- LorelineAdministratrice
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Ovni: les observations des pilotes d'avion
Ovni les observations des pilotes
Depuis 1947, plus de 3500 pilotes civiles et militaires ont bravé la peur du ridicule et mis leurs carrières en péril en rapportant leurs observations d'OVNIs publiquement. Sachant que seuls 10 % des témoins tout-venant contactent les autorités, on peut raisonnablement supposer que ce pourcentage est encore inférieur s'agissant des pilotes.
Contrôleurs Radar et Pilotes
Introduction
Cette partie de témoignages traite spécifiquement de rencontres avec des pilotes, des cas radars et de cas similaires. On devrait souligner que pendant des décennies, les gens qui étaient sceptiques par rapport au sujet OVNI ont déclaré que si ces objets étaient réels, ils auraient été suivis sur radar. Nous n'avons pas moins de 20 témoins de l'Air Force, des Marines, de la Navy, de l'Army et des autorités civiles des Etats-Unis et de l'étranger et qui sont des contrôleurs aériens qualifiés et des pilotes qui ont vu et suivis ces objets sur radar. Notez s'il vous plaît que ces personnes soulignent bien que ces objets n'étaient pas des ballons météos; ce n'était pas des inversions; ce n'était pas des gaz des marais. C'était des engins structurés volant souvent à des milliers de kilomètres/heure, s'arrêtant soudainement, volant d'une manière non linéaire. Ces objets ont été suivis (au radar, Ndt), parcourant d'un point à l'autre des centaines de kilomètres ou plus durant le temps d'un balayage radar. Ce sont des objets solides. Ils sont métalliques et ils donnent des retours radar forts et non ambigus.
Ce n'est pas une situation où nous avons juste un ou deux témoins, et vous devez considérer cela très sérieusement lorsque vous évaluez l'évidence des faits: avoir plus d'une douzaine de ces témoins sur bande magnétique témoignant que ces objets ont été suivis sur radar, et certaines fois par une douzaine de radars les suivant en même temps, signifie que nous traitons d'engins actuels, réels, physiques et technologiques, pas de quelque-chose d'imaginaire, pas de quelque-chose qui soit une hallucination de masse et pas de quelque-chose qui puisse être décrit comme une sorte d'anomalie. Comme l'a souligné le Colonel de l'Air Force Charles Brown, le projet Grudge ("rancoeur", Ndt) de l'Air Force, depuis 1950 déjà, comportait des confirmations radar de ces objets par des radars au sol, des observateurs au sol, des radars aéroportés et des observateurs en vol, et,"rien de mieux que ça." Beaucoup de ces témoins ont aussi observé ces objets retournant plusieurs nuits de suite sur des zones similaires et ont vérifié leur équipement rigoureusement pour être sûr que ce n'était pas des défauts techniques dans le logiciel ou le matériel.
Ces faits sont bien-sûr explosifs. Le témoignage de ces témoins balaye l'argument que ces objets n'existent pas parce-que nous avons, en plus de leur déposition, les relevés radars; nous avons de la documentation sur ces événements; et nous avons des personnes qui ont participé à de tels événements allant des années 1940 jusqu'au années 1990.Le vendredi 28 janvier 1994 les 24 passagers de l'Airbus A320-111 piloté par le commandant Jean-Charles Duboc s'envolent de de Nice en destination de Londres. Jean-Charles Duboc (P), commandant de bord du vol Air France AF 3532, assurant la liaison Nice-Londres le 28 janvier 1994, est assisté de Valérie Chauffour, copilote (CP). A 13 h 14, alors qu'ils sont en vol de croisière à l'altitude de 1 1 900 m, aux environs de Coulommiers en Seine-et-Marne, par d'excellentes conditions météorologiques, le chef steward, alors présent dans le poste de pilotage, signale un phénomène lui paraissant être un ballon météorologique. Son observation est aussitôt confirmée par le copilote. P, qui le voit à son tour, pense tout d'abord qu'il s'agit d'un avion en virage à 45' d'inclinaison. Très rapidement cependant, tous les trois s'accordent pour constater que ce qu'ils voient ne ressemble à rien de ce qu'ils connaissent.
