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Les sursauts radio rapides viennent-ils de civilisations E.T. ? Empty

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loupe Les sursauts radio rapides viennent-ils de civilisations E.T. ?

Lun 27 Mar 2017, 20:34
http://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/vie-extraterrestre-sursauts-radio-rapides-viennent-ils-civilisations-et-57794/?utm_content=buffer11186&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer


Les sursauts radio rapides viennent-ils de civilisations E.T. ?

Par Laurent Sacco, Futura
Publié le 14/03/2017

Les mystérieux sursauts radio rapides auraient-ils une origine extraterrestre ? Selon une nouvelle hypothèse, hautement spéculative, la réponse est oui. Il pourrait en effet s'agir de faisceaux d'ondes radio ayant temporairement croisé la Terre et qui étaient destinés à propulser des voiles photoniques géantes emportant des vaisseaux interstellaires, voire intergalactiques.
Avi Loeb est un brillant astrophysicien du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics. Il publie depuis des années des articles dans lesquels il explore des idées étonnantes (un peu comme Freeman Dyson a l'habitude de le faire). Ainsi, selon Loeb, le rayonnement fossile était assez chaud environ 15 millions d'années après le Big Bang pour que des organismes vivants puissent apparaître dans de l'eau liquide sur bien des exoplanètes, même très éloignées de leur étoile hôte. Le chercheur a également montré qu'une atmosphère polluée par des émissions de CFC pourrait être utilisée comme biosignature d'une civilisation E.T. ; il a aussi proposé de faire de l'Optical Seti en cherchant la pollution lumineuse nocturne d'une telle civilisation.
Dans un article mis en ligne sur arXiv en 2015, Loeb explorait la possibilité de détecter les émissions d'extraterrestres en train de propulser une voile photonique. Sans surprise, l'année suivante, on apprenait que l'astrophysicien avait été intégré à l'équipe de chercheurs à la tête du projet Breakthrough Starshot ; ce projet consiste justement à envoyer une sonde interstellaire propulsée par une voile photonique en direction du système triple d'Alpha Centauri, par exemple en direction de l'étoile Alpha Centauri C, plus connue sous le nom de Proxima du Centaure (on y a effectivement fait la découverte d'une exoplanète, Proxima b).
Une voile photonique alimentée par un fragment de sphère de Dyson ?
Avi Loeb vient maintenant de déposer un nouvel article sur arXiv dans lequel il propose de considérer les mystérieux sursauts radio rapides (Fast Radio Burst, ou FRB, en anglais) comme une technosignature de voile photonique E.T. Ce faisant, il relance un débat que l'on pensait clos depuis que la localisation d'au moins un FRB a été précisée (voir l'article ci-dessous paru le 6 janvier 2017 pour en savoir plus). En effet, depuis cette localisation, nous savons que les sursauts radio rapides sont situés en dehors de la Voie lactée. Leur détection sur Terre implique donc qu'ils soient associés à une formidable libération d'énergie, trop formidable pour être associée à des E.T., avait-on pensé alors. Mais pouvait-on vraiment en être sûr alors que l'on n'hésite pas à considérer sérieusement l'existence des sphères de Dyson ?
Avec son collègue Manasvi Lingam, Avi Loeb a calculé que l'énergie d'une étoile comparable à celle du Soleil et qui serait recueillie par une surface deux fois plus grande que celle de la Terre (type fragment de sphère de Dyson) serait bien de l'ordre de grandeur nécessaire à propulser une voile photonique. Cette dernière laisserait alors fuir, sous forme d'ondes radio, la quantité d'énergie associée aux FRB.
Mieux, selon les deux chercheurs, la bande de fréquence des FRB serait précisément celle permettant à la voile photonique impliquée d'entreprendre des voyages interstellaires, voire intergalactiques, emportant avec elle une masse de l'ordre du million de tonnes, c'est-à-dire environ 20 bateaux de croisière. On se prend bien évidemment à rêver au Starship Avalon du film Passengers, bien que celui-ci ne soit pas propulsé par une voile photonique.

