Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
- CarterJonesPilier du Forum
Age : 39
Nombre de messages : 40
Inscription : 23/04/2012
Localisation : Var
Emploi : agence web&print
Passions : Apprendre. Comprendre. Partager.
Règlement : Règlement
Points de Participation : 4637
Sergent-major Robert Dean mythomane ou témoin privilégié?
Mar 17 Juil 2012, 12:19
Sergent-major Robert Dean, de l'officier modèle au témoin privilégié
Dans les années 60, le sergent-major Robert Dean, aujourd'hui à la retraite, se voit confier un dossier de l'Otan classé « Cosmic Top Secret » dont le contenu va bouleverser sa vie : il s'agit de déterminer si les extraterrestres observés par l'armée constituent ou non une menace pour les forces américaines, alors en pleine guerre froide contre la Russie...
Dean n'a pas pris conscience de la réalité des extraterrestres en voyant lui-même des ovnis, mais en étant confronté à un dossier Top Secret commandité par l'Otan en 1961 et plus particulièrement par l'Air Marshall Sir Thomas Pike, officier 5 étoiles de la Royal Air Force. Ce militaire était à la tête des forces opérationnelles de l'Otan au début des années 60, en pleine guerre froide. Comme il le raconte lui-même lors d'entretiens pour le Project Camelot, cette révélation va bouleverser sa vie :
« À partir du moment où j'ai eu en ma possession des informations relatives à ce sujet, il y a eu comme une accoutumance, je suis devenu de plus en plus avide d'en savoir plus, je n'en savais jamais assez ! C'en est même devenu une réelle nuisance pour mes relations sociales, mes amis. C'est un miracle si j'ai pu prendre honorablement ma retraite sans terminer dans les baraquements disciplinaires de Fort Leavenworth (une prison militaire). C'est vraiment étrange d'avoir pu arriver à ce point de ma vie sans aller en prison. »... « On m'a confié des documents "Cosmic Top Secret", ce qui était et reste le niveau de confidentialité le plus élevé de l'Otan. Il s'agissait de ce fameux rapport d'étude militaire menée par l'Otan entre 1961 et 1964. Elle était menée par des spécialistes des pays membres et impliquait des scientifiques allemands, des Français, des Italiens et bien sûr des Américains. Ils s'étaient rendus dans certaines universités pour engager les éléments les plus compétents. Il y avait des historiens, des anthropologues, des géologues, des gens d'Oxford, de Cambridge, des scientifiques de plusieurs universités d'Europe. C'était une étude assez vaste. Les personnes qui y ont contribué n'ont pas signé nommément, mais ont apposé leurs initiales et leurs qualités. Je connais leurs noms, mais je ne vous en dirai pas plus parce que c'était classifié. Je faisais partie du "Shape" (Supreme Headquarters Allied Powers Europe) qui était en charge de prendre connaissance de cette étude et de la contresigner. Si l'on m'avait surpris un jour avec la moindre copie ou le moindre bout de papier extrait de cette étude, j'aurais terminé en prison (...) ».