Excellente visibilité et la présence d'altocumulus permettent à P d'estimer que le phénomène est à l'altitude de 10 500 m et à une distance d'environ 50 km. Compte tenu de son diamètre apparent, ils en déduisent que l'engin est de grande taille. Ils sont frappés par les changements de forme de l'engin qui leur apparait tout d'abord sous l'aspect d'une cloche de couleur brune, avant de se transformer en lentille de couleur brun-marron, puis de disparaître sur la gauche de l'appareil d'une façon quasi instantanée, comme s'il était devenu subitement invisible. P rend compte au centre de contrôle de la navigation aérienne de Reims qui n'a aucune information sur une quelconque présence de mobile aérien dans le voisinage. Cependant, en application de la procédure existante, Reims informe le Centre d'opérations de la défense aérienne (CODA) de Taverny de l'observation faite par l'équipage et demande à P d'appliquer dès l'atterrissage la procédure "Airmiss". Le CODA a effectivement enregistré au même moment une piste radar initiée par le centre de contrôle de Cinq-Mars-la-Pile correspondant en lieu et en heure au phénomène observé.
Cette piste radar, qui a été enregistrée pendant 50 secondes, croise bien la trajectoire du vol AF 3532 et ne correspond à aucun plan de vol déposé. Il faut noter que le phénomène disparaît au même instant à la vue de l'équipage et des scopes radar. Les investigations menées par le CODA permettent à la fois d'exclure l'hypothèse du ballon météorologique et de connaître la distance précise de croisement des deux trajectoires et par conséquence de ramener à 250 m de long la taille approximative de l'engin. Il est à noter que le Centre régional de la navigation aérienne (CRNA) Nord, qui traite 3 000 mouvements par jour, n'a instruit que trois cas, dont celui du vol AF 3532, dans les sept dernières années.
Enquêtes
Jean-Jacques Vélasco, qui n'a pas entendu parler de l'affaire, se rend un jour au CCOA au sujet d'une autre affaire. Le capitaine chargé de cette dernière lui communique le dossier en question et lui demande : Est-ce que vous êtes au courant de l'affaire du 28 janvier 1994? Vélasco n'a pas été informé de cette affaire. Il la classe d'abord comme PAN C : pas assez d'informations.
Jean-Pierre Biot, journaliste et ancien pilote de l'armée de l'air, demande et obtient plus d'informations. Le 13 février, il parle de l'affaire dans Paris-Match. A l'occasion, Duboc apprend que le CCOA a enregistré au même moment une piste radar initiée par le centre de contrôle de Cinq-Mars-la-Pile correspondant au lieu et à l'heure au phénomène observé. Selon l'article, la piste radar croiserait bien la trajectoire du vol AF 3532 et ne correspondrait à aucun plan de vol déposé :
C'est un article paru 3 ans après cet incident, le 13 février 1997, dans la revue Paris-Match, qui m'obligera à sortir de mon mutisme et à rédiger un rapport, 8 jours plus tard, à l'intention de ma hiérarchie et des autorités du SEPRA au CNES de Toulouse, pour corriger quelques erreurs et apporter des précisions sur cette rencontre. Cet article m'a aussi appris que cet immense objet dans le ciel parisien a laissé une signature radar enregistrée par les installations militaires de Taverny.
Duboc s'estime relevé de son devoir de réserve et écrit à Vélasco, le 27 février.
Pour accéder au dossier complet sur ce cas cliquer ici svp.
Jack Krine (colonel) (1944)
Krine naît à Comé en 1944. A partir de 1961, il est pilote de chasse dans l’Armée de l’Air française puis chef-moniteur, officier de sécurité des vols, instructeur combat aérien Mirage III. Il participe à l’évaluation en combat aérien du Mirage III et du Mirage F1 au Centre d’Expérimentation Aérienne de Mont-de-Marsan.
Observation (1975)
Le 23 Septembre 1975 à 23 h, lors d'une mission d'entraînement nocturne dans la région de Cambrai, Krine fait une observation :
J'étais à l'époque capitaine, chef de patrouille instructeur confirmé à l'escadron de chasse "Seine". Vers 22 h 30, nous décollons de Creil à 2 chasseurs pour une mission d'entraînement-rassemblement radar appelée "Plastron Mimosa". Un exercice relativement délicat, simulant l'interception de nuit d'un avion sans identification. Je vole sur un Dassault Mirage 3-C et monte à 12000 m d'altitude vers le secteur nord, dans une zone de travail comprenant Cambrai, Reims et la Belgique. La nuit est très noire mais avec une voûte étoilée extraordinaire. J'arrive à une vitesse subsonique à 28 km à l'arrière de l'autre Mirage, quand soudain, je vois passer entre lui et moi un truc très lumineux ! Ca pourrait être un autocar ou le fuselage d'un avion de ligne d'une quinzaine de m de long, de forme allongée avec de gros hublots bien éclairés de l'intérieur. Je demande à mon ailier : "Tu vois quelque chose ?" Il me répond non. Je signale au contrôleur radar : "Vous avez quelque chose entre nous ?" "Non, négatif, on n'a rien..." Au moment où j'approche de la chose, elle file et disparaît instantanément. Nous nous éloignons sur 9 km pour un autre virage relatif. Et pouf ! Ca réapparaît... J'ai alors annoncé au pilote de l'autre Mirage : "Tu as un truc dans tes 2 h ! Tu le vois ?" L'autre capitaine répond : "Ouais... Je le vois... C'est drôle, c'est curieux ! On va dessus..." Et hop, ça disparaît encore... On a fait ainsi 4 présentations, et pratiquement à chaque fois, ce truc se trimbale entre nous et dégage. Après 30 mn de vol, nous sommes rentrés en patrouille serrée à Creil sans rien dire. En tous cas, ça ne ressemblait à rien de ce que je pouvais identifier.