* * * *


Non, les sursauts radio rapides ne viennent pas de civilisations E.T.

Article de Laurent Sacco publié le 06/01/2017

La piste d'une technosignature E.T. semble s'évanouir en ce qui concerne les investigations sur la nature des mystérieux sursauts radio rapides. En localisant l'une des 18 sources connues dans une lointaine galaxie naine, des radioastronomes viennent de rendre cette hypothèse très improbable.
Est-on sur le point de percer le mystère des sursauts radio rapides ? On peut se le demander suite à la publication par un groupe d'astronomes d'un article dans le célèbre journal Nature. Ils y annoncent avoir déterminé pour la première fois la localisation d'un sursaut radio rapide (Fast Radio Burst ou FRB en anglais) observé d'abord en 2012 dans la constellation du Cocher (Auriga en latin) avec le radiotélescope d'Arecibo. La particularité de FRB 121102, qui, comme son nom l'indique, a été détecté le 2 novembre 2012, c'est qu'il s'est produit à plusieurs reprises, ce qui a permis à une batterie d'instruments sur Terre de l'associer à une galaxie naine située à environ 3 milliards d'années-lumière de la Voie lactée. En 2015, les chercheurs pensaient déjà avoir localisé un FRB, celui appelé FRB 150418, mais sa nature de sursaut radio rapide a depuis été remise en question et aujourd'hui, ce sont les observations concernant FRB 121102 qui sont prises au sérieux.

En faisant de la synthèse d'ouverture par interférométrie, il est possible de combiner plusieurs radiotélescopes comme si on en avait un géant de plusieurs dizaines de kilomètres, et même mille fois plus. Ce dessin d'artiste représente ainsi les antennes du VLA, dont les observations à hautes résolutions ont permis de préciser la localisation d'un sursaut radio rapide. © Danielle Futselaar 

Rappelons que les FRB ont été repérés pour la première fois en 2007 grâce à de nouvelles analyses d'archives de données collectées par le radiotélescope de Parkes, en Australie. Ils sont aussi appelés « sursauts Lorimer », du nom de leur découvreur. Ils sont extrêmement brefs, quelques millièmes de seconde tout au plus. Mais on estime qu'ils proviennent d'évènements violents qui libèrent, peut-être pendant ce bref laps de temps et dans le domaine radio, autant d'énergie que le Soleil en un jour.
Les astronomes ont du mal à les faire entrer dans le cadre des explications astrophysiques conventionnelles, tout comme ce fut le cas naguère pour les fameux sursauts gamma. C'est pourquoi il est important de déterminer les lieux de leurs occurrences. Sont-ils localisés dans la Voie lactée ou s'agit-il d'objets proprement cosmologiques associés à des phénomènes extragalactiques ? Peut-on les associer à des astres et à d'autres évènements énergétiques dans d'autres longueurs d'ondes, par exemple dans le visible ou dans le domaine des rayons X et gamma ? Ces informations sont vitales pour faire le tri entre plusieurs hypothèses qui vont de la technosignature de civilisations E.T. à celle d'explosion d'étoiles de Planck.