Déjà là depuis des milliers d'années
À la question de connaître les circonstances de la découverte de ce rapport, Robert Dean répond :
« Cela s'est passé un jour comme les autres. Je m'ennuyais à mourir. Le café était imbuvable et on s'ennuyait tous. La routine. Les téléphones ne sonnaient pas, les télex étaient muets, comme d'habitude. Une vieille blague dit que 99 % de la vie militaire est ennuyeuse à mourir et que le reste n'est que désastre et terreur totale. Ce jour-là, en fait, un supérieur hiérarchique, colonel de l'Air Force, m'a montré un dossier et m'a dit : « Jette un coup d'oeil là-dessus, ça va te réveiller. C'est en rapport avec les ovnis et cette étude conclut que des extraterrestres viennent nous rendre visite et qu'ils sont là depuis très longtemps. Certains estiment qu'ils sont là depuis plusieurs milliers d'années, certains depuis mille ans, d'autres deux mille ans. Il y a des archives historiques, selon cette étude, qui montrent que les Romains étaient déjà avisés de leur existence... ». C'est comme ça que ça a commencé. C'était de la dynamite... L'étude concluait qu'en apparence, ces extraterrestres n'étaient pas une menace puisque leur présence remontait à plusieurs milliers d'années. Des archives, des peintures, des dessins, il y avait un matériel incroyable. C'était déjà choquant pour moi, mais ce n'était qu'une mise en bouche. Il y avait aussi les rapports d'autopsie, car il y avait eu plusieurs accidents et des corps avaient été récupérés... L'étude était épaisse comme un gros livre, mais en comptant les annexes, c'était encore plus épais. Et dans les annexes, il y avait tous les détails, notamment sur les autopsies ; le tout en quinze exemplaires. Le premier a été envoyé au secrétaire général de l'Otan, un autre aux USA, un en France, un en Angleterre et enfin les deux derniers ont abouti dans le bunker du "SHOC" (Supreme Headquarters Operations Center - le centre opérationnel du haut quartier général du Shape). Grâce à mon accréditation de niveau Cosmic, j'ai pu accéder à toutes les informations archivées dans ce lieu sécurisé. Comme j'étais assigné au SHOC, je pouvais les consulter quand je voulais. J'étais un officier et je disposais d'un bureau dans le centre des opérations où j'étais en charge de gérer et attribuer les missions pour tous les hommes en service actif Je m'occupais même d'assigner les missions pour les contrôleurs, les colonels, les capitaines de la "Navy". Nous étions au beau milieu de la guerre froide. J'étais arrivé en 1963 alors que l'étude avait été close en 1964. Les forces de l'Otan et celles du pacte de Varsovie étaient dans un face à face tout le long d'une Europe divisée, hérissée d'armes. La situation était explosive. Nous avions cinquante divisions surarmées. Les Soviétiques et le pacte de Varsovie en déployaient une bonne centaine. Nous étions au bord de la Troisième Guerre mondiale, vraiment à la limite. Les jeunes gens d'aujourd'hui ne peuvent imaginer ce que c'était ».
Le rôle de l'espionnage français
Après avoir pris connaissance de cette étude, Dean se garda de demander son avis à son supérieur hiérarchique, car à cette époque, la paranoïa régnait, à juste titre, et les Américains suspectaient le siège de l'Otan à Paris (avant que de Gaulle ne rompe les liens entre la France et le traité Atlantique Nord) d'être infiltré par des espions soviétiques. Robert Dean raconte :
« Nous avions des conversations limitées. Nous ne pouvions pas parler de documents classifiés en dehors du QG opérationnel parce qu'il y avait trop d'oreilles indiscrètes. Si vous voulez en savoir plus, lisez le livre de Leon Uris intitulé Topaz qui décrit bien tout cela. Il existait un réseau d'espions à Paris à cette époque. On a trouvé un jour un général français dans les bois avec une balle dans la tête. Pas mal de gens avaient tendance à passer par la fenêtre de leur appartement parisien. Cela a été un scandale énorme. De Gaulle était président. C'était un réseau soviétique dont le but visait ce que nous savions et qu'eux ignoraient bien entendu. De ce fait, ils ont recruté et acheté des agents dans toute l'Europe, des Hongrois, des Français, des Allemands. Aucune information ne nous parvenait de Washington ou de Londres sur le sujet des ovnis parce qu'il y avait ce réseau français d'espions. Tout ce qui venait de Washington, Londres vers Paris terminait sa course à Moscou... grâce aux Français, aux Hongrois et aux Allemands ».
Vaisseaux soviétiques ou extraterrestres ?
