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Sam 14 Juin 2008, 16:47
10 SEPTEMBRE 1954, MOURIERAS, CORREZE:

JOURNAL "VAR-MATIN REPUBLIQUE":

Selon la rumeur publique... en Corrèze

Un cultivateur a été embrassé par le passager d'une soucoupe volante...!!
Ussel, 13 septembre. -- Les gendarmes de la brigade de Bugeat, ce matin apprenant par la rumeur publique qu'un cultivateur du hameau de Mourieras, commune de Bugeat (Corrèze), M. Antoine Mazaud, avait conversé avec le passager d'une "soucoupe volante", se rendirent auprès du cultivateur afin de faire confirmer ces bruits.

M. Mazaud leur affirme que le 10 septembre, à 20h30, rentrant de ses champs, il avait rencontré sur un sentier, à 1500 mètres de son habitation, un individu inconnu de taille moyenne, coiffé d'un casque sans oreillette qui lui serra la main et l'embrassa en prononçant des paroles inintelligibles.

L'homme monta ensuite dans un engin en forme de cigare, non éclairé, d'une longueur de trois à quatre mètres qui, décollant à la verticale, partit en direction de l'ouest, ne faisant pas plus de bruit qu'une abeille.

M. Mazaud, déclare ensuite, qu'il n'avait pas voulu parler de cette histoire car il craignait que l'on se moquât de lui. Il confia néanmoins la chose à sa femme, qui à son tour, en fit part aux voisines, et c'est ainsi que la gendarmerie l'apprit.

Le lieutenant de gendarmerie, commandant la section s'est rendu sur les lieux où aucune trace n'a été relevée.

[Ref. 1679:] JOURNAL "LE POPULAIRE DU CENTRE":


09/10: La rencontre d'Antoine Mazaud à Mourieras (Corrèze) Lepopulaireducentre15sefp4

Mystère à BUGEAT
"Non, je n'ai pas été victime d'une hallucination"
nous déclare M. Mazeaud
Le cultivateur a reconstitué hier, devant les enquêteurs, sa rencontre avec le passager de la "soucoupe volante"

(DE NOTRE ENVOYE SPECIAL: JACQUES MARJAC.)

Bugeat. -- A 58 ans, M. Antoine Mazeaud est un solide morceau d'homme, accusant 1 m. 82 sous la toise. Jusqu'ici, il avait la conscience sereine de tout ses semblables résidants au hameau de Mouriéras, à 1 km. 500 de Bugeat, sur la route de Tarnac, s'accrochant à cette rude terre qui n'offre cependant en retour que de maigres ressources.

Hier, M. Mazeaud n'est allé qu'une fois dans l'après-midi voir son champ de blé noir, accompagné dans cette étrange visite par M. Bernard, commissaire aux renseignements généraux de Tulle, son adjoint l'inspecteur Gratias, les gendarmes de Bugeat et quelques journalistes.

Sous les ondées répétées, l'homme refit son récit, calmement, clairement, indiquant du doigt les endroits précis et s'attachant à mimer les réactions qui l'animèrent au moment des faits.

Le commissaire Bernard était décontenancé car ce que venait de répéter, les geste que venait de reconstituer le cultivateur, correspondaient point par point à la déposition faite une demi-heure auparavant et enregistrée par l'inspecteur Gratias.

- Vous pourrez m'interroger cent fois, cent fois je vous répondrai la même chose puisque je ne mens pas, enchaîna M. Mazeaud...

(suite en page 2)

"IL" M'A SERRE LA MAIN PUIS EMBRASSE

Le soir du 10 septembre, M. Mazeaud quittait son champ du "Puy", situé à 1 km. 800 de chez lui. Il venait de couper le blé noir et s'engageait dans le chemin rocailleux bordé de genets et de fougères. Il était 20 h. 30 et la lune, quoique claire, ne permettait qu'une médiocre visibilité.

- J'ai alors distingué un homme qui marchait vers moi, précise le cultivateur. Il marchait en baissant la tête.

- De petite taille?

- Moyenne.

- Que s'est-il passé ensuite?

- Il s'est approché de moi, m'a serré la main, a retiré son casque, sorte de protège-tête métallique comme en portent les motocyclistes, mais dépourvu de mentonnière, puis m'a donné l'accolade sans jamais lever la tête.

- Vous a-t-il parlé?

Non, il n'a de même émis aucun son. Perplexe, j'ai laissé tomber la fourche que je portais sur l'épaule et l'homme s'est rapidement engagé dans la lande.

- N'avez-vous pas tenté de le poursuivre?

Nullement, j'étais comme paralysé; avec un ami à mes côtés, peut-être aurions-nous engagé la poursuite... Revenu de mon émotion, mon regard fut alors attiré par une masse oblongue qui prenait lentement de l'altitude et qui brillait faiblement. La "chose" me parut passer sous la ligne électrique qui borde la route de Tarnac; de profil, la longueur n'excédait pas six mètres.

JE NE VOULAIS RIEN DIRE

Sidéré, un peu tremblant, M. Mazeaud regagna son domicile. Il soupa et dormit normalement. Pourtant, d'heure en heure, ces faits le tracassaient; il fit de son épouse la confidente et entretint son fils, instituteur à Bort-les-Orgues, de la scène qu'il venait de vivre, se défendant âprement d'avoir été le jouet d'une hallucination et encore moins d'avoir imaginé...

Finalement, les langues se délièrent à Bugeat et le "cas" du "père Mazeaud", narré chez l'épicier, fut colporté chez le boulanger puis chez le boucher pour aboutir enfin à la gendarmerie... qui transmettait à la police de Tulle!