Le télescope Gemini North a finalement permis de débusquer dans le visible la contrepartie du sursaut radio rapide FRB 121102. © Gemini Observatory, AURA, NSF, NRC 
Les FRB, des magnétars, des étoiles de Planck ou des AGN ?
En l'occurrence donc, FRB 121102, dont une première localisation approximative avait été obtenue en 2012 s'est manifesté à nouveau à neuf reprises au cours des 83 heures d'observations qui lui ont été consacrées pendant 6 mois avec du temps alloué aux radioastronomes pour le fameux Very Large Array (VLA) et ses 27 antennes au Nouveau-Mexique. C'est grâce à leur combinaison que la résolution des observations a pu augmenter et que le mystère de la localisation d'au moins un FRB a pu être en partie percé. En effet, par la même occasion, les chercheurs ont été en mesure de savoir où pointer exactement sur la voûte céleste, le télescope de 8 m Gemini North au sommet du Mauna Kea à Hawaï.
Une petite galaxie contenant tout au plus 1 % de la masse de notre Voie lactée est alors apparue et on a pu avoir accès à une mesure de décalage spectral, donc de distance. FRB 121102 est donc un objet extragalactique, ce qui au moins dans ce cas précis, ne s'accorde pas facilement avec l'hypothèse qu'il puisse s'agir d'une technosignature E.T. puisqu'on la supposait, pour être crédible, étant donnée l'énergie libérée, avec une source dans notre Galaxie.
En affinant l'étude de la galaxie contenant le FRB, les astronomes ont pu le localiser dans une région d'une centaine d'années-lumière de diamètre. La galaxie apparait aussi comme une source radio continue bien particulière, ce qui laisse en fait penser qu'elle possède un noyau actif (AGN) dont l'activité provient de la matière tombant sur un trou noir supermassif. FRB 121102 pourrait provenir d'un événement associé à ce noyau actif, ce que suggère le fait qu'il semble situé dans une région de 100 années-lumière de diamètre entourant le cœur de la galaxie naine. Or on sait que des trous noirs supermassifs peuvent générer des jets de matière qui deviennent des sources d'ondes radio.
Mais parmi les autres hypothèses avancées, il y a celle d'un magnétar qui reste toujours en lice. Les ondes radio pourraient là aussi provenir de l'instabilité de l'accrétion de matière par ce type d'étoile à neutrons possédant un champ magnétique particulièrement intense. Mais selon l'astrophysicien Jason Hessel, il faudrait faire intervenir un magnétar atypique, d'un genre encore jamais détecté parmi ceux que l'on connait dans la Voie lactée. Des observations dans le domaine des rayons X ou gamma pourront peut-être nous permettre d'y voir plus clair dans le futur.
Ce qui est certain, au moins dans le cas de FRB 121102, est que ce qui cause un sursaut radio rapide n'est pas détruit par le processus d'émission, ce qui ne s'accorde pas avec l'idée que ce pourrait être une supernova ou un sursaut gamma long et peut-être pas non plus avec une étoile de Planck.

* * * *


Des extraterrestres se cachent-ils derrière les sursauts radio rapides ?

Article de Laurent Sacco publié le 08/04/2015

Découverts au XXIe siècle, les sursauts radio rapides intriguent les astrophysiciens qui n'en comprennent pas encore la nature. Les spécialistes ont récemment envisagé qu'il s'agissait d'étoiles de Planck en explosion. Une hypothèse encore plus extraordinaire vient cependant d'être avancée pour expliquer une étrange caractéristique des signaux observés : il pourrait s'agir de technosignatures de civilisations E.T.
Un article déposé sur arXiv par une équipe d'astronomes à propos des sursauts radio rapides (FRB pour Fast Radio Bursts en anglais) a conduit à quelques spéculations qui pourraient aisément passer pour un poisson d'avril. Pourtant, il n'en est rien. Rappelons que ces sursauts se présentent sous forme de flashs d'ondes radio qui durent quelques millisecondes. Les astronomes en ont d'abord trouvé dans les archives des observations de plusieurs radiotélescopes avant d'en détecter un en direct en 2014 à l'aide du Parkes Telescope, en Australie.
La brièveté de ces signaux implique (pour des raisons liées à la vitesse de propagation d'un effet physique faisant varier la luminosité d'un objet) qu'ils sont émis à partir d'une région dont la taille est de quelques centaines de kilomètres tout au plus. On sait aussi que les parties à hautes fréquences et celles à basses fréquences d'une impulsion électromagnétique arrivent avec des décalages d'autant plus importants que l'impulsion a voyagé loin à travers l'univers en traversant des régions contenant de la matière. Ce phénomène, dénommé en anglais dispersion measure (DM), est bien connu avec les pulsars. La conclusion la plus simple et la plus vraisemblable déduite des caractéristiques des sursauts radio en se basant sur tous ces effets était qu'il s'agissait d'objets extragalactiques ne pouvant pas être des étoiles standard et qu'ils étaient capables d'émettre en quelques millisecondes autant d'énergie que le Soleil en une journée.
Des analyses des observations faites non seulement avec le radiotélescope de Parkes mais aussi avec le télescope en orbite Swift et le Nordic Optical Telescope de La Palma, aux Canaries, et qui concernaient un FRB semblaient confirmer qu'il s'agissait bien d'un événement extragalactique. Selon ces analyses, il serait même situé à plus de 5,5 milliards d'années-lumière. Il ne pouvait pas s'agir d'une supernova. Une hypothèse fascinante avait alors été avancée : celle des étoiles de Planck finissant leur vie en explosion sous forme de trou blanc.