C'est donc dans le contexte de la guerre froide - Dean insiste beaucoup là-dessus - que l'étude avait été initiée pour déterminer s'il s'agissait bel et bien de vaisseaux extraterrestres et non d'armes secrètes soviétiques. Ceci afin d'éviter toute méprise, car à tout moment, un conflit nucléaire pouvait être déclenché. Robert. Dean explique :
« En février 1964, on observa un survol massif d'objets volants non identifiés qui semblaient venir de l'Est, des territoires du Pacte de Varsovie et qui se dirigeaient vers l'Ouest, vers les lignes des forces de l'Otan, au dessus de l'Allemagne et de la France. Ces engins - des disques circulaires - volaient à très haute altitude, en formation, à une vitesse phénoménale et étaient donc de toute évidence contrôlés par une intelligence. Je n'en ai pas été personnellement témoin. Les premiers survols ont eu lieu en 1961 et je n'étais pas encore en fonction. Cela a été filmé. Gordon Cooper, l'un de nos astronautes, en a parlé publiquement et il m'en a entretenu personnellement. Il a déclaré notamment : « En survolant l'Allemagne dans les années 50, nous avons vu tout le temps ce genre de choses. Nous nous demandions ce qui se cachait derrière ces objets parce qu'il était évident qu'ils étaient contrôlés par une intelligence. Ils pouvaient survoler nos lignes et ils venaient de l'Est, du secteur soviétique ». Comme je l'ai dit, ils survolaient l'Allemagne, la France, l'Angleterre. Ils faisaient demi-tour au nord, au-dessus de la côte sud de l'Angleterre et de là, disparaissaient des radars de la zone Otan au-dessus de la mer de Norvège. Au départ, le gouvernement, ou à tout le moins, l'Otan n'a pas su de quoi il s'agissait. Pendant un moment, nous avons même pensé qu'ils étaient soviétiques. Nous avons ensuite appris que les Russes pensaient que c'était les nôtres. Mais ils volaient à si haute altitude, si vite, en formation et parfois même "en masse" (en français dans le texte)... Lors du survol de 1961, il y en avait bien deux cents ! On ne pouvait plus les compter. Et ils ont même pensé que la Troisième Guerre mondiale commençait. Tout le monde était en état d'alerte. Nous n'avions pas les moyens de les abattre parce qu'ils volaient trop haut et trop vite. À cette époque, nous n'avions pas encore l'arsenal ou les appareils pour faire face à ce genre de choses. C'est donc à la suite de ces événements que l'étude a été engagée pour être clôturée en 1964. Voici ce qui a changé ma vie, comme j'aime le dire. L'étude était destinée à déterminer si ces objets constituaient une menace dans l'Europe des alliés. C'était une étude militaire, juste un début. Ils ont conclu qu'il ne s'agissait probablement pas d'une menace parce que cette technologie était tellement en avance sur nous et sur les Soviétiques que c'était inimaginable. Pour eux, cette technologie n'était pas de ce monde, il n'y avait aucun doute là-dessus. Si ces êtres avaient été hostiles, compte tenu de leur savoir-faire, ils nous auraient menacés d'une manière ou d'une autre depuis longtemps. L'un de nos généraux avait l'habitude de dire : « Ils auraient pu nous rayer de la carte dès le départ ». Tout simplement parce qu'ils ont montré de manière répétée qu'ils disposaient d'une technologie dont la possibilité ne nous a jamais effleuré l'esprit, même dans nos rêves les plus fous. Tout cela m'a littéralement ouvert la conscience. Je ne pouvais plus ignorer ou tourner le dos à tout cela. Au cours des années suivantes, j'ai continué à étudier, à en apprendre de plus en plus ».
Des extraterrestres, mon général !
On se plaît à imaginer comment un haut responsable de l'Otan a pu réagir à la lecture d'une étude très sérieuse confirmant que les centaines d'ovnis ayant survolé en masse le rideau de fer, la sacro-sainte frontière Est-Ouest, étaient bel et bien pilotés par des entités extraterrestres. Ainsi, Robert Dean raconte la réaction du général Robert Lee de l'US Air Force alors en poste au Shape :
« Lorsque le vieil homme a lu le rapport et toute l'histoire, cela l'a percuté de plein fouet comme si un camion ou une tonne de briques lui tombaient dessus. Le choc était très sérieux pour un haut gradé de l'Air Force, bardé de médailles pour sa conduite pendant la Seconde Guerre mondiale, qui avait été missionné dans tous les coins du monde (je crois qu'il avait même piloté des B29 dans le Pacifique). Il a balancé son chapeau à travers le bureau en criant : « Si c'est vrai, et tout semble indiquer que ça l'est, cela signifie que l'ensemble de ce dont nous disposons, tous nos soldats, nos forces aériennes, toutes nos bombes, nos avions, tout cela ne veut plus rien dire ! »
De plus, l'étude concluait qu'ils étaient ici depuis très longtemps, et qu'ils avaient apparemment un lien avec l'origine de notre espèce : un choc colossal pour les tenants des traditions, particulièrement pour les chrétiens et les musulmans. Ce qui était intéressant, c'était qu'aucune menace ne ressortait de tout cela, selon l'étude, car s'ils avaient été agressifs ou hostiles, ils l'auraient montré il y a bien longtemps ».