M. Antoine Mazeaud est un citoyen travailleur, sobre (il ne boit pas d'alcool) et bénéficie de l'estime générale sur tout le territoire de la commune. Il n'a encore jamais lu de récits de "science-fiction" et ne veut pas en entendre parler.

Le plus troublant, et qui renforce le mystère de la "soucoupe volante" de Bugeat, c'est que le même fait était enregistré, la même nuit, à deux heures d'intervalle, près de Valenciennes.

[Ref. 1442:] "NORD-ECLAIR" NEWSPAPER: Nord-Eclair, France, le 16 septembre 1954.

09/10: La rencontre d'Antoine Mazaud à Mourieras (Corrèze) Nordeclair16sep1954aw6

LE PASSAGER D'UN "CIGARE VOLANT" qui a donné l'accolade à un
paysan corrézien n'avait rien d'anormal

Il ne s'agit plus cette fois de soucoupe volante ni d'être bizarre semblant appartenir à une autre monde. La rencontre faite par M. Mazaud, un solide paysan quinquagénaire de Bugeat (Corrèze) est toute autre. Il y a dans ses déclarations un indiscutable accent de sincérité. Il n'a pas, tant s'en faut, la réputation d'un farceur ou d'un illuminé, et les enquêteurs n'ont pas relevé la moindre faille ou la moindre contradiction dans ses déclarations.

L'homme qu'il rencontra sur un plateau désert, le 10 septembre, vers 20 h. 30, n'avait rien d'anormal dans son accoutrement ni dans son aspect, si ce n'est la forme assez particulière du casque qu'il portait sur la tête. Quand il se trouva face à face avec le paysan corrézien, il fit plusieurs inclinaison de tête pour le saluer, lui tendit la main, puis lui donna l'accolade. Il ne [...]

La suite en dernière page sous le titre: CORREZE

[
Légende photo:] "Et pourant c'est vrai!", dit M. MAZAUD, cultivateur de Corrèze, après son extraordinaire récit aux gendarmes. (A.P.)

[...]


[Ref. 1382:] JOURNAL "LA CROIX":


09/10: La rencontre d'Antoine Mazaud à Mourieras (Corrèze) Lacroix16sep1954qf3.th

Mars... ou rêve!

Que voulez-vous, toutes ces histoires de soucoupe [illisible] Et si M. Mazaud, de Bugeat (Corrèze) avait vraiment reçu le baiser d'un martien?... Nos incrédulités auraient bonne mine...

D'autant qu'il y a un autre témoin, en la personne de M. Frugier, de Limoges, qui a vu, au jour et à l'heure même où prenait fin la rencontre aussi affectueuse qu'interplanétaire de Bugeat, un disque rouge sillonnant le ciel d'Est en Ouest. Or, Limoges est au nord-ouest de Bugeat, direction prise par le mystérieux engin selon les déclarations faites par le cultivateur corrézien.

Il y a là plus qu'un rapprochement...

[Ref. 651:] PARIS MATCH:

Dans un article général en quatre pages à propos des soucoupes volantes, Paris-Match cite Antoine Mazaud comme l'une des trois seules personnes, avec Aasta Solvag et Marius Dewilde, "qui aient pris un contact personnel avec les passagers des soucoupes volantes" sur le vieux continent. L'article dénonce par ailleurs l'escroquerie américaine des faux fragments de soucoupe volante de Frank Scully et donne un récit clairement dubitatif des affirmations d'Adamski.

Le magazine indique que ces passagers de soucoupes volantes ont embrassé M. Mazaud, ajoutant que selon ses propre paroles, M. Mazaud sentit contre sa joue une chair chaude "comme celle d'un gars de chez nous."

[Ref. 1383:] JOURNAL "SAMEDI-SOIR":

09/10: La rencontre d'Antoine Mazaud à Mourieras (Corrèze) Ap3krtul

Le Martien affectueux

Mouriéras (Corrèze), vendredi 10 septembre 1954, 19 h. 15:

ANTOINE MAZAUD vienne de lier sa dernière botte d'avoine. Il songe que la nuit tombe déjà bien vite en cette saison et qu'il a bien fait de travailler tard pour terminer avant les premières gelées. D'un coup de reins, il ajuste la bretelle de sa musette et sa fourche sur l'épaule, casquette rejetée en arrière, il se dirige à grandes enjambées vers le hameau situé à environ deux kilomètres.

C'est un solide gaillard, le père Mazaud. Il a beau avoir cinquante-huit ans, on en trouverait peu comme lui pour cultiver cette terre aride du plateau de Millevaches, où les genêts et la bruyère poussent mieux que le blé. Il faisait presque nuit, mais ce chemin creux, bordé de fougères, il en connait les moindres pierres, les moindres ornières. Il presse le pas, car il craint d'être en retard pour la soupe. Justement, voici le raccourci qui, à travers la lande, conduit à sa ferme. Il s'y engage, fait cinquante mètres, et soudain s'immobilise. A trois pas devant lui, le long d'un buisson, se profile une silhouette inquiétante.

Antoine Mazaud, cependant, n'a aucune raison d'avoir peur. Tout le monde a le droit de se promener sur le plateau, même à huit heures du soir, et ce ne serait pas la première fois que Mazaud rencontrerait un braconnier en revenant de son champ. Et pourtant le fait est là: Antoine Mazaud a peur. Inexplicablement peur.

Quelque chose lui dit que l'homme n'est pas d'ici. Il ne peut distinguer ses traits, mais ses vêtements sont de couleur sombre, et sa tête, qu'il tient obstinément baissée, paraît enserrée dans un casque comme ceux que portent les motocyclistes. Il est de petite taille, et se balance sur lui-même, sans dire un mot.

Dans sa paume calleuse, le père Mazaud serre le manche de sa fourche. Si l'inconnu lui veut du mal, il trouvera à qui parler.