Les sursauts radio rapides, des satellites militaires ?
Michael Hippke, Wilfried F. Domainko et John G. Learned viennent cependant de chambouler ces conclusions. D'après leurs analyses concernant les signaux des 10 FRB connus, les intervalles de temps entre les plus hautes et les plus basses fréquences des impulsions radio détectées sont tous des multiples entiers d'un même nombre : 187,5. De prime abord, cela impliquerait que les FRB sont espacés régulièrement sur des milliards d'années-lumière, ce qui paraît complètement invraisemblable. On pourrait penser qu'il s'agit d'un espacement fortuit. Cela n'est pas impossible lorsque l'on considère un échantillon avec un petit nombre de mesures. Lorsque l'on disposera de plusieurs dizaines voire plusieurs centaines de mesures pour des FRB différents, cet espacement pourrait fort bien disparaître. Cependant, si l'on estime la probabilité d'observer un tel espacement avec 10 FRB, il semble que celle-ci soit inférieure à 5 sur 10.000.
Les trois astronomes pensent donc que l'on est en fait en présence de sources radio dans la Voie lactée qui, pour une raison inconnue, émettent des paquets de hautes et de basses fréquences espacés dans le temps par des multiples d'un intervalle fixé. Il pourrait s'agir de signaux d'origine humaine, par exemple des satellites militaires. Bien évidemment, les trois chercheurs sont allés un cran plus loin. Les signaux pouvaient être aussi d'origine extraterrestre.
Le sérieux de l'hypothèse a fait que le célèbre Seth Shostak, le directeur du Center for Seti Research est monté au créneau et a fait une déclaration sur le site du Seti Institute.

Pendant les années 1970, des membres éclairés de la British Interplanetary Society (BIS) ont étudié le concept d'un vaisseau spatial capable d'atteindre 12 % de la vitesse de la lumière. Le projet Daedalus se basait sur l'utilisation d'explosions thermonucléaires à intervalles réguliers pour atteindre cette performance. Les sursauts radio rapides sont-ils la signature de vaisseaux interstellaires E.T. utilisant cette propulsion ? Ce n'est pour le moment qu'une pure spéculation. © Adrian Mann, Bisbos.com 
Des pulsars et des quasars pris pour des E.T.
L'exobiologiste reconnaît que les observations sont particulièrement intrigantes et ne possèdent pour le moment pas d'explication dans le cadre des phénomènes naturels connus et compris. Il incite cependant à la prudence rappelant qu'en 1967, lorsque le premier pulsar a été découvert, ses pulsations régulières avaient aussi été interprétées comme la technosignature d'une civilisation E.T. avancée. D'ailleurs, la source radio détectée avait alors été baptisée LGM pour Little Green Men, « petits hommes verts », en anglais. En 1965, des astronomes russes pensaient aussi avoir détecté une civilisation E.T. L'intensité de la source radio CTA 102 variait trop rapidement pour les modèles d'objets de l'astrophysique de l'époque. Nous savons maintenant qu'il s'agissait d'un effet de la physique des quasars.
Il faut donc garder la tête froide avant d'en conclure que des radiotélescopes ont détecté l'ouverture de trous de vers traversables par des E.T. dans la Voie lactée ou des explosions thermonucléaires associées à des vaisseaux spatiaux possédant une propulsion du type de celle envisagée pour le projet Daedalus...

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