Abattez-les !
En dépit de ces conclusions rassurantes, l'ordre aurait été donné d'abattre ces appareils dès que possible ; avec comme probable arrière-pensée, la récupération et l'analyse des appareils... Dean déclare à ce sujet :
« Eisenhower n'a jamais donné cet ordre qui émanait en fait d'un général de l'Air Force. Je ne me souviens plus de l'année exacte, mais je crois que c'était au début des années 60. Mais cet ordre a été annulé dans les quatre-vingt-dix jours. Entre temps, nous avions perdu une trentaine d'appareils..: Car lorsqu'on leur tirait dessus, ils neutralisaient immédiatement tous les systèmes électriques de nos appareils. Alors que nous les attaquions avec des balles, des missiles et tout le reste, ils ne nous tiraient pas dessus, ils mettaient en œuvre une technologie incroyable qui neutralisait toute les fonctions électriques. Et lorsque vous neutralisez les commandes électriques d'un jet évoluant à 10.000 mètres à plus de 700 km/h, il tombe comme une pierre. Piloter un jet et tous les appareils de série du même genre, c'est comme faire voler une enclume. Ces avions sont totalement incapables de planer. Ils sont surarmés et pèsent des tonnes. Si vous supprimez toutes les commandes électriques, on ne peut même plus les diriger. Ces avions tombent alors comme des enclumes. La plupart des pilotes ont pu s'éjecter à temps. Nous avons donc perdu beaucoup d'avions, mais peu de pilotes, heureusement. Après quatre-vingt-dix jours donc, ils n'ont plus jamais ordonné ce genre de chose, ils avaient compris la leçon. On ne joue avec ces types. Mais je reviens sur l'étude. Celle-ci n'a jamais constaté d'hostilité ouverte. Ils n'ont pas abattu nos appareils ni tiré dessus. Ils ont répondu à nos tirs en grillant les circuits électriques. Après ces trois années d'étude, ils ont conclu qu'ils avaient affaire non pas à un seul groupe, mais à quatre groupes différents ».
Quatre espèces différentes
En s'appuyant sur l'étude de l'Otan, mais aussi en croisant les données recueillies auprès de ses amis militaires également exposés au fait extraterrestre (et avec qui il est encore en contact), Robert Dean considère qu'au moins quatre races interagissent plus directement avec nous :
« Les photographies des appareils accidentés, l'analyse des débris, des atterrissages ainsi que des contacts (car ils ont atterri pour entrer en contact) tout cela indique qu'ils sont humanoïdes et de quatre groupes différents. Les individus de l'un de ces groupes ont l'air tellement humain que vous pourriez vous asseoir à côté au restaurant ou au cinéma sans les distinguer. Ils passeraient complètement inaperçu. C'était bien ce qui ennuyait et inquiétait le plus les amiraux et les généraux : qu'ils aient même pu déambuler dans les couloirs du QG du Shape, du Pentagone ou de la Maison Blanche. Et je suspecte même qu'ils l'ont fait.
Lorsqu'ils sont arrivés à la conclusion que l'un de ces groupes était totalement humain, semblable à nous, ce fut un énorme choc pour eux. Voyez-vous, j'ai continué à chercher, à vouloir en savoir plus, à fouiller jusqu'à rendre mes amis dingues. Plus tard, après 1967, nous avons formé une sorte de groupe d'amis que nous appelions littéralement le "réseau des vieux copains" (The Old Boys Network) constitué de gens comme moi, anciens conscrits et anciens militaires de toutes les armes (Air Forces, Marine, Army, Navy) et de tous les grades, passionnés par ce sujet et ses implications. J'ai pu étudier ainsi d'autres rapports, établir des contacts notamment avec Phil Corso que j'ai bien connu. Nous avons participé aux mêmes conférences. Phil m'a raconté certaines choses dont il avait été témoin. Par le biais de ce réseau, j'ai rencontré une bonne douzaine de gars aussi excités et enthousiastes que moi.... Certains sont devenus des "témoins privilégiés", d'autres ont perdu leur boulot ou leur grade. Je refuse de les nommer. »
En effet, Dean considère que certains membres du "réseau des vieux copains" ont encore beaucoup à perdre, alors que lui, du fait de son grade, a plus de liberté pour "ouvrir sa grande gueule". Il a signé un accord de confidentialité qui pourrait, selon lui, permettre à l'armée de le condamner à dix ans de prison et 10.000 dollars d'amende, sans compter les dommages et intérêts qui sont toujours astronomiques aux États-Unis.