Quelques secondes se passent, puis soudain, l'homme tend la main. C'est un signe de paix évident. Mazaud tend la sienne. L'inconnu s'avance, toujours en baissant la tête. Il pend la main de Mazaud, la serre fortement, et, attirant vers lui le cultivateur, il l'embrasse. Sidéré, Antoine Mazaud se laisse faire et vient à peine de réaliser ce qui lui est arrivé que déjà l'inconnu s'éloigne à grands pas sur la lande. Toute la scène a duré une minute et ni l'un ni l'autre des protagonistes n'a prononcé une seule parole.

Encore sous le coup de la surprise, Antoine reprend machinalement sa route.

- Je craignais une nouvelle rencontre de ce genre, qui peut-être aurait été moins pacifique, dira-t-il plus tard.

Mais à peine a-t-il parcouru vingt mètres qu'il voit "la Chose", ou plutôt il entend un léger bruissement qui le fait se retourner. A une cinquantaine de mètres de lui, un engin de forme allongée, brillant faiblement, mesurant environ de quatre à cinq mètres de long, s'élève doucement du sol et prend peu à peu de l'altitude.

Après avoir passé sous la ligne électrique qui borde la route de Tarnac, "la Chose" disparaît dans la nuit. Antoine Mazaud, de Mouriéras (Corrèze), va devenir l'homme de l'actualité.

Il raconte l'affaire à sa femme, d'abord, puis à son fils, qui est instituteur à Bort-les-Orgues. Bientôt, tout le village est au courant et, de fil en aiguille, le cas du père Mazaud parvient aux oreilles de la brigade mobile de Tulle, qui dépêche sur place le commissaire Bernard, des renseignements généraux. A lui comme aux autres, Antoine Mazaud ne peut répéter que ce qu'il a dit: L'homme... le baiser... la Chose...

Sur place, les enquêteurs ne découvrent rien. Aucun indice d'atterrissage, aucune trace. Avant même d'avoir commencé, l'enquête est bloquée aux déclarations d'Antoine Mazaud. Le mystère reste entier.

Telle est la manière dont a été relatée l'aventure de M. Mazaud. Cette histoire paraissait assez surprenante pour justifier l'intérêt passionné du public et faire pousser des clameurs de triomphe à ceux qui considèrent les soucoupes volantes comme des engins interplanétaires.

Une enquête locale a tout de même révélé certains détails assez étranges.

"L'ETRE QUE J'AI EMBRASSE ETAIT DE PETITE TAILLE" a dit Antoine Mazaud et il a ajouté plus tard "IL M'A EMBRASSE SANS LEVER LA TETE". Antoine Mazaud a une taille de 1 m 80 environ, il paraît assez difficile qu'un individu de petite taille l'embrasse sans relever la tête.

L'OBSCURITE L'A EMPECHE DE DECRIRE LES TRAITS DE L'INCONNU, dit Antoine Mazaud. Cela ne l'a pourtant pas empêché de distinguer certains détails vestimentaires tels que le casque de motocycliste.

L'ENGIN EST PASSE SOUS UNE LIGNE ELECTRIQUE affirme M. Mazaud. Près de l'endroit où il se trouvait et à l'heure où se déroulait l'événement, il lui aurait fallu une vue de chouette pour remarquer avec certitude ce détail.

Enfin, il semble que certaines précisions sont venues se greffer par la suite sur le récit du témoin. Est-ce tellement étonnant, lorsqu'une nuée de personnes ont accablé M. Mazaud de questions et qu'il a répété son récit plus de cent fois?

Qui a soumis Antoine Mazaud à un questionnaire portant sur des faits absolument irréfutables? Qui a essayé de ramener son aventure à des données qu'il aurait jugées lui-même certaines? Le mystère n'est peut-être pas aussi impénétrable qu'il le paraît, mais Saint-Thomas ne serait peut-être pas de trop pour l'éclaircir.

[Ref. 1386:] JOURNAL "EVENING STAR":

09/10: La rencontre d'Antoine Mazaud à Mourieras (Corrèze) Theveningstar19oct19540cu8.th

En France, Les Rumeurs Volent...
Ou Alors Ce Sont les Soucoupes Qui Volent

PARIS. -- Les lecteurs des colonnes classiques d'annonces du Telegramme de Brest ont écarquillé récemment les yeux à l'annonce suivante:

RECOMPENSE

Offre de 10 millions de francs (1000000) à toute personne qui m'apporte un habitant vivant de la planète Mars. Contacter PRÉ à LOCRONAN (Finistère).

Il se peut que ce Mr. Pre ait perdu la boule et ait bien plus que 10 millions de francs le nez. Mais considérant ce qui se passe en Europe en ce moment, on ne sait jamais...

Cedric Allingham, si son intérêt était plus financier que scientifique, pourrait s'em être réjoui. Mr. Allingham est un [illisible]. Il est également un ornithologue professionnel et un astronome amateur. Sa grande chance est venue le 18 février dernier, à environ 15:30 lors d'une promenade entre [... Illisible Allingham est un "contacté" qui avait à ce moment prétendu avoir rencontré des Vénusiens, et non des Martiens, et donc était "hors concours".]

