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- ncc 1701-dEquipe du forum
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Re: Théorie du véhicule supraluminique
Jeu 31 Jan 2013, 12:07
je suis d'accord avec toi, mais certaines prouesses technique sont plus longue à développer que d'autres, en l’occurrence le moteur à distorsion me semble être le plus grand défi technologique de toute notre histoire et je maintiens qu'il faudra probablement plusieurs siècle pour développer un moteur de ce type, car cela nécessite des progrès considérable dans de nombreux domaines, énergie, matériaux, physique et cosmologie....il faut disposer également du budget qui sera considérable les recherches prendront des décennies (et sans doutes bien plus) et il faudra constamment alimenter les caisses des différents centre de recherches...lorsque tu sais que le simple développement d'un avion de chasse peut prendre 30 ans, que le programme peut être stopper ou mis en sommeil à cause d'une crise économique ou d'un manque de volonté politique...regarde ce qui se passe avec les différents programmes spatiaux, tous repoussés ou annulés !!
Lorsque tu vois que les moteurs thermiques de nos voitures sont énergivores et que leur rendement n’excède pas 25% et que cette technologie à plus de 100 ans y a encore du chemin...alors le moteur à distorsion
Lorsque tu vois que les moteurs thermiques de nos voitures sont énergivores et que leur rendement n’excède pas 25% et que cette technologie à plus de 100 ans y a encore du chemin...alors le moteur à distorsion
- AlphaetOmegaLégende du forum
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Re: Théorie du véhicule supraluminique
Lun 24 Juin 2013, 20:25
Apparemment sa avance plus vite que prévue ....
Un vaisseau dix fois plus rapide que la lumière ?
Au cœur du centre spatial Lyndon Johnson de Houston (Etats-Unis), des ingénieurs réfléchissent aux fusées de demain et comptent bien révolutionner le transport spatial avec un vaisseau capable de battre des records de vitesse, de battre même la championne universelle de ce titre : la lumière. Leur secret ? Surfer sur une vague spatiale…
Le pari peut vous sembler fou et les ingénieurs planchant sur le projet en sont bien conscients. Pourtant, si on veut un jour atteindre les exoplanètesPlanète qui orbite autour d'une autre étoile que le Soleil. potentiellement habitables que l’on découvre tous les ans, une révolution du transport spatial s’impose. Imaginez qu’il faut près de 75 000 ans avec nos moyens actuels pour atteindre Proxima du Centaure, l’étoileEnorme boule d'hydrogène et d'hélium en fusion. Sa température de surface peut atteindre 40 000 degrés. Le Soleil est notre étoile. la plus proche de nous et plus de 350 000 ans pour atteindre Gliese 581 g (ci-dessous vue d'artiste), l’exoplanète la plus prometteuse.
Or subsiste un problème, et de taille. En effet, au début du siècle, Albert Einstein a démontré qu’aucune particuleComposant de la matière inférieur à la taille d'un atome. Les neutrons, protons et électrons sont des particules. de matière ne pouvait atteindre et encore moins dépasser la vitesse de la lumière, qui est de 300 000 km par seconde, même avec une énergie infinie. C’est une des lois fondamentales de la physique.
Avec leur vaisseau, Eagleworks annonce qu’on pourrait atteindre Proxima du Centaure en à peine deux semaines et la planète Gliese 581 g en juste deux ans. Les implications de ces découvertes seraient énormes : nous pourrions enfin sortir du système solaire et visiter les planètes où vit peut-être une autre civilisation.
Alors comment les ingénieurs d’Eagleworks, pourtant des spécialistes de physique, vont-ils s’y prendre pour relever ce pari fou ?
Fonctionnement
« Nous voulons aller très vite, tout en respectant le 11ème commandement: Tu ne dois pas dépasser la vitesse de la lumière. » Voilà comment Harnold White, fondateur du laboratoire de recherche, résume l’enjeu de son projet.