Ils ont pleuré comme des bébés
Dean avoue ressentir à la fois "une énorme colère" vis-à-vis de ce gouvernement qui empêche la vérité d'éclater, et un certain fatalisme :
« J'en suis presque arrivé à la conclusion que le gouvernement a sans doute raison et que la masse des gens n'est absolument pas prête à entendre la vérité. Comment voulez-vous leur dire que cette espèce est une race hybride, que nous avons été génétiquement créés par une intelligence extraterrestre ? Tout dépend de l'endroit où vous vous trouvez. Si vous êtes à Bagdad et que vous parlez à des Sunnites ou des Chiites, vous ne pourrez même pas aborder ce foutu sujet. Comment leur dire que les grandes religions de cette planète ont été initiées et orchestrées par des intelligences extraterrestres ? Comment expliquer à un chrétien fondamentaliste que le petit homme venu de Galilée il y a 2.000 ans [Ndr : le Christ] faisait partie de ce programme ? Dites-le après avoir vérifié qu'il y a des issues de secours et que vous pouvez vous échapper à toute vitesse. Comment leur dire que ce programme, que ces manipulations génétiques et que les enlèvements ont toujours cours ? Vous savez, on ne peut pas parler de tout cela normalement. Et pourtant, je vous l'assure, ce sont des faits allégués, vérifiés. J'ai parlé à des gens au plus haut niveau du gouvernement de l'ombre. Ce sont des faits. Mais j'ai rencontré des officiers de haut rang qui m'ont raconté avoir été contraints de changer de service des hommes solides, des hommes qui avaient été sous le feu, en zone de combat et qui se sont effondrés et qui se sont mis à pleurer comme des bébés parce qu'ils n'arrivaient pas à faire face à ces réalités. Ils se sont retrouvés face à face avec un extraterrestre et se sont écroulés en pleurs. Nous vivons en réalité dans un zoo, dans une des réserves les plus riches de la galaxie. Nous ne sommes que des animaux parmi d'autres dans un zoo. Je ne sais pas comment votre ego peut négocier avec cette réalité. »
Où sont passés les trillions de dollars ?
Robert Dean évoque les activités clandestines du Pentagone et du ministère de la Défense qui ne sont aucunement contrôlées par le Congrès et donc par le peuple américain. Selon Dean, le budget manquant du Pentagone avoisine les 2,7 trillions de dollars par an au cours des années 98, 99 et 2000. Et tout cela se passe dans le plus grand silence, la plus grande apathie, au nom de la sécurité nationale, certes, mais au bénéfice de gigantesques structures dans lesquelles s'entrecroisent inextricablement des intérêts politiques et financiers. Un peu comme si l'État et le ministère de la Défense étaient en réalité dirigés par des intérêts occultes et privés, par un groupe de personnages qui n'a de comptes à rendre à personne. Ces trillions sont donc siphonnés vers de mystérieux organismes privés à cheval sur le militaire, la recherche avancée et le secteur industriel de pointe. Nous sommes ici totalement en dehors du Pentagone :
« Cet argent est arrivé au Pentagone d'une manière ou d'une autre et a été dépensé, mais on ne sait pas par qui ni dans quel contexte. L'armée américaine ne dispose absolument pas de tels budgets et pourtant, ce sont bien des trillions de dollars qui sont siphonnés chaque année via le Pentagone et la défense sans que le Congrès dise quoi que ce soit... Ceux qui gèrent la question sont dans une organisation. Avant, il s'agissait du MJ 12, mais il ne porte plus ce nom. Maintenant, c'est PI 40. Je ne sais pas ce que cela signifie. Peut-être parce qu'il y a quarante membres. J'ai rencontré certains de leurs membres. Il y a vingt ans, le MJ 12 était divisé en deux sur la question de la révélation. Robert Wood (autre témoin privilégié, ingénieur en aéronautique) m'a dit qu'il y avait une bataille féroce et virulente au sein du MJ 12. Une moitié voulait rendre l'affaire publique et l'autre non. Et ce dernier groupe tient toujours les choses en main... ».