[...] chances de gagner la récompense de Mr. Pre, il n'a aucun atout sur le marché des Martiens. Dans les semaines récentes, des journaux européens ont été inondés d'une quantité de rapports à peine moins intrigants:


Dernière édition par Benjamin.d le Mar 15 Fév 2011, 10:44, édité 8 fois
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09/10: La rencontre d'Antoine Mazaud à Mourieras (Corrèze) Empty Re: 09/10: La rencontre d'Antoine Mazaud à Mourieras (Corrèze)

Sam 14 Juin 2008, 16:48
Dans la nuit du 10 septembre, près de Quarouble dans le nord de la France, une machine oblongue d'environ 10 pieds de long a atterri sur une voie de chemin de fer à quelques mètres de la maison du fermier Marius Dewilde. Deux petites créatures comme des hommes ont émergé, habillé dans des costumes qui ont ressemblé les costumes de plongeurs. Pendant que Mr. Dewilde marchait vers la machine, il a été paralysé par une lumière verte. Avant qu'il ait récupéré, la machine était haut dans le ciel. D'autres investigations ont montré des éraflures symétriques sur les traverses en bois de chemin de fer, suggérant que l'objet se soit reposé sur un train d'atterrissage en trépied.

Le même soir, un fermier du plateau de Millevache en France méridionale nommé Antoine Mazaud a confié un rapport semblable aux autorités locales. Marchant vers sa maison, Mr. Mazaud s'était trouvé soudainement face à face avec un petit étranger mystérieux portant quelque chose qui a ressemblé un casque antichoc. Le fermier Mazaud a prudemment avancé sa fourche. L'étranger, au contraire, a fait des mains des gestes d'amitié, a marché vers lui, a poussé quelques bruits, et a embrassé Mr. Mazaud sur la joue. Avant que le fermier ne puisse récupérer son équilibre, l'aimable intrus a grimpé la haie du bord de la route et est entré dans un objet en forme de cigare qui a décollé avec un faible bruit de ronflement.

Le 24 septembre à 10 heures du matin dans les montagnes de Gardunha près de la frontière espagnole, trois paysans portugais étaient ont été frôlés par une sphère volant rapidement qui a atterri dans un champ à 200 mètres d'eux. Cette fois, deux grandes créatures dans des équipements métalliques brillants ont émergé et ont commencé à rassembler de l'herbe et des pierres dans une boîte brillamment polie. Repérant les paysans, ils ont déambulé vers eux et ont invité les hommes par gestes à venir voler dans leurs machines, où des ombres mobiles pouvaient être vues derrière la section centrale semi-transparente. Quand leur offre a été déclinée, les étrangers ont disparu par une trappe. Quelques secondes plus tard, la sphère a décollé verticalement et a rapidement disparue. [Au Portugal, un canular, dossier ici.]

"Champignon Volant"

Le 30 septembre 30 à 17:10 Bernard Goujon et Armand Pichet travaillaient à la route entre Maisoncelles et Meaux quand un "champignon volant" de huit pieds de large s'est gracieusement posé tout près. Mr. Pichet, d'une position avantageuse dans le fossé du bord de la route, a invité Mr. Goujon "à courir là bas et aller jeter un oeil." Selon le rapport de Mr. Goujon aux gendarmes, le champignon a semblé être fabriqué à partir d'aluminium et reposer sur trois béquilles. Il a décollé pendant qu'il approchait "en faisant des spirales comme une feuille morte" et s'est perdu dans les nuages. Le lendemain matin

[Ref. 1015] CIA:

09/10: La rencontre d'Antoine Mazaud à Mourieras (Corrèze) Ciafbis29oct195401rv9
09/10: La rencontre d'Antoine Mazaud à Mourieras (Corrèze) Ciafbis29oct195409lb7

INFORMATION VENANT DE
DOCUMENTS OU EMISSIONS DE RADIO DE L'ETRANGER
PAYS: Non-Alignés DATE D'INFORMATION: 1954
SUJET: Militaire, Objets Volants Non Identifiés

PUBLIE DANS: Journaux quotidiens DATE DE DISTRIBUTION: 29 octobre 1954

PUBLIE A: Comme indiqué NOMBRE DE PAGES: 5
DATE DE PUBLICATION: 31 juillet - 20 septembre 1954

LANGUAGES: Divers EN SUPPLEMENT AU RAPPORT N.:

[Censuré] [Censuré] CES INFORMATIONS N'ONT PAS ETE EVALUEES

SOURCE: Comme indiqué

OBSERVATIONS D'ENGINS VOLANTS NON IDENTIFIES
31 JUILLET - 20 SEPTEMBRE 1954

EUROPE DE L'OUEST
[... (Rapports concernant d'autres pays) ...]

France

[... (Rapports précédents)] SUPPOSE PILOTES DE "SOUCOUPE VOLANTE" ETAIENT DES CONTREBANDIERS -- Paris, Franc-Tireur, 16 sep. 54

(Ce qui suit est une information additionnelle concernant les rapports de deux cas cités dans le compte-rendu FBIS du 14 septembre 1954.)

Deux des supposés récents atterrissages (du 10 septembre) de "soucoupes volantes" en France sont considérés par la police de l'air locale comme n'étant rien de plus que des avions utilisés en contrebande. En outre, dans un cas, un fermier du département de Corrèze a déclaré que le pilote avait prononcé des mots inintelligibles; mais le fermier n'était certainement pas polyglotte et pouvait avoir été facilement abusé. Dans l'autre affaire, dans le département de Valenciennes, le témoin peut avoir été sincère, mais il devrait être noté qu'il a subi un traumatisme crânien, un an auparavant, et connaissait depuis quelques troubles nerveux. Il est vrai, cependant, que dans le dernier cas, la police de l'air trouva quatre marques inhabituelles sur la voie ferrée, près de l'endroit indiqué par le témoin, traces qui n'ont pas pu être faites par les outils des ouvriers travaillant sur la voie.

[... (Fin des rapports pour la France)]

Note: "l'autre affaire" est l'affaire Maris Dewilde, se réferer au dossier correspondant du 10 septembre 1954 à Quarouble, Nord.

[Ref. -:] SOURCE NON TROUVEE:

Ce résumé dont la source n'est pas indiquée circule sur l'Internet:

Un cultivateur, Antoine Mazaud, qui rentre de son travail dans les champs, rencontre un être étrange, de taille moyenne, coiffé d'une sorte de casque de motocycliste.

