Re: Que fera l’humanité en cas de détection d’une civilisation extraterrestre ?

[Hector01Equipe du forum]

Bonjour.
Le cas de détection d'une vie extraterrestre arrivera sans doute trop tard par rapport à la problématique environnementale. C'est plutôt la question de l'avenir de la vie ici qui prendra le dessus, et pas pour dans 4 ou 5 milliards d'années.
Quant à l'impact philosophique, on a déjà d'excellents penseurs qui ont envisagé la pluralité des mondes.

[CosmosEquipe du forum]

Bonne journée à vous tous!


Oui; nous pouvons être inquiets suite à nos annonces de super-chaleurs
de notre époque.
Mais nous devrions consulter combien nous en avons déjà subi:

[CosmosEquipe du forum]

Bonne journée à vous tous!


Oui; nous pouvons être inquiets suite à nos annonces de super-chaleurs
de notre époque.
Mais nous devrions consulter combien nous en avons déjà subi:

[CosmosEquipe du forum]

Bonne journée à vous tous!


Oui; nous pouvons être inquiets suite à nos annonces de super-chaleurs
de notre époque.
Mais nous devrions consulter combien nous en avons déjà subi:

[CosmosEquipe du forum]

Ce message ne passe pas!
Pouvez-vous l'annuler?

Merci!

A+

[CosmosEquipe du forum]

Voilà le message:

Voilà ce que l’on pouvait lire dans un journal anglais, le Ampshire Advertiser from Southampton, le 17 juillet….1852 !
 » En 1132 en Alsace les sources se tarirent et les ruisseaux s’asséchèrent. Le Rhin pouvait être traversé à pied. En 1152 la chaleur était si intense que l’on pouvait faire cuire des œufs dans le sable. En 1160, à la bataille de Bela (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive. 
En 1276 et 1277, en France, la récolte d’avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur. En 1303 et 1304 la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied. En 1393 et 1394 un grand nombre d’animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur. 
En 1440 la chaleur fut excessive. En 1538, 1539, 1540 et 1541 les rivières européennes étaient littéralement asséchées. En 1556 il y eut une sécheresse généralisée dans toute l’Europe. En 1615 et 1616 la canicule s’abattit sur la France, l’Italie et les Pays-Bas. En 1646 il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs. En 1676 des canicules à nouveau. Les mêmes évènements se reproduisirent au XVIIIe siècle. En 1718 il n’y eut aucune pluie entre les mois d’avril et octobre . Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives. Le thermomètre enregistra 36 degrés Réaumur ( 45 degrés C) à Paris. Dans les jardins de la banlieue arrosés les arbres fruitiers fleurirent deux fois pendant la saison. 

En 1723 et 1724 les températures étaient extrêmes. En 1746 l’été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées.Pendant plusieurs mois il n’y eut aucune pluie. En 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788 les chaleurs d’été furent excessives. En 1811, l’année de la comète, l’été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes. En 1818 les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés C. En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre afficha des températures de 36 degrés C les 27, 28 et 29 juillet. En 1832, lors de l’insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés. En 1835 la Seine était presque à sec. En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l’année le thermomètre afficha 34 degrés ». 

Il s’agit bien d’un extrait de journal de 1852 et non pas de je ne sais quel site complotiste. 

Je vous mets en pièce jointe l’interview de l’historien Emmanuel Le Roy Ladurie, parue dans Libération lors de la canicule de 2003, (et rediffusé en août 2018) au sujet de celle de 1718 qui aurait fait 700 000 morts !Libération précise que son livre « Histoire du climat depuis l’an mil » (Flammarion 1967) reste la référence en la matière, ce qui est plutôt un bon point de la part de ce journal qui ne porte pas vraiment les climato-réalistes dans son cœur… Édité en 1967, à une époque où on ne parlait pas encore de réchauffement climatique, l’éminent auteur de ce livre ne peut pas être accusé de vouloir prendre le contre-pied de la tendance d’aujourd’hui.Vous pouvez le trouver sur internet pour 9 €. A ce prix-là, il ne faut pas se priver de s’instruire. 

Libération, serait donc devenu complice des climato-réalistes, ceux qui osent rappeler l’importance des cycles naturels sans accuser uniquement le CO2, gaz à effet de serre partiellement d’origine anthropique ? Ceux qui font remarquer qu’à une époque où il n’y avait pas encore le moindre soupçon de début de révolution industrielle (avec son CO2, gaz vital, que l’on nous présente pourtant comme un polluant), il y avait déjà eu de très nombreuses vagues de chaleurs extrêmes ainsi que des sècheresses catastrophiques, entrainant des centaines de milliers de morts… 

Je ne comprends plus rien au sujet de la relation CO2/températures qu’on nous assène pourtant comme étant un dogme indiscutable, et vous ? 

C’est vrai que nous vivons une très forte et inhabituelle canicule, mais à l’évidence il n’y a rien de nouveau sous le soleil ! 

PS : amusez-vous à taper « sècheresse 1718 » sur Google et vous en saurez beaucoup plus. A moins que vous ne vouliez rester sur la certitude que la canicule actuelle est un phénomène exceptionnel qui n’a encore jamais eu d’antécédents, car provoqué par l’activité humaine. 

[InvitéInvité]

Des complotistes, il y en a eu de tous temps...

Sinon il suffit d'avoir une vue d'ensemble des cycles du passé pour comprendre ce qui nous attends à l'avenir. Ce qui a véritablement changé, c'est l'accélération du processus en raison principalement de nos rejets dans l'atmosphère depuis le début de l'ère industrielle.

Nous avons étés trop loin sans pouvoir nous arrêter mais comme les ressources ont étés abondamment exploitées, elles se raréfient, et donc il faudra être contraint et forcé de trouver des solutions viables et changer complètement nos modes de comportements et déplacements. Mais comme vous le savez, ceci a un coût et certains (suivez mon regard), se frottent déjà les mains.