La conclusion de Marcia Schaffer
Laissons à Marcia Schaffer, compagne de Robert Dean et auteur d'un livre étonnant sur le sujet, "Confession of an Intergalactic Anthropologist", le soin de conclure :
« La problématique extraterrestre a un lien évident avec notre avenir, nous ne pouvons pas l'éviter. Il faudra encore un bon cycle de révélations avant que ce concept ne soit intégré dans notre société. 2012 est une thématique très popularisée par les médias, mais l'une des choses que j'ai apprise de par mes expériences et mes contacts avec ces autres races est que notre compréhension du temps et de l'espace est très limitée et très infantile (...) Certains croient qu'il faut se préparer à l'apocalypse, à des cataclysmes majeurs. Je pense que vous pouvez naître, vivre et mourir et même vivre encore une autre vie avant que cela n'arrive (...) Vivez plutôt votre vie, faites de votre mieux. Mais c'est vrai que 2012 pourrait signifier un nouveau commencement. Nous aurons sans doute des révélations sur notre vraie place dans le cosmos... » .
Différences races d'aliénigènes
À la lecture de tous ces témoignages, et notamment de celui de Robert Dean, une question nous taraude et reste sans réponse : quelles sont ces quatre races d'aliens et pourquoi ne pas les décrire ? Si Charles Hall se montre généreux à cet égard (voir interview de Charles Hall), et nous fournit un portrait détaillé des "Grands Blancs" qu'il a côtoyé, Dean reste évasif, probablement parce qu'il n'a pas rencontré ces extraterrestres dans un cadre "officiel", mais à titre privé, au cours "d'enlèvements" consentis sur lesquels il préfère ne pas s'étendre. Si les témoins privilégiés ne font pas tous état de contacts directs avec des extraterrestres, les "abductés" fournissent souvent des descriptions très précises qu'il s'agit pourtant de considérer avec précaution. En effet, ceux qui ont étudié le phénomène d'abduction ont constaté qu'il s'accompagnait de manipulations psychiques, les perceptions des individus étant modifiées par les extra-terrestres eux-mêmes.
Dans l'imaginaire collectif, les "Gris" ou "Short Greys" se sont imposés loin devant les petits hommes verts qui appartiennent désormais à l'imagerie d'Épinal de la science-fiction. C'est de loin la race la plus citée par les témoins et les enlevés. Ils sont le plus souvent décrits comme petits, avec une grosse tête, d'énormes yeux en amande. Le J-Rod décrit par Dan Burisch serait un spécimen de Gris dont il existerait de nombreuses espèces. Selon certains auteurs, dont George Andrews (Extra-terrestrials friend and foes, Illuminated Presse, 1993), le comportement prédateur de certains Gris s'expliquerait par la dégénérescence de leur ADN due à une exposition à la radioactivté (guerre nucléaire). Les Blonds sont décrits comme jeunes, grands, beaux ; on les assimile souvent aux Vénusiens ou à des "anges". Ils seraient, avec les "Gris" (dont ils sont ennemis, comme les "Grands Blancs") les principaux protagonistes aliénigènes sur Terre.
Citons également les "Reptiliens", que Dean évoque peut-être à propos des Annunaki, chers à Anton Parks. Il est aussi question, dans la littérature ufologique, et dans les propos de Robert Dean, d'êtres en tous points semblables aux humains, ou encore d'êtres interdimentionnels qu'on serait bien en mal de décrire...
Source : nous-les-dieux.org/Sergent-major_Robert_Dean,_de_l'officier_mod%C3%A8le_au_t%C3%A9moin_privil%C3%A9gi%C3%A9
Dans les années 60, le sergent-major Robert Dean, aujourd'hui à la retraite, se voit confier un dossier de l'Otan classé « Cosmic Top Secret » dont le contenu va bouleverser sa vie : il s'agit de déterminer si les extraterrestres observés par l'armée constituent ou non une menace pour les forces américaines, alors en pleine guerre froide contre la Russie...