"Mon premier réflexe, a raconté le cultivateur, fut de me servir immédiatement de ma fourche, que je serrais fortement dans ma main droite, car je n'étais pas rassuré du tout. J'étais figé sur place par la peur. Puis, tout doucement, il s'est avancé tout doucement vers moi, tout en faisant des salamalecs, et en tendant une main. Quand il fut à ma hauteur, je lui tendis la main gauche, qu'il étreignit très fort. Puis, en me tirant d'un geste sec, il m'embrassa sur les deux joues. J'en suis resté "baba". Il n'avait pas prononcé une parole. M'enhardissant, je lui dis: "bonsoir". Il ne répondit rien, passa devant moi et s'éloigna de quelques mètres. Dans l'ombre épaisse du bois, il me sembla qu'il se mettait à genoux. J'entendis alors un léger sifflement. Puis une sorte de cigare, plus gros à l'avant qu'à l'arrière, s'éleva vers le ciel, presque à la verticale. Il passa sous les fils à haute tension et disparut en direction de Limoges."

L'enquête ouverte par la gendarmerie d'Ussel permit d'établir que, ce soir du 10 Septembre, peu après 20h30, des habitants de LIMOGES avaient aperçu dans le ciel, volant d'ouest en est, un disque rougeâtre qui laissait échapper une traînée bleutée.

[Ref. 1703:] HAROLD T. WILKINS:

L'auteur indique que quelques jours après le rapport venu de Quarouble, est venu un rapport de Clermont Ferrand, dans la région isolée de montagnes de l'Auvergne: Antoine Mazaud, marchant au crépuscule le long d'un sentier piéton isolé vers une hameau nommé Ussel, avait rencontré un être casqué de quatre pieds six pouces de taille, qui a échangé une poignée de main avec lui et l'a embrassé sur les deux joues.

Cet être parlait une langue étrange, puis a tourné et sauté dans un en objet en forme de cigare de 12 pieds de long; lequel a décollé verticalement dans le ciel, et a disparu à l'ouest à grande vitesse.

Mazaud a informé la police, qui a seulement secoué leurs têtes et en ont parlé au propriétaire du bistrot local dont les clients ont ri de Mazaud; ce qui ne lui a pas fait plaisir.

L'auteur indique plus loin dans son livre qu'en France en 1954, à Bugeat, un homme a allégué que des êtres d'apparence normale ou un être d'apparence normale s'est parroché, l'a embrassé, a bavassé de façon inintelligible, est ensuite entré dans une soucoupe en forme de cigare de dix pieds de long et a décollé.

[Ref. 365:] JIMMY GUIEU:

Jimmy Guieu rapporte que le 10 septembre 1954, à 20:30, près du hameau de Mouriéras en Corrèze, sur le plateau de Millevache, M. Antoine Mazeau, un cultivateur de 50 ans, rentrait après avoir travaillé dans le champ.

Sur un sentier, à 1500 mètres de chez lui, il a rencontré un individu inconnu, de taille normale, coiffé d'un casque analogue à ceux que portent les motards mais sans oreillères. L'individu marchait vers lui.


Dernière édition par Benzemas le Lun 16 Juin 2008, 14:01, édité 3 fois

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09/10: La rencontre d'Antoine Mazaud à Mourieras (Corrèze) Empty Re: 09/10: La rencontre d'Antoine Mazaud à Mourieras (Corrèze)

Sam 14 Juin 2008, 16:49
M. Mazaud et l'individu se suprirent l'un l'autre en réalisant leur présences respectives, et M. Mazaud esquisse un geste de défense avec la fourche qu'il portait sur l'épaule, tandis que l'individu s'avance alors vers lui en souriant, les mains tendues, pour le convaincre de ses bonnes itentions. L'individu parle, mais ses paroles sont incompréhensibles pour M. Mazaud. L'individu prend les mains de M. Mazaud dans les sinnes et "les serra avec chaleur."

M. Mazaud n'étant pas encore revenu de sa surprise, l'individu enjamba le talus qui bordait le sentier et sauta dans un engin bizarre ayant la forme d'un gros cylindre métallique ayant de 3 à 4 mètres de long. L'appareil, non éclairé, décolle à la verticale en émettant un curieux bourdonnement de ruche et disparut en direction de l'Ouest.

Jimmy Guieu ajoute que les dires de M. Mazaud ont été déformés par certains, qui ont écrit qu'il avait été embrassé par l'individu, tandis qu'en réalité l'individu n'a fait que serrer les mains de M. Mazaud en signe d'amitié.

Jimmy Guieu indique que M. Mazaud a été longuement interrogé par le Lieutenant de Gendarmerie d'Ussel et a maintenu formellement ses déclarations, mais en déplorant le tapage qui avait été fait autour de son aventure. La Gendarmerie avait été prévenue 5 jours après les faits, s'est rendu sur place et n'a pas trouvé de traces à l'emplacement de l'atterrissage.

Jimmy Guieu ajoute enfin que les accents de sincérité de M. Mazaud et l'absence de contradictions dans son récit ont convaincu les enquêteurs de la justesse de son récit, et que M. Mazaud était honorablement connu et n'avait pas la réputation ni d'un farceur ni d'un visionnaire.

[Ref. 44:] AIME MICHEL:

Aimé Michel offre un récit vivant des événements, dont la substance est ce qui suit. Il note que dans cette région peu peuplée, tout le monde connaît tout le monde et un "inconnu" est en soi une étrangeté.