A partir de 1976 il intégré à la Patrouille de France comme leader Solo. Colonel de réserve, il est officier supérieur adjoint au colonel commandant le Sirpa Air. Il a plus de 400 meetings aériens à son actif. Lors du meeting aérien international de Cholet, Krine est le directeur adjoint des vols, il seconde le directeur des vols. Parrain de l’Aérienne du Choletais depuis sa création, Krine totalise plus de 15000 heures de vol. Il est Officier de l'Ordre National du Mérite, et a réçu la Médaille de l'aéronautique sur 42 types d'avions. En 1978, il quitte l’Armée de l’Air pour devenir pilote de ligne à Air France, et accéde ensuite au grade de commandant de bord et instructeur sur Airbus A 320. Colonel de réserve, il est officier supérieur adjoint au colonel commandant le Sirpa Air.En 1952, alors qu'il élève-pilote de chasse au Cadet Club de l'USAF en Caroline du Nord, Greslé entend à la radio annoncer que les émissions sont arrêtées dans tout le territoire des USA car des échos non identifiés viennent d'être détectés au-dessus de la Maison Blanche et du Pentagone. La radio demande de ne pas quitter l'écoute, mais au bout d'une demi-heure, on parle d'événement incertain. A la même époque, Un instructeur et son élève révèlent à Greslé leur expérience de croisement d'un engin "bizarre" en vol de nuit. En Septembre 1955, à Cap Saint Jacques (Vietnam) avec un ami pilote de chasse également, il aperçoit une énorme boule jaune ressemblant à un météore, qui descend à 45° vers l'horizon puis semble rebrousser chemin en laissant derrière elle une traînée lumineuse d'un vert intense. Il travaille dans la prospection aérienne, ainsi que pour le Commissariat à l'Energie Atomique.
En 1968 au Brésil, aux commandes d'un Boeing 707, entre Rio de Janeiro et Florianopolis, à 10800 m d'altitude, il remarque sur l'écran de son radar un écho en forme de goutte d'eau. Il pourra mesurer la vitesse de l'engin (près de 5300 km/h) mais n'aura jamais de contact visuel car il volait dans une couche nuageuse située sous le Boeing.
Comme pilote à Air France, il a à l'occasion de lire le rapport Condon à l'époque sa parution à New York. La lecture est ardue, mais les annexes le convainquent que l'Armée de l'Air et le projet Blue Book ne sont pas sincères. Il est encouragé dans cette conviction par d'autres documents, tels les AFR-200-2 ou le JANAP-146, ou montrant l'intérêt pour le sujet par l'Armée américaine et les services de renseignement, en contradiction avec l'image qu'il perçoit dans la presse ou le public. Ayant accès à 1600 pages dactylographiées venant du FBI, il indique à qui veut le savoir comment se les procurer.
Le 27 juillet 1984 à 23 h 50, alors qu'il pilote le Boeing 747-Combi du vol Air France AF 6842 relie Los Angeles à Montréal : La nuit est parfaitement claire et la visibilité excellente tandis que nous passons au nord de la ville de Detroit. La fin du vol en croisière à 11500 m d'altitude approche. Dans la glace latérale droite, derrière la tête du copilote, j'aperçois une épaisse traînée lumineuse qui dépasse l'avion à grande vitesse. Elle est attachée à un groupe serré de 3 sphères d'apparence métallique et la trajectoire suivie par ce phénomène est rigoureusement parallèle à notre route. Son altitude est légèrement au-dessus de l'horizon. Un chronométrage précis permet de voir que les objets nous doublent en 15 s.