Dean n'a pas pris conscience de la réalité des extraterrestres en voyant lui-même des ovnis, mais en étant confronté à un dossier Top Secret commandité par l'Otan en 1961 et plus particulièrement par l'Air Marshall Sir Thomas Pike, officier 5 étoiles de la Royal Air Force. Ce militaire était à la tête des forces opérationnelles de l'Otan au début des années 60, en pleine guerre froide. Comme il le raconte lui-même lors d'entretiens pour le Project Camelot, cette révélation va bouleverser sa vie :
« À partir du moment où j'ai eu en ma possession des informations relatives à ce sujet, il y a eu comme une accoutumance, je suis devenu de plus en plus avide d'en savoir plus, je n'en savais jamais assez ! C'en est même devenu une réelle nuisance pour mes relations sociales, mes amis. C'est un miracle si j'ai pu prendre honorablement ma retraite sans terminer dans les baraquements disciplinaires de Fort Leavenworth (une prison militaire). C'est vraiment étrange d'avoir pu arriver à ce point de ma vie sans aller en prison. »... « On m'a confié des documents "Cosmic Top Secret", ce qui était et reste le niveau de confidentialité le plus élevé de l'Otan. Il s'agissait de ce fameux rapport d'étude militaire menée par l'Otan entre 1961 et 1964. Elle était menée par des spécialistes des pays membres et impliquait des scientifiques allemands, des Français, des Italiens et bien sûr des Américains. Ils s'étaient rendus dans certaines universités pour engager les éléments les plus compétents. Il y avait des historiens, des anthropologues, des géologues, des gens d'Oxford, de Cambridge, des scientifiques de plusieurs universités d'Europe. C'était une étude assez vaste. Les personnes qui y ont contribué n'ont pas signé nommément, mais ont apposé leurs initiales et leurs qualités. Je connais leurs noms, mais je ne vous en dirai pas plus parce que c'était classifié. Je faisais partie du "Shape" (Supreme Headquarters Allied Powers Europe) qui était en charge de prendre connaissance de cette étude et de la contresigner. Si l'on m'avait surpris un jour avec la moindre copie ou le moindre bout de papier extrait de cette étude, j'aurais terminé en prison (...) ».
Déjà là depuis des milliers d'années
À la question de connaître les circonstances de la découverte de ce rapport, Robert Dean répond :
« Cela s'est passé un jour comme les autres. Je m'ennuyais à mourir. Le café était imbuvable et on s'ennuyait tous. La routine. Les téléphones ne sonnaient pas, les télex étaient muets, comme d'habitude. Une vieille blague dit que 99 % de la vie militaire est ennuyeuse à mourir et que le reste n'est que désastre et terreur totale. Ce jour-là, en fait, un supérieur hiérarchique, colonel de l'Air Force, m'a montré un dossier et m'a dit : « Jette un coup d'oeil là-dessus, ça va te réveiller. C'est en rapport avec les ovnis et cette étude conclut que des extraterrestres viennent nous rendre visite et qu'ils sont là depuis très longtemps. Certains estiment qu'ils sont là depuis plusieurs milliers d'années, certains depuis mille ans, d'autres deux mille ans. Il y a des archives historiques, selon cette étude, qui montrent que les Romains étaient déjà avisés de leur existence... ». C'est comme ça que ça a commencé. C'était de la dynamite... L'étude concluait qu'en apparence, ces extraterrestres n'étaient pas une menace puisque leur présence remontait à plusieurs milliers d'années. Des archives, des peintures, des dessins, il y avait un matériel incroyable. C'était déjà choquant pour moi, mais ce n'était qu'une mise en bouche. Il y avait aussi les rapports d'autopsie, car il y avait eu plusieurs accidents et des corps avaient été récupérés... L'étude était épaisse comme un gros livre, mais en comptant les annexes, c'était encore plus épais. Et dans les annexes, il y avait tous les détails, notamment sur les autopsies ; le tout en quinze exemplaires. Le premier a été envoyé au secrétaire général de l'Otan, un autre aux USA, un en France, un en Angleterre et enfin les deux derniers ont abouti dans le bunker du "SHOC" (Supreme Headquarters Operations Center - le centre opérationnel du haut quartier général du Shape). Grâce à mon accréditation de niveau Cosmic, j'ai pu accéder à toutes les informations archivées dans ce lieu sécurisé. Comme j'étais assigné au SHOC, je pouvais les consulter quand je voulais. J'étais un officier et je disposais d'un bureau dans le centre des opérations où j'étais en charge de gérer et attribuer les missions pour tous les hommes en service actif Je m'occupais même d'assigner les missions pour les contrôleurs, les colonels, les capitaines de la "Navy". Nous étions au beau milieu de la guerre froide. J'étais arrivé en 1963 alors que l'étude avait été close en 1964. Les forces de l'Otan et celles du pacte de Varsovie étaient dans un face à face tout le long d'une Europe divisée, hérissée d'armes. La situation était explosive. Nous avions cinquante divisions surarmées. Les Soviétiques et le pacte de Varsovie en déployaient une bonne centaine. Nous étions au bord de la Troisième Guerre mondiale, vraiment à la limite. Les jeunes gens d'aujourd'hui ne peuvent imaginer ce que c'était ».