Le 10 Septembre 1954, Antoine Mazaud robuste paysan quinquagénaire calme et sensé, vient de passer l'après-midi à travailler dans son champ d'avoine. A 20:30, alors que la nuit tombe, il met sa fourche à l'épaule et prend le chemin creux surplombé par les monts Monneidières et qui serpente entre deux haies et mène à sa maison du hameau de Mouriéras, près de Bugeat, à 1.5 kilomètre de l'endroit où il se trouve.

A la hauteur d'un petit bois, il pose sa fourche pour fumer une cigarette, pendant une ou deux minutes, puis reprend sa fourche et sa marche. Michel reprend le récit de M. Mazaud:

"A peine avais-je fait quelques pas, que, dans l'obscurité commençante, je me trouvais nez à nez avec un "personnage" inconnu accoutré de façon bizarre. De taille moyenne, le "personnage" avait une espèce de casque sans oreillères, un peu comme les motocyclistes. Mon premier réflexe fut d'empoigner ma fourche. J'étais glacé de peur. "L'autre" aussi était immobile. Soudain, tout doucement, il s'avança vers moi, en faisant avec son bras une espèce de geste au-dessus de sa tête. Je crus comprendre qu'il voulait me calmer, me saluer peut-être, ou m'exprimer son amitié. Son autre bras se tendait vers moi, mais je n'eus pas l'impression d'une menace, au contraire. Je ne savais que faire. Après un moment d'affolement, où je me demandais à qui ou à quoi j'avais affaire, je pensais qu'il s'agissait d'un fou qui se serait déguisé. Comme il continuait à s'avancer lentement vers moi en faisant des gestes bizarres, j'en déduisit qu'il n'avait pas l'intention de m'attaquer. Il était devant moi. Alors tenant toujours ma fourche dans ma main droite, je lui tendis la gauche, un peu hésitant. Il la saisit vivement et la serra très fort, puis brusquement, me serra contre lui, en attirant ma tête contre son casque. J'étais sidéré. Tout cela s'était déroulé dans un silence complet. Revenant de ma stupeur, je m'enhardis à lui dire bonsoir. Il ne dit rien, passa devant moi et s'éloigna de quelques mètres dans l'ombre épaisse du bois. Il me sembla qu'il se mettait à genoux. Quelques secondes après, j'entendis un sifflement léger comme un bourdonnement d'abeille et vis s'élever entre les branches vers le ciel un espèce d'appareil sombre qui me parut avoir la forme d'un cigare renflé d'un côté et long de trois ou quatre mètres. Il passa sous les fils à haute tension et disparut dans le ciel vers l'Ouest en direction de Limoges. C'est à ce moment là que je repris mes esprits. Je m'élançais dans la direction où il avait disparu, mais c'était trop tard, évidemment."



A 20:50, Antoine Mazaud arrive chez lui. Sa femme l'interroge sur ce qui s'est passé, car il est pâle et ses mains tremblent. Pressé par sa femme, il accepte de lui donner son récit de la rencontre, mais lui demande de ne pas en parler à d'autres, par crainte des moqueries. Mme Mazaud racontera cependant toute l'histoire à sa voisine, sous promesse de n'en rien répéter, celle-ci fit de même, et dès le lendemain, tout le monde dans le secteur était au courant.

Le 12 octobre, le lieutenant de la Gendarmerie d'Ussel ouvre son enquête et interroge Mazaud, d'abord fâché et réticent, mais qui finit par raconter les événements. Sur les lieux de la rencontre, les gendarmes ne trouvent aucune trace, aucun indice. Michel note que deux jours s'étaient écoulés et qu'il avait beaucoup plu.

Les gendarmes ne purent en rien prouver que Mazaud mentait, et ne purent en rien prouver qu'il disait vrai. Ils cherchèrent à vérifier la réputation de l'homme, elle était excellente, Mazaud étant décrit comme un homme taciturne, travailleurs, équilibré et dépourvu de la moindre imagination. Michel extrait un article par un journaliste de "Combat" venu enquêter:

"Il y a dans ses déclarations un indiscutable accent de sincérité. Il n'a pas, tant s'en faut, la réputation d'un farceur ou d'un illuminé, et les enquêteurs n'ont pas relevé la moindre faille ou la moindre contradiction dans ses déclarations."



Michel note que le commissaire des Renseignements Généraux de Tulle dit avoir été "frappé comme tout le monde su sérieux de celui qui fut le témoin involontaire de cet étrange phénomène."

Michel indique que les autorités auraient sans doute classé l'affaire comme histoire à dormir debout, si il ne s'était pas révélé au cours de l'enquête que le même soir, quelques instant après que M. Mazaud ait vu partir l'engin en direction de Limoges, vers l'Ouest, des habitants de Limoges avaient effectivement aperçu un objet volant dans le ciel, arrivant de l'Est et allant en direction de l'Ouest, décrit comme un disque rougeâtre qui laissait échapper une traînée bleuté. Ces témoignages ont été recueillis par la police avant que la rencontre de M. Mazaud ait put avoir été connue des habitants de Limoges. Michel note entre autre le témoignage de M. George Frugier, trente ans, qui rapporta son observation dès le soir du 10 Septembre, en ayant noté l'heure avec certitude: quelques instants après 20:30. Michel ajoute que la famille de M. Frugier ne prit pas son témoignage au sérieux avant le 14 Septembre, date à laquelle les journaux mentionnent l'observation de M. Mazaud.

Brève discussions à partir du compte rendu d'Aimé Michel
Michel ajoute plusieurs précisions. Ainsi, il semble que M. Mazaud ait regretté de ne pas avoir "tué" l'inconnu "à coup de fourche pour savoir ce que c'était." C'est là, si cela est vraiment un propos de M. Mazaud, une indication ferme que pour lui, l'inconnu n'était pas un humain. Par ailleurs, la nature de l'inconnu, si l'on s'en tient au récit de Mazaud donné par Michel, est humaine: rien ne laisse penser le contraire.