Posons un principe extrêmement simple, aucun vaisseau ne se déplacera jamais plus vite que la lumière. Par contre, l’espace dans lequel celui-ci évolue peut se dilater ou se contracter à des allures extrêmement rapides, et ça les physiciens en sont sûrs. La meilleure preuve c’est que ça s’est déjà produit. Au moment du Big Bang, il y a 13,8 milliards d’années l’univers a multiplié son volume par cent en un centième de trillionième de trillonième de seconde, de quoi rendre ridicule la vitesse de la lumière…
L’idée des chercheurs se base sur ce principe : déformer l’espace localement de telle sorte que le vaisseau soit emmené avec lui, à la manière d’une vague entraînant un surfeur. Comment déclencher cette vague ? Pour bien comprendre, il faut revenir aux équations d’Einstein. En effet, il a démontré que l’espace et le temps dans lequel baigne toute la matière connue se déforme comme un drap sur lequel on poserait une boule de pétanque. L’espace malléable s’infléchit selon les « équations de la relativité générale » et ce sont ces mêmes équations qui permettraient au vaisseau de se déplacer.
Vous ne comprenez pas encore ? Ne vous inquiétez pas je vais préciser. En 1994, le physicien Miguel Alcubierre avait déjà imaginé ce mode de propulsion révolutionnaire. Le principe était simple : on gonfle (dilate) l’espace à l’arrière du vaisseau et on le contracte de la même ampleur à l’avant de façon à garder l’espace identique après le passage du vaisseau. Le vaisseau dilate l'espace à l'arrière, ce qui le pousse violemment vers l'avant. Et il contracte l'espace devant lui, ce qui diminue la distance à parcourir.
Pour ce nouveau mode de propulsion, il est donc indispensable de déformer l’espace. Mais comment faire ? Alcubierre a dressé le portrait de cette substance qui permettrait de modeler l’espace. Et résultat ? Cette matière ne ressemble à absolument rien de connu... En effet, la « matière exotique » comme l’appellent maintenant les physiciens, se repousserait au lieu de s’attirer comme la matière classique et engendrerait une forme d’antigravité. Rajoutons à cela qu’elle serait porteuse d’une énergie et d'une masse négative, ce qui est inconnu en physique…
Alors un pur délire ? Peut-être pas. Les physiciens connaissent en effet déjà cette substance qui pourrait expliquer la formidable inflation de l’univers au moment du Big Bang (voir plus haut). Le problème c’est qu’Alcubierre avait aussi calculé qu’il faudrait l’équivalent de la masse de Jupiter de cette matière exotique pour propulser un vaisseau spatial…
Les ingénieurs d’Eagleworks se sont penchés sur les travaux d’Alcubierre et sont revenus avec une bonne nouvelle. En incluant le vaisseau dans une bulle de distorsion de 10 mètres de diamètre et en disposant la matière exotique de façon bien précise, le vaisseau atteindrait 10 fois la vitesse de la lumière avec seulement 500 kilos de matière exotique.
Un prototype déjà en construction
White a déjà commencé à fabriquer son « vaisseau-bulle ». Pour le moment, il ne s’agit que d’un dispositif de quelques centimètres qui permet de vérifier la validité du concept. Si White n’a pour le moment pas de matière exotique sous la main, il peut en simuler les effets grâce à l’effet Casimir. L’assemblage très rapproché de petites plaques métalliques permet en effet de simuler une énergie négative. Il a mis en place une expérience pour vérifier que cette énergie négative permettrait bien de contracter l’espace-temps.
Le projet semble très prometteur, tellement prometteur que le gouvernement américain a suspendu temporairement l’accès aux pages internet du projet. Difficile d’en savoir plus donc même si les physiciens restent sceptiques et doutent qu’Eagleworks arrivera à un résultat rapidement. La déformation de l’espace produite par l’expérience sera très faible et difficile à mettre en évidence. Quant à fabriquer une grosse bulle de 10 mètres de diamètre, on en est encore loin !
H. White fait preuve, lui, d’un grand optimisme et rappelle que la première réaction nucléaire contrôlée ne pouvait même pas alimenter une ampoule tandis qu’aujourd’hui elle permet d’éclairer toute une ville.
http://www.univers-astronomie.fr/news/news-222-un-vaisseau-dix-fois-plus-rapide-que-la-lumiere.html
Un vaisseau dix fois plus rapide que la lumière ?