Le rôle de l'espionnage français
Après avoir pris connaissance de cette étude, Dean se garda de demander son avis à son supérieur hiérarchique, car à cette époque, la paranoïa régnait, à juste titre, et les Américains suspectaient le siège de l'Otan à Paris (avant que de Gaulle ne rompe les liens entre la France et le traité Atlantique Nord) d'être infiltré par des espions soviétiques. Robert Dean raconte :
« Nous avions des conversations limitées. Nous ne pouvions pas parler de documents classifiés en dehors du QG opérationnel parce qu'il y avait trop d'oreilles indiscrètes. Si vous voulez en savoir plus, lisez le livre de Leon Uris intitulé Topaz qui décrit bien tout cela. Il existait un réseau d'espions à Paris à cette époque. On a trouvé un jour un général français dans les bois avec une balle dans la tête. Pas mal de gens avaient tendance à passer par la fenêtre de leur appartement parisien. Cela a été un scandale énorme. De Gaulle était président. C'était un réseau soviétique dont le but visait ce que nous savions et qu'eux ignoraient bien entendu. De ce fait, ils ont recruté et acheté des agents dans toute l'Europe, des Hongrois, des Français, des Allemands. Aucune information ne nous parvenait de Washington ou de Londres sur le sujet des ovnis parce qu'il y avait ce réseau français d'espions. Tout ce qui venait de Washington, Londres vers Paris terminait sa course à Moscou... grâce aux Français, aux Hongrois et aux Allemands ».
Vaisseaux soviétiques ou extraterrestres ?
C'est donc dans le contexte de la guerre froide - Dean insiste beaucoup là-dessus - que l'étude avait été initiée pour déterminer s'il s'agissait bel et bien de vaisseaux extraterrestres et non d'armes secrètes soviétiques. Ceci afin d'éviter toute méprise, car à tout moment, un conflit nucléaire pouvait être déclenché. Robert. Dean explique :
« En février 1964, on observa un survol massif d'objets volants non identifiés qui semblaient venir de l'Est, des territoires du Pacte de Varsovie et qui se dirigeaient vers l'Ouest, vers les lignes des forces de l'Otan, au dessus de l'Allemagne et de la France. Ces engins - des disques circulaires - volaient à très haute altitude, en formation, à une vitesse phénoménale et étaient donc de toute évidence contrôlés par une intelligence. Je n'en ai pas été personnellement témoin. Les premiers survols ont eu lieu en 1961 et je n'étais pas encore en fonction. Cela a été filmé. Gordon Cooper, l'un de nos astronautes, en a parlé publiquement et il m'en a entretenu personnellement. Il a déclaré notamment : « En survolant l'Allemagne dans les années 50, nous avons vu tout le temps ce genre de choses. Nous nous demandions ce qui se cachait derrière ces objets parce qu'il était évident qu'ils étaient contrôlés par une intelligence. Ils pouvaient survoler nos lignes et ils venaient de l'Est, du secteur soviétique ». Comme je l'ai dit, ils survolaient l'Allemagne, la France, l'Angleterre. Ils faisaient demi-tour au nord, au-dessus de la côte sud de l'Angleterre et de là, disparaissaient des radars de la zone Otan au-dessus de la mer de Norvège. Au départ, le gouvernement, ou à tout le moins, l'Otan n'a pas su de quoi il s'agissait. Pendant un moment, nous avons même pