Nuit du 22 au 23 avril 1990 BELGIQUE, Basècles (Hainaut)

[Benjamin.dResponsable du forum]

nuit du 22 au 23 avril 1990 BELGIQUE, Basècles (Hainaut)

Entre 23 h 45 et minuit un premier témoin de l'équipe de nuit des Engrais Bataille voit d'abord deux énormes phares arriver de la direction de Mons. Il réalise que ces phares se trouvent sur une plate-forme de forme trapézoïdale (largeur 100m, grande base 50m, petite base 30 m) couleur gris métallisé, volant à 45m de haut et à 30 à 40 km/h. et il court prévenir son collègue. La base de l'objet continue à défiler en recouvrant toute la surface de la cour. Des structures (six ou sept) en forme de plaques rectangulaires sembles arrimées à la plate-forme. Le grand côté de ces plaques fait 20m environ, le petit côté entre 10 et 15 m. Vers l'extrémité de la plate-forme apparaît une plaque circulaire occupant toute la largeur. Deux zones circulaires de lumière orangée la flanquent. L'objet s'éloigne lentement en direction de Tournai, sans bruit, sans remous dans l'air, rien. La structure ressemblait à un "porte-avion renversé". (note de vog: moins d'un an plus tard les usines Bataille étaient ravagées par un incendie) (Inforespace n° 79 p. 17 à 20, VOB 1 - SOBEPS 1991, p. 209, 210 et croquis pages du milieu; VOB 2 - SOBEPS 1994, p. 200, 201, 205) http://users.skynet.be/sky84985/chron25.html

La première évoquée ici eut pour cadre l'usine des Engrais "Bataille" à Basècles, près de la route de Mons à T oumai. Entre 23 h 45 et minuit, M. J. D., de l'équipe de nuit, vit tout d'abord deux phares très puissants de très grande dimension se diriger vers la cour de l'usine où il tra¬vaille. Ces lumières venaient de la direction de Mons, semblaient se di¬riger vers Tournai et passèrent ''8 droite" de la cheminée de l'usine, lé¬gèrement plus haut que le sommet de celle-ci (45 m de haut). Elles avançaient à une vitesse sans doute comprise entre 30 et 40 km/ho Au bout de quelques secondes, le témoin réalisa que les deux phares se trouvaient sur la face antérieure d'une large plate-forme qui progressi¬vement recouvrait toute la superficie de la cour de l'usine 1 Cette der¬nière est en forme de trapèze, d'environ 100 m de profondeur pour une grande base de 50 m et une petite base de 30 m. Les phares sem¬blaient être deux sources de lumière circulaires verticales d'un diamè¬tre de 3 à 4 m chacune. Ils étaient proches l'un de l'autre et orientés dans la direction du déplacement. Ils émettaient une intense lumière blanche, éclatante mais non éblouissante, qui paraissait venir d'un éclairage Intérieur. Juste en dessous de ces deux phares, le témoin aperçut deux grandes sources circulaires de lumière orangée, placées à l'horizontale (diamètre estimé à 1,50 m). Elles paraissaient délimiter le début de la face Inférieure d'une large plate-forme carrée ou rectangu¬laire. M. J. D. courut prévenir son collègue, M. H. K., et revint avec lui. La base de l'objet continuait à défiler tout en recouvrant la surface de la cour. La couleur du matériau constituant la masse était gris métallisé. Des structures en forme de plaques rectangulaires ayant une épaisseur reconnaissable par l'ombre portée sur la surface de base semblaient être arrimées à celle-ci (voir l'illustration dans le cahier hors texte). Il y avait six ou sept de ces plaques, orientées différemment; leur longueur fut estimée à 20 m pour 10 m de large. Vers l'extrémité de la base, une grande plaque circulaire occupait presque toute la largeur de l'objet dont la fin était marquée par deux autres feux orangés. Les témoins n'ont noté aucun bruit, aucun remous dans l'air. L'objet s'est dirigé vers Tournai et son passage a duré une centaine de secondes. Les dimensions de cette étonnante structure volante devaient être très grandes, probablement plusieurs centaines de mètres de long 1

Les faits observés à Pont-de-Loup ont précédé de quelques heures d'autres événements tout à fait étonnants qui se sont déroulés dans la nuit du 22 au 23 avril 1990, entre Ellezelles et Basècles. La soirée avait été particulièrement éprouvante à la SOBEPS ce dimanche-là. En pleine nuit (03 h 00), Lucien Clerebaut tentait encore de convaincre un interlocuteur téléphonique que le point lumineux aperçu dans le ciel n'était qu'une étoile et que, par conséquent, il n'y avait pas lieu d'appe¬ ler la gendarmerie... Une nuit comme les autres de cette vague belge? Pas vraiment. Sile teint livide de notre secrétaire général témoignait de nombreuses veilles depuis le mois de décembre 1989, les cas de cette nuit allaient s'avérer particulièrement remarquables: une succession quasi-ininterrompue de témoignages d'Anderlecht vers le Brabant wal¬ lon puis vers le Hainaut occidental pour aboutir au SHAPE à Maisières. La soirée débuta par un appel de la gendarmerie de Bruxelles: Mme P., d'Anderlecht, habitant au Parc Peterbosch, avait vu un curieux objet survolant l'immeuble où elle demeure. Cette dame d'un certain âge avait téléphoné successivement à la Météo, à la SABENA puis à la gendarmerie qui avait averti la SOBEPS. Vers 20 h 50, de son living si¬ tué au sixième étage, elle avait vu arriver un objet en direction de la fa¬ çade, à hauteur de sa fenêtre. Eberluée, elle distingua d'abord quatre lumières: deux blanches à droite et deux autres à gauche d'une petite lueur rouge. Vu de face, l'objet semblait constitué de deux disques su¬ perposés. Il s'approcha lentement, trop lentement pour un ''avion ordinaire". Au lieu de foncer sur l'immeuble comme le témoin le crut d'abord (impression due à un effet de perspective), l'objet le survola, offrant ainsi une vue de sa partie inférieure qui se découpait bien sur le ciel: il avait une forme triangulaire. Mme P. n'entendit qu'un léger bruit. L'OVNI se dirigeait vers l'ouest, légèrement vers le sud. Un autre té¬ moin, vers la même heure et aux abords de la Porte de Namur (Bruxelles), put observer le passage de trois sources lumineuses blanches disposées en triangle se déplaçant lentement et en silence sous la couche nuageuse (pourtant très basse ce soir-là). Le témoin a ressenti un puissant sentiment d'étrangeté à la vue de ce phénomène. Il a contacté la gendarmerie qui était déjà inondée d'appels concernant des observations similaires.