Au cœur du centre spatial Lyndon Johnson de Houston (Etats-Unis), des ingénieurs réfléchissent aux fusées de demain et comptent bien révolutionner le transport spatial avec un vaisseau capable de battre des records de vitesse, de battre même la championne universelle de ce titre : la lumière. Leur secret ? Surfer sur une vague spatiale…
Le pari peut vous sembler fou et les ingénieurs planchant sur le projet en sont bien conscients. Pourtant, si on veut un jour atteindre les exoplanètesPlanète qui orbite autour d'une autre étoile que le Soleil. potentiellement habitables que l’on découvre tous les ans, une révolution du transport spatial s’impose. Imaginez qu’il faut près de 75 000 ans avec nos moyens actuels pour atteindre Proxima du Centaure, l’étoileEnorme boule d'hydrogène et d'hélium en fusion. Sa température de surface peut atteindre 40 000 degrés. Le Soleil est notre étoile. la plus proche de nous et plus de 350 000 ans pour atteindre Gliese 581 g (ci-dessous vue d'artiste), l’exoplanète la plus prometteuse.
Or subsiste un problème, et de taille. En effet, au début du siècle, Albert Einstein a démontré qu’aucune particuleComposant de la matière inférieur à la taille d'un atome. Les neutrons, protons et électrons sont des particules. de matière ne pouvait atteindre et encore moins dépasser la vitesse de la lumière, qui est de 300 000 km par seconde, même avec une énergie infinie. C’est une des lois fondamentales de la physique.
Avec leur vaisseau, Eagleworks annonce qu’on pourrait atteindre Proxima du Centaure en à peine deux semaines et la planète Gliese 581 g en juste deux ans. Les implications de ces découvertes seraient énormes : nous pourrions enfin sortir du système solaire et visiter les planètes où vit peut-être une autre civilisation.
Alors comment les ingénieurs d’Eagleworks, pourtant des spécialistes de physique, vont-ils s’y prendre pour relever ce pari fou ?
Fonctionnement
« Nous voulons aller très vite, tout en respectant le 11ème commandement: Tu ne dois pas dépasser la vitesse de la lumière. » Voilà comment Harnold White, fondateur du laboratoire de recherche, résume l’enjeu de son projet.
Posons un principe extrêmement simple, aucun vaisseau ne se déplacera jamais plus vite que la lumière. Par contre, l’espace dans lequel celui-ci évolue peut se dilater ou se contracter à des allures extrêmement rapides, et ça les physiciens en sont sûrs. La meilleure preuve c’est que ça s’est déjà produit. Au moment du Big Bang, il y a 13,8 milliards d’années l’univers a multiplié son volume par cent en un centième de trillionième de trillonième de seconde, de quoi rendre ridicule la vitesse de la lumière…
L’idée des chercheurs se base sur ce principe : déformer l’espace localement de telle sorte que le vaisseau soit emmené avec lui, à la manière d’une vague entraînant un surfeur. Comment déclencher cette vague ? Pour bien comprendre, il faut revenir aux équations d’Einstein. En effet, il a démontré que l’espace et le temps dans lequel baigne toute la matière connue se déforme comme un drap sur lequel on poserait une boule de pétanque. L’espace malléable s’infléchit selon les « équations de la relativité générale » et ce sont ces mêmes équations qui permettraient au vaisseau de se déplacer.
Vous ne comprenez pas encore ? Ne vous inquiétez pas je vais préciser. En 1994, le physicien Miguel Alcubierre avait déjà imaginé ce mode de propulsion révolutionnaire. Le principe était simple : on gonfle (dilate) l’espace à l’arrière du vaisseau et on le contracte de la même ampleur à l’avant de façon à garder l’espace identique après le passage du vaisseau. Le vaisseau dilate l'espace à l'arrière, ce qui le pousse violemment vers l'avant. Et il contracte l'espace devant lui, ce qui diminue la distance à parcourir.