L'énergie libre ne sera toujours pas à l'ordre du jour même s'il existe quelques solutions à nos problèmes, ceci n'intéresse pas les puissants, donc les actions resteront marginales.

@+

[HocineEquipe du forum]

La découverte d’une vie extraterrestre à l’échelle d’un organisme microscopique dans une planète du système solaire ou hors du système, ne fera pas de choc pour notre humanité, à plus petit que nous, il n’aura pas les moyens de venir à nous inquiéter .

Mais si par contre, si les signes d’une découverte dans l’espace d’une civilisation très avancée que la notre, et si elle était  détecté par nos moyens terrestres, il me semblera par là, que si le degré d’une grande avance technologique de cette civilisation sera décelé, alors  cette civilisation  pourra avoir la possibilité de venir à nous, si elle est à « portée de vue » de la terre , elle pourra être un soucie pour la vie terrienne, si elle lui vient l’idée de venir en force sur la planète terre .

A mon avis, nous avons déjà  une présence inconnue sur terre, je suis convaincu de cette présence depuis très longtemps, nous ne savons pas son origine, ni une raison précise pour laquelle elle est là, mais il me semble, que cette présence n’a aucune intention de s’immiscer dans les affaires terriennes, ni une présence suffisante qui elle pourra nous lever une inquiétude, ou qui elle pourra  provoquée une réaction de la population à demander des comptes à leurs dirigeants sur cette présence (ovni) au dessus de leurs têtes .  

[LorelineAdministratrice]

Bonjour Hocine

Je viens de  lire un article de Nathalie Mayer sur Futura Science :

***********************************
"Si des civilisations extraterrestres avancées existent, elles pourraient avoir déposé des dispositifs de surveillance, cachés à proximité de notre Planète. C'est du moins la dernière idée développée par le physicien James Benford. Pour en avoir le cœur net, il propose d'aller explorer les quasi-satellites de la Terre récemment découverts.

Dans la culture Internet, on appelle lurker celui qui reste dans l'ombre, à observer ce qu'il se passe. Qui lit les discussions, mais n'y participe pas. Le terme vient de l'anglais to lurk qui signifie se tapir. Et c'est celui que le physicien américain James Benford attribue à des civilisations extraterrestres (E.T.) qu'il imagine juste là, à nous surveiller sans intervenir, depuis des millions d'années, voire plus.

Selon le chercheur, des sondes pourraient être cachées du côté d'un groupe d'astéroïdes coorbitaux et rocheux situé à proximité de notre Terre. On les connaît sous le nom de quasi-satellites. Car ils partagent une orbite similaire à celle de notre Planète sans pour autant tourner autour d'elle. Et si James Benford s'y intéresse tout particulièrement, c'est parce qu'il y voit un support sur lequel les E.T. pourraient trouver des ressources. De l'énergie solaire, notamment. Parce que les observations de Seti ne les ont jamais visés également.

Il faut imaginer les lurkers E.T. comme des sondes un peu semblables à celles que nous envoyons nous-mêmes pour explorer notre Système solaire. Sans doute technologiquement plus avancées cependant. Et s'ils se cachaient, non pas sur des planètes lointaines, mais sur notre propre terrain de jeu, les astronomes devraient pouvoir partir à leur recherche dans le domaine des micro-ondes ou du visible, à l'aide de radars."

Voir la suite ici :   ►ICI

***********************

Cela correspond très bien à toutes nos légendes

Edit :   l'article scientifique qui permet de comprendre les détail ►looking for lurkers

[ChoNouveau membre]

Réponses intéressantes.  
Je partage effectivement l'avis que si une civilisation extraterrestre intelligente serait découverte ou entrerait en contact, ce serait l'anarchie.  
Mais je ne suis pas du tout convaincu que cela arrivera de sitôt . Pourquoi ? Le bon sens. 

Les premières formes de vie extraterrestres seront de type microscopiques. 
Et une fois encore, je ne partage pas l'avis général qui est de dire qu'elle serait moins dangereuse pour nous. 
Au contraire, je pense que ce type de forme de vie est largement répandu et ce, au sein de notre système solaire (Lune,  Mars. Les plus proches en fait). Et qu'une contamination de la Terre par l'une d'elles pourrait se révéler catastrophique. 
Je m'explique,  beaucoup pense rencontrer le petit bonhomme vert dans l'imaginaire collectif mais c'est ridicule. La rationalité nous expose seulement à : rencontrer style bactéries ou si on a de la chance, des algues (Europe, par exemple). 

Question de nos mentalités,  je suis intimement convaincu que cela se passera mal et ce, pour deux raisons. D'abord,  l'être humain au plus profond de soi est un être agressif (il suffit de voir comment se comporte les bactéries,  elles se dévorent les unes et les autres). C'est une métaphore mais d'un point de vue philosophique, l'Homme a constamment livré bataille à travers les siècles.  Ensuite, seriez-vous prêt à prendre en main une araignée,  un scorpion, ... la bactérie de la peste yersina pestis, la tuberculose, le staphylocoque doré, ... ? Bref, si au stade de notre planète nous ne sommes pas encore capables de le faire par causes de peurs ou d'incompréhensions, je ne pense vraiment pas que si nous aurions la chance de trouver une bactérie (forme de vie) extraterrestre, nous l'embrasserions à bras ouvert. Que du contraire. 

De toute manière et pour appuyer mon propos, ce sujet de discussion ne nous est pas offert. Cela ce déciderait comme évoqué à travers vos réponses aux plus hauts niveaux : ONU, etc. Sommes-nous trop bêtes ou pas assez prêts ?