En tendant ma main à bout de bras, tout en alertant mon équipage, j'obtiens des mesures angulaires précises du phénomène. Au moment où je vais demander des explications au contrôleur de la navigation aérienne sur ce "trafic" non annoncé, c'est lui qui appelle pour me demander de décrire ce qui vient de nous dépasser. 2 autres vols commerciaux, un Olympic Airways et un Lufthansa, interviennent sur la même fréquence pour confirmer cette observation. Je demande alors à la tour de contrôle si ses radars visualisaient ce curieux engin et lui annonce que j'envisage de déposer un "airmiss", une procédure prévue en cas de risque de collision grave. Très gêné, le contrôleur confirme que l'avion d'Air France était bien le plus proche du phénomène mais que celui-ci n'avait jamais été à moins des 9 km réglementaires pour justifier une telle procédure. Cette distance minimum de passage de l'objet me permet d'évaluer ses dimensions et sa vitesse. Les calculs montrent que le phénomène se déplaçait à une vitesse supérieure à 3400 km/h. Le groupe d'engins qui précédait la traînée lumineuse pouvait avoir un diamètre de 100 m environ tandis que la traînée, très dense, opaque et lumineuse sur toute sa longueur, s'allongeait sur environ 2 km... Il a été estimé que les 3 objets sphériques étaient à 10 km du Boeing 747, volaient à 3300 km/h (contre 900 km/h pour l'avion) et avaient un diamètre de 40 à 50 m environ.
Le soir du 5 Novembre 1990 à Gretz-Armainvilliers (Seine-et-Marne), en sortant d'un cours il aperçoit avec des amis une structure rectangulaire se déplaçant vers l'est et balisée de nombreuses lampes rouges. Elle a la forme d'une flèche de grue avec, à l'avant, deux phares projetant une lumière blanche. La longueur apparente de l'objet est estimée à 400 m et son épaisseur à 80 m environ, soit des dimensions un peu plus grandes que celles de la Tour Eiffel. La vitesse de l'objet est assez faible (entre 150 et 300 km/h) mais le plus impressionnant est le silence avec lequel il se déplace.
Après 39 ans d'aviation et 17500 h de vol, Greslé prend sa retraite et écrit divers livres témoignant de ses enquêtes et expériences personnelles sujet des ovnis. Il continue de s'interroger, non pas sur la matérialité d'un phénomène — qu'il considère comme amplement prouvée — mais sur son origine. Il déclare : Pour moi, prises dans leur ensemble, mes observations se rapportent peut-être à des technologies humaines gardées secrètes par les états-majors militaires ou alors à des phénomènes relevant d'une science que l'humanité ne possède pas encore.
En 1995, il fait partie avec Alain Boudier des experts auditionnés pour l'élaboration du rapport sur les ovnis issu de la DRM. Cette année-là Bernard Thouanel, qui prévoit un 1er numéro VSD HS consacré au sujet mais ne connait pas grand monde dans le milieu ufologique français, contacte notamment Greslé, qui a collaboré à l'hebdomadaire lors de l'affaire de l'"autopsie de Roswell". Greslé, avec Boudier, devient conseiller du magazine, propose des thèmes pour ce 1er numéro consacré à l'ufologie, tels les "anomalies lunaires" ou le "visage de Mars" mais qui ne convainquent pas la rédaction. Le sérieux officiel et scientifique que le magazine recherche sera trouvé en 1998 à l'occasion de la préparation d'un nouveau numéro, et d'un déjeuner-débat dans le restaurant parisien Fouquet's, en Février, où Greslé et Boudier sont invités comme consultants aux côtés de personnalités intéressées par le phénomène ovnis, tels Jean-Jacques Vélasco, François Louange, Jean-Claude Ribes, Bernard Norlain, ou André Lebeau.
Auteur de :
[Greslé 1993] Objets volants non identifiés : un pilote de ligne parle (Guy Trédaniel 1993)
[Greslé 1994] Hypothèse Extra-Terrestre (Guy Trédaniel, 1994)
Les documents interdits - Ce que savent les états-major (Dervy 2004, ISBN 2844542743)
- HocineEquipe du forum
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Re: Ovni: les observations des pilotes d'avion
..On devrait souligner que pendant des décennies, les gens qui étaient sceptiques par rapport au sujet OVNI ont déclaré que si ces objets étaient réels, ils auraient été suivis sur radar...
Je crois, que se sont les seuls engins volants ovnis, qui peuvent êtres visibles captés par l’écran radar, et disparaitre instantanément sur place de l’écran radar, je crois, que ces ovnis savent se jouer d’un radar, lorsque ils sont accrochés par lui , ils disparaissent de son écran, d’où l’incapacité de la chasse aérienne sans radar, de localiser dans le ciel l’objectif ovni.