Pour ce nouveau mode de propulsion, il est donc indispensable de déformer l’espace. Mais comment faire ? Alcubierre a dressé le portrait de cette substance qui permettrait de modeler l’espace. Et résultat ? Cette matière ne ressemble à absolument rien de connu... En effet, la « matière exotique » comme l’appellent maintenant les physiciens, se repousserait au lieu de s’attirer comme la matière classique et engendrerait une forme d’antigravité. Rajoutons à cela qu’elle serait porteuse d’une énergie et d'une masse négative, ce qui est inconnu en physique…
Alors un pur délire ? Peut-être pas. Les physiciens connaissent en effet déjà cette substance qui pourrait expliquer la formidable inflation de l’univers au moment du Big Bang (voir plus haut). Le problème c’est qu’Alcubierre avait aussi calculé qu’il faudrait l’équivalent de la masse de Jupiter de cette matière exotique pour propulser un vaisseau spatial…
Les ingénieurs d’Eagleworks se sont penchés sur les travaux d’Alcubierre et sont revenus avec une bonne nouvelle. En incluant le vaisseau dans une bulle de distorsion de 10 mètres de diamètre et en disposant la matière exotique de façon bien précise, le vaisseau atteindrait 10 fois la vitesse de la lumière avec seulement 500 kilos de matière exotique.
Un prototype déjà en construction
White a déjà commencé à fabriquer son « vaisseau-bulle ». Pour le moment, il ne s’agit que d’un dispositif de quelques centimètres qui permet de vérifier la validité du concept. Si White n’a pour le moment pas de matière exotique sous la main, il peut en simuler les effets grâce à l’effet Casimir. L’assemblage très rapproché de petites plaques métalliques permet en effet de simuler une énergie négative. Il a mis en place une expérience pour vérifier que cette énergie négative permettrait bien de contracter l’espace-temps.
Le projet semble très prometteur, tellement prometteur que le gouvernement américain a suspendu temporairement l’accès aux pages internet du projet. Difficile d’en savoir plus donc même si les physiciens restent sceptiques et doutent qu’Eagleworks arrivera à un résultat rapidement. La déformation de l’espace produite par l’expérience sera très faible et difficile à mettre en évidence. Quant à fabriquer une grosse bulle de 10 mètres de diamètre, on en est encore loin !
H. White fait preuve, lui, d’un grand optimisme et rappelle que la première réaction nucléaire contrôlée ne pouvait même pas alimenter une ampoule tandis qu’aujourd’hui elle permet d’éclairer toute une ville.
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- Pierre.BAdministrateur
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Re: Théorie du véhicule supraluminique
Lun 24 Juin 2013, 21:52
Merci pour la news AlphaetOmega
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Ma chaîne Youtube vous accueille à bras ouverts pour vous raconter les histoires des cas ovnis les plus intéressants : https://www.youtube.com/channel/UC3YhOQW-UFNK4Dciyl9zndw
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Re: Théorie du véhicule supraluminique
Mar 25 Juin 2013, 17:30
Malheureusement, cela n'est pas linéaire.animfree a écrit:Ce n'est qu'une une question de temps!
Quand on regarde la vitesse à quelle vitesse les progrès scientifiques on évolué...c'est parfois assez impressionnant! Il y a trois cent ans le type qui ausait dire qu'on allait allez sur la lune était pendu! Photo :
C'est le premier supercalculateur IBM le RAMAC 305 lancé en1956. Il avait une mémoire de 5MB.
Et demain....
Le RAMAC était le premier ordinateur doté d'un disque dur, dont la capacité tournait autour de 4 Mo (il s'agissait de 5 Mmot de 6 bits + 1 de parité), mais une mémoire de 3 kmot je crois.
Ensuite, on a bénéficié d'une croissance technologique faramineuse avec les semiconducteurs et la loi de Moore qui permettait de doubler de puissance tous les 18 mois. La limite en est quasiment atteinte, et on ne peut graver des pistes de moins d'un atomes de large...
Depuis 15 ans, les progrès accomplis sur la parallélisation ont été considérables, et cela a masqué le déficit de gain en puissance brute.
L'étape suivante ne fera pas l'économie d'une évolution technologique majeure, mais laquelle ?
C'est un bon exemple du passage d'une technologie de base de zéro à son maximum. La leçon de cette histoire, c'est que les progrès ne sont pas illimités à l'intérieur même d'une technologie.