Pour ajouter à la difficulté, Michel note que sur le moment, Mazaud n'avait pas eu la pensée que son visiteur pouvait être un être extraterrestre, que l'idée de "Martiens" et de "soucoupes volantes" lui était inconnue, et que c'est par la suite, avec les suggestions de la presse entre autre qu'il a fini par désigner son inconnu comme: "mon Martien."

Enfin, Aimé Michel note avec justesse que M. Mazaud n'a en rien le profil d'un "contacté" du type "Adamski" en ce sens que rien ne laissait prévoir à son entourage qu'il allait rencontrer un "Martien", et que suite à sa rencontre, Mazaud n'a pas été changé, il n'a notamment pas monté de culte. Il a rencontré un "Martien," et cela s'arrête là.

[Ref. 557:] CORAL ET JIM LORENZEN:

Les auteurs indiquent qu'à Mourieras, France, le 10 septembre 1954, un fermier retournant à la ville à la tombée de la nuit a vu un homme de taille moyenne, portant un casque, qui a fait des gestes amicaux et est entré dans les boussailles, et ensuite objet en forme de cigare estimé de 16 pieds de longueur a décollé.

[Ref. 152:] JACQUES VALLEE:

L'auteur indique que le 10 septembre 1954, un fermier qui revenait de Mouriéras à la tombée de la nuit s'est soudain trouvé face à face avec un être casqué de grandeur moyenne qui lui a fait des gestes amicaux, puis s'en est retourné, est entra dans un buisson, et a pénétré dans un objet en forme de cigare d'environ 4 mètres de long qui s'est envolé.

[Ref. 40:] JACQUES VALLEE:

10 Septembre 1954, 20h30. Mouriéras (France).

Un fermier, M. Mazaud, regagnait son domicile lorsqu'il se vit soudain en face d'un être casqué, de taille moyenne, faisant des gestes amicaux, qui s'en alla dans les broussailles. L'être entra dans un objet en forme de cigare d'environ 4 mètres de long qui s'envola en direction de Limoges. Quelques minutes plus tard des témoins de Limoges rapportèrent avoir vu un objet rouge, en forme de disque, laissant une traînée bleuâtre. (7; M 40)



Antoine Mazaud, en 1954.


[Ref. 41:] RICHARD BOYLAN, PhD:

Richard Boylan est un ufologue américain. Dans un article intitulé "races extraterrestres: types et apparitions variées" pour le journal du MUFON d'Avril 2000, il a reproduit le résumé du listing Magonia de Jacques Vallée tel quel:

Le 10 Septembre 1954 à Mourieras, France, un fermier, M. Mazaud, regagnait son domicile lorsqu'il se vit soudain en face d'un être casqué, de taille moyenne, faisant des gestes amicaux, qui s'en alla dans les broussailles. L'être entra dans un objet en forme de cigare d'environ 4 mètres de long qui s'envola en direction de Limoges. Quelques minutes plus tard des témoins de Limoges rapportèrent avoir vu un objet rouge, en forme de disque, laissant une traînée bleuâtre.



[Ref. 42:] JOURNAL MUNICIPAL DE BUGEAT, N. 25:

5.3 - LE 10 SEPTEMBRE 1954, UN EXTRATERRESTRE EN VISITE A BUGEAT
Dans la cuisine de la ferme familiale de Mouriéras, l'un des hameaux de la commune de Bugeat, Antoine Mazaud, 56 ans, se remémore, une fois encore, la folle succession des événements qu'il vient de vivre: l'enquête de la gendarmerie, la venue du commissaire des Renseignements Généraux de Tulle, les questions des voisins puis celles des journalistes. Et voilà sa photographie à la Une de La Montagne, le quotidien de Clermont-Ferrand! C'est sûr, maintenant: badauds et curieux vont se précipiter pour lui faire raconter ce qui s'est passé le jeudi 10 septembre 1954.

Ce jour-là, à la tombée de la nuit, il traversait à pied le plateau des Piloux à quelques centaines de mètres de Mouriéras. Terre rude et désolée que cette lande de bruyères et de fougères, à peine hérissée de massifs de genêts et de buissons épineux. Après avoir roulé une cigarette, il rentrait chez lui, la fourche à la main, au terme d'une longue après-midi de travail. Soudain, au détour d'un arbuste, Antoine Mazaud se heurta à un inconnu. L'obscurité naissante ne lui permit guère de distinguer les traits du visage de celui qui se trouvait face à lui. Il remarqua que l'homme "se contentait de rester à l'endroit où il était apparu, balançant curieusement sa tête et son corps sans dire un mot. Il portait une coiffure assez singulière. Elle ressemblait à un bonnet très collant de couleur sombre. Ses vêtements étaient également de teinte foncée". Bien qu'interloqué par une telle rencontre, le paysan corrézien se vit pourtant avancer la main vers celle que lui tendait l'inconnu. Tout "en continuant son étrange mimique", ce dernier l'attira alors vers lui pour l'embrasser et s'éloigner immédiatement après.

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Sam 14 Juin 2008, 16:49
Là ne s'arrête pas le plus extraordinaire de l'histoire. Antoine Mazaud avait-il seulement fait une vingtaine de mètres qu'il entendit un léger bourdonnement, pareil à celui d'une abeille. Se retournant, il aperçut "un engin de forme allongée qui planait comme un oiseau très près du sol. Il ressemblait à un long cigare de 4 à 5 m. Sa couleur rappelait celle du zinc. Il passa sous les fils électriques et disparut silencieusement dans la nuit" en direction de l'ouest. De retour à son domicile, Antoine Mazaud se tut, de peur de ne pas être cru. Néanmoins, le secret était trop lourd à porter; en soirée, il se confia à sa femme qui, le lendemain, en fit part à ses voisines. A partir de ce moment, la nouvelle s'amplifia et provoqua l'enquête de la gendarmerie.

