre à jouer au golf. Car cette « interface comportemental...
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Effet bucha : épilepsies, malaises et vomissements
On se souvient de cet épisode du dessin animé Pokemon dont la diffusion au Japon en 1997 a entraîné 685 crises d’épilepsie chez des enfants sans antécédents médicaux. Des crises provoquées par l’alternance durant une poignée de secondes d’images contrastées rouge et bleue, à la fréquence de 12 hz. Une stimulation suffisante pour déclencher des crises chez environ 1 personne sur 4 000, soit environ 0.5 à 0.8 % des enfants entre 5 et 13 ans. L’épisode est toujours banni des écrans du monde entier. En fait, dès les années 50, un facteur épileptique similaire a été mis en évidence sur les pilotes d’hélicoptères, victimes de malaises inexpliqués. Les survivants décrivaient l’irruption de nausées brutales, de vertiges. La faute aux pales de l’hélicoptère qui, en tournant à une certaine vitesse – entre 1 et 20 fois par seconde – cachaient le soleil par intermittence et provoquaient des flashs lumineux, stroboscopiques, en phase avec les rythmes électriques de l’activité cérébrale, ce qui déboussolait le système nerveux des pilotes. D’où les malaises. Car cet « effet Bucha », du nom de son découvreur, peut toucher toutes les populations. Même les non épileptiques.
Les enfants de la télé ?
C’est désormais une évidence scientifique. Les variations lumineuses, l’image animée ont bien un effet d’inducteur de conscience. La télévision notamment, via sa lucarne magique, occasionne une transe légère, semi-hypnotique, caractérisée par une nette prédominance d’ondes alpha. Cette incidence sur la distribution des ondes cérébrales, si elle perdure, influence la régulation hormonale, émotionnelle, immunitaire, etc. des téléspectateurs.
Rien que pour vos yeux?
LED INCAPACITOR Dévoilé durant l’été 2007 par le Département de la Sécurité Intérieure des États-Unis, « l’incapaciteur » est un prototype de lampe torche à « effet Bucha » reposant sur un assortiment de diodes électroluminescentes (DEL) multicolores. Continuellement optimisé par un télémètre intégré, calculant la distance séparant la lampe de sa victime, les éclairs arc-en-ciel déferlent et submergent le cerveau, l’empêchant de s’y adapter… Les yeux sont aveuglés, l’ense...
Mais un téléviseur peut faire plus, notamment exploiter les champs électromagnétiques rayonnés à chaque « rafraîchissement » de l’image. « Des effets physiologiques ont été observés sur des sujets humains en réponse à la stimulation de leur peau à l’aide de champs électromagnétiques faibles, pulsés à certaines fréquences proches des 0,5 Hz et 2,4 Hz, rappelle ainsi un brevet américain déposé en 2003. De nombreux moniteurs ou d’écrans télé peuvent émettre des champs magnétiques pulsés à des amplitudes suffisantes pour causer de telle stimulation. Il devient ainsi possible de manipuler le système nerveux d’un sujet en diffusant des images « clignotantes » sur un écran situé à proximité. » Particulièrement détaillé, le brevet du procédé reprend les grandes étapes des recherches en stimulation nerveuse par électricité et champs magnétiques. L’image « pulsée » à la demande, selon un logiciel ad hoc, peut ainsi être incorporée au contenu des programmes, « noyé » dans la modulation du flux, qu’il soit vidéo ou hertzien. Ou décliné sur bandes vidéo et DVD. Seul média encore préservé de ce « neuro-encodage » : le cinéma. Alors, pourra-t-on réellement influencer à distance nos pensées, nos humeurs ? Modifier nos comportements ? On a de plus en plus de raison de le craindre à la lecture des documents de recherches scientifiques militaires maintenant déclassifiés. Surtout, si l’on regarde certaines démonstrations et brevets industriels en cours de développement. De là à déclencher, à distance et sans fil, la sécrétion de protéines ou de neuromédiateurs spécifiques, ciblés sur des aires fonctionnelles données ?... La médecine travaille déjà dans ce sens, par exemple via les stimulations magnétiques transcrâniennes. Espérons alors que la bioéthique internationale vienne sanctionner des pratiques déviantes comme elle le fait déjà pour la manipulation de l’ADN… ♦
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Re: Nos cerveaux sous influence
Jeu 12 Nov 2009, 12:36
Rien que pour vos yeux?
LED INCAPACITOR
Dévoilé durant l’été 2007 par le Département de la Sécurité Intérieure des États-Unis, « l’incapaciteur » est un prototype de lampe torche à « effet Bucha » reposant sur un assortiment de diodes électroluminescentes (DEL) multicolores. Continuellement optimisé par un télémètre intégré, calculant la distance séparant la lampe de sa victime, les éclairs arc-en-ciel déferlent et submergent le cerveau, l’empêchant de s’y adapter… Les yeux sont aveuglés, l’ensemble du système nerveux désorienté, etc. Commercialisation prévue en 2010. ♦
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Re: Nos cerveaux sous influence
Sam 14 Nov 2009, 12:34
"1984" de george orwel n'est plus tres loin,je pense .
A cout de matraquage mediatique(insécurité,terrorisme et j'en passe...),nos etats democratiques se transforment peu a peu en GATTACA...
De plus en plus de moyen pour asservire la masse et les réfractaires(je pense surtout au pays de L'est(communistes)que l'ont a tellement pointé du doigt dans nos contrées capitalistes....pour au final prendre les mêmes brutalitées et ignimenies...en plus progessif cependant).
Même si ça a toujours été le cas depuis que l'être humain c'est organisé,aujourd'hui on voit apparaitre des outil et des procédés qui nous déservent a vitesse grand V.
Ce qui est le plus drôle c'est que les concernés(nous),laissont tout passer sans broncher....je plein vraiment les generations futures
A cout de matraquage mediatique(insécurité,terrorisme et j'en passe...),nos etats democratiques se transforment peu a peu en GATTACA...
De plus en plus de moyen pour asservire la masse et les réfractaires(je pense surtout au pays de L'est(communistes)que l'ont a tellement pointé du doigt dans nos contrées capitalistes....pour au final prendre les mêmes brutalitées et ignimenies...en plus progessif cependant).
Même si ça a toujours été le cas depuis que l'être humain c'est organisé,aujourd'hui on voit apparaitre des outil et des procédés qui nous déservent a vitesse grand V.
Ce qui est le plus drôle c'est que les concernés(nous),laissont tout passer sans broncher....je plein vraiment les generations futures
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