Très intéressant. J'y jette un œil ce w.-e. et fait un petit compte-rendu dimanche ou lundi.AlphaetOmega a écrit:Un vaisseau dix fois plus rapide que la lumière ?
[...]
- zeugmeLégende du forum
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Re: Théorie du véhicule supraluminique
Mar 06 Mai 2014, 17:44
AlphaetOmega a écrit:Posons un principe extrêmement simple, aucun vaisseau ne se déplacera jamais plus vite que la lumière. Par contre, l’espace dans lequel celui-ci évolue peut se dilater ou se contracter à des allures extrêmement rapides, et ça les physiciens en sont sûrs. La meilleure preuve c’est que ça s’est déjà produit. Au moment du Big Bang, il y a 13,8 milliards d’années l’univers a multiplié son volume par cent en un centième de trillionième de trillonième de seconde, de quoi rendre ridicule la vitesse de la lumière…
Il y a une autre voie : utiliser les dimensions dont la théorie des cordes semble indiquer l'existence.
Encore beaucoup de conditionnel sur de la physique fondamental pour envisager une application concrète.
Le respect de la vitesse de la lumière dans une de ces dimensions nous permetrait de voyager, en apparence seulement, plus vite que la lumière dans nos dimensions.
De là a y parvenir réellement, il y a un gouffre et peut-être même certaines impossibilités majeure comme par exemple qu'on démontre que la théorie des corde ne correspondent pas à la réalité :-)
Retenons aussi, comme piste, que la limite de la vitesse de la lumière est annoncée dans le vide.
En dehors, ce sont d'autres valeurs qui dépendant de la matière traversées.
En conséquence, pourquoi pas, théoriquement, des valeurs plus élevées ailleurs que dans le vide ?
Restera à remplir des tunnels de cette matière et à nous la faire traverser.
A nouveau plus d'obstacles que de solutions.
Cela dit, cela nous permets de rêver : pas impossible théoriquement ...
- InvitéInvité
Re: Théorie du véhicule supraluminique
Jeu 08 Mai 2014, 17:15
Pierre.B a écrit:Il a simplement été démontré que les neutrinos ne vont pas plus vite que la lumière , ce n'est pas la même chose que "rien ne va plus vite que la lumière" ... ou alors il faudrait préciser : "rien ne va plus vite que la lumière jusqu'à preuve du contraire".
Question bête : pourquoi la lumière se propage-t-elle à cette vitesse (299 792 458 m/s) qui semble être une constante ?
Bonne soirée.
...
- zeugmeLégende du forum
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Re: Théorie du véhicule supraluminique
Jeu 08 Mai 2014, 17:30
N'oublions pas d'ajouter "dans le vide". Cette vitesse n'est pas si constante que ça du coup car dans l'eau par exemple, c'est une autre vitesse.wacapou a écrit:Pierre.B a écrit:Il a simplement été démontré que les neutrinos ne vont pas plus vite que la lumière , ce n'est pas la même chose que "rien ne va plus vite que la lumière" ... ou alors il faudrait préciser : "rien ne va plus vite que la lumière jusqu'à preuve du contraire".
Question bête : pourquoi la lumière se propage-t-elle à cette vitesse (299 792 458 m/s) qui semble être une constante ?
Bonne soirée.
...
Cela dit, c'est une très bonne question, pourquoi ?
- InvitéInvité
Re: Théorie du véhicule supraluminique
Jeu 08 Mai 2014, 18:34
zeugme a écrit:N'oublions pas d'ajouter "dans le vide". Cette vitesse n'est pas si constante que ça du coup car dans l'eau par exemple, c'est une autre vitesse.
Par contre je sais pourquoi la vitesse de la lumière est différente dans un corps "transparent" autre que le vide.
Les photons sont absorbés par les électrons du matériau auxquels ils communiquent leurs énergies. Les électrons "gonflés" changent de niveaux puis regagnent celui d'origine en émettant des photons (leur manière de restituer l'énergie reçue).
Ces opérations de changements de niveaux introduisent des délais dans la transmission et la lumière semble avoir été ralentie. C'est comme cela que le diamant est aussi brillant.
Et dans le "vide" que pourrait-il se passer pour attribuer une vitesse aussi précise à la lumière ?
Bonne soirée.
...
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