Je crois, que le « dossier » d’interception des ovnis par la chasse aérienne, est clos depuis très longtemps , je pense , que la chasse à ces ovnis , ça doit être peine perdu , l’affaire de la vague belge ,seul deux avions F16 ont pris l’air face à ces ovnis dans le ciel, surement pour faire acte de « présence » dans le ciel , on allant vers ces ovnis ,surement consigne leur été donnée à ces deux pilotes des F16 ,de ne pas chercher d’aller au contact (confrontation) avec ces ovnis ,ça ne servira à rien .
..Ce sont des objets solides. Ils sont métalliques et ils donnent des retours radar forts et non ambigus…
Je ne pense pas, qu’ils sont solides ou métallique, cela est valable pour les avions et autres appareils terrestre volant, mais pour les ovnis, après des proches observations de vol au ralenti de ces ovnis dans le ciel, ça n’a rien avoir avec du solide, ou de métallique, se sont des engins, d’une « masse » semblable à un gros avion de ligne, une démonstration de vol, qui n’a rien avoir avec engin volant de structure métallique (avion) , qui ne pourra disparaitre instantanément sur place .
- snotgobblerEquipe du forum
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Re: Ovni: les observations des pilotes d'avion
Les radars aussi ont faits des progrès, finis les antennes tournantes. Les plus récents sont avec panneaux fixes tel que celui du USS Princeton CG59.

Son radar (plaques hexagonales sur la photo) a suivi pendant une semaine des apparitions de la limite haute de détection (de mémoire 85000 pieds) jusqu'au niveau de la mer. C'était en 2004 la fameuse affaire du "tic-tac" qui a donné lieu à des observations visuelles et une vidéo de l'ATFLIR caméra embarquée sur les chasseurs F18.
La SCU a publié une étude scientifique des vitesses et surtout accélérations de cet engin :
https://www.explorescu.org/publications
Le rapport :
https://drive.google.com/file/d/1WgURI1Fzrkij3utVvcPISGTyEUNX4Z0J/view
Google translate nécessaire si on ne maitrise pas l'anglais.
Plus que les vitesses, ce sont les accélérations qui dérangent: plusieurs centaines de G. Aucun humain ne supporte ça et reste en vie. A moins de modifier localement la gravité donc la courbure de l'espace, seule piste hypothétique et hors de portée technologique. Pour l'instant.
- HocineEquipe du forum
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Re: Ovni: les observations des pilotes d'avion
Oui ,il doit y avoir et même en service , de nouvelles technologies radars ,mais , il me semble pas, que cette technologie passera du jour au lendemain à un niveau , par exemple , de suivre ces ovnis partout dans l’espace aérien terrestre , à la trace radar , un accrochage sans coupure de contact radar avec ses ovnis , et s’ils sont suivis partout ,ils ne peuvent disparaitre de l’écran radar ,mais je crois , que ces ovnis ne resteront pas impuissants , face à de toutes nouvelles technologies militaires , pourquoi ,j’ai avancé cela ?
Pacque c’est suite à des démonstrations dans le ciel de deux ovnis, l’un triangulaire et un autre d’une forme d’une toupie géante , dans un autre endroit dans le ciel.
Le premier ovni (triangulaire) , alors qui nous survolait très lentement ,et avant de quitter notre champ de vision ,il a disparu sur place et instantanément dans le ciel , l’autre (toupie géante), immobile un long moment sur place dans le ciel , au dessus du rivage de la mer , cet ovni avait fini de disparaitre instantanément , pour être signalé dans une autre région à 40 km de là .
J’ai compris, que ces engins ovnis, et l’intelligence qui les pilote, agissent directement sur la matière, même ils agissent à distance (neutraliser) sur les radars ou les avions et sur leurs ovnis , je crois, que nous sommes face à une forme de technologie « mentale extraterrestre », que nous ne pouvons pas maitriser.
- martinEquipe du forum
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Re: Ovni: les observations des pilotes d'avion
Le doute n'est plus permis, la planète terre est bien visitée par des objets qui, de par les performances ne viennent pas de notre technologie.
Maintenant la question este posée, qui son t-ils, d'ou viennent t-ils, d'une autre planète, d'une autre galaxie, d'un autre univers, d'un autre espace temps, le débat reste ouvert et le restera encore longtemps, a moins que dans un avenir proche une de ces civilisations entre en contact avec nous pour nous apporter la bonne parole ! et convaincre nôtre monde a la dérive de changer radicalement de comportement avant la mise sous tutelle de la belle planète terre avant la catastrophe annoncée.