Celle-ci ne put mettre en doute la sincérité de l'agriculteur de Mouriéras, décrit comme un homme pondéré et jouissant de l'estime de tous dans la région. En revanche, sur le plateau des Piloux aucun indice ne fut relevé. Le mystère resta entier, même si d'autres témoins, à Limoges, déclarèrent avant que ne fut connu "l'atterrissage" de Bugeat, avoir aperçu dans le ciel à la même heure, ce 10 septembre, un disque rougeâtre suivi d'une traînée bleutée se déplaçait d'est en ouest.

Quelques jours plus tard, le 20 septembre, un cultivateur de Lachassagne d'Alleyrat vit, lui aussi, un objet volant lumineux qui se positionna pratiquement au-dessus de son tracteur, lui occasionnant la peur de sa vie... Une nouvelle aubaine pour les journalistes! En cette année 1954 qui correspond à la plus grande vague d'observations françaises d'OVNI - 178 cas d'engins posés au sol ou sur le point d'atterrir et 62 descriptions d'humanoïdes, rappelle Guy Quincy -, les rudes terres de la Haute-Corrèze auraient donc particulièrement attiré les extraterrestres, si tant est qu'ils existent.

(récit tiré du livre de Jean-Michel VALADE "100 ans en Corrèze" (Editions Les Trois Epis à BRIVE)

en vente à la Maison de la Presse à BUGEAT

Ce livre présente 100 événements caractéristiques qui se sont passés en Corrèze (1 par an) de 1901 à 2000



[Ref. 413:] GILBERT CORNU ET HENRI CHALOUPEK:

Les deux ufologues français Gilbert Cornu et Henri Chaloupek indiquent que le 19 septembre 1954, M. Mazaud, un fermier de Corrèze rentre à sa ferme peu avant 22 heures et se serait trouvé face à face avec un inconnu vêtu de façon inhabituelle et coiffé d'un casque sans oreillières. En silence, l'inconnu prit la main de M. Mazaud et l'attira contre son casque et puis s'en alla. Quelques mètres plus loin, l'inconnu se mit à genoux. Quelques secondes plus tard, M. Mazaud entend un sifflement "comme un bourdonnement d'abeilles" et vit s'élever dans le ciel "une sorte d'appareil sombre."

Ils font remarquer que la scène est curieuse, pratiquement unique, et qu'il est difficile de se prononcer d'après ces seules données. Ils évoquent la possibilité d'une "rencontre humaine insolite" "d'un pauvre bougre un peu simplet" concordant avec un phénomène OVNI, quoique la concordance entre les deux serait étrange.

[Ref. 1034:] LUIS GONZALES, FIRSTHUMCAT:

10 septembre 1954 – Mouriéras

20:30. Un paysan, Mr. Mazaud, rentrait à sa maison quand il s'est trouvé devant un homme de taille normale et coiffé d'un casque, qui lui a fait des gestes amicaux, l'a serré contre lui, est entré dans un objet haut de 1 mètre et large de 4 mètres, qui est parti en direction de Limoges. Une minute plus tard, plusieurs habitants de cette cité virent passer un objet rouge et discoïde, qui dégageait une lueur bleuté.

Sources: Catalogue MAGONIA N.142 - Le Populaire du Centre (Limoges),

[Ref. 1371:] STEVEN DUNN, OCCUPANTS DATABASE:

DATE DESCRIPTION MICAP_CLAS REF
10.09.1954 Mourieras. FR

10 Sep 54

Un fermier revenant chez lui a vu un homme de taille moyenne portant un casque qui a fait des gestes amicaux, puis est entré dans une forêt. Un instant plus tard un engin en forme de cigare a décollé.
CE-3-102 Randle/Estes, FOV pg 264


[Ref. 312:] "ON THIS DAY" DE UFOCAT:

Ce jour là

10 septembre

[...]

1954 - Mourieras, France. Un fermier, M. Mazaud marchait vers aa maison quand il a été soudainement confronté a un être casqué de taille moyenne qui a fait des gestes amicaux, et est alors retourné dans la broussaile, est entrée un objet en forme de cigare d'environ quatre mètres de long, qui a décollé vers Limoges. Quelques minutes plus tard les témoins à Limoges ont rapporté un objet en forme de disque rouge laissant une traînée bleuâtre. (Sources: Le Parisien, 14 septembre 1954; Aime Michel, Flying Saucers and the Straight Line Mystery, p. 40; Jacques Vallee, Passport to Magonia, p. 209).



[Ref. 134:] ALBERT ROSALES, HUMCAT:

78.

Lieu. Mourieras France

Date: 10 septembre 1954

Heure: 2030

Alors qu'il retournait chez luin, Antonie Mazaud a rencontré une personne de stature normale, portant un casque sans oreillettes, qui a serré ses ses mains en souriant, tout en prononçant des mots inintelligibles. L'homme a alors grimpé dans son engin en forme de cigare de 15 ou 20 pieds de long, et a décollé verticalement, avec un bruit comme le bourdonnement d'une abeille.

Humcat 1954-47

Source: Aime Michel

Type: B



[Ref. 1601] RICHARD HALL:

TABLE 1. OBSERVATIONS D'OCCUPANTS D'OVNIS, 1954-1963

[...]

10 septembre 1954 Antoine Mazaud, Mourieras, France 20:50.

Un être de taille moyenne, couvre-chef du type "casque"; engin en forme de cigare; l'être a confronté le témoin, allongé le bras, l'a touché.

[...]

NOTES:
Aimé Michel indique qu'un hélicoptère peut être exclu comme explication pour l'objet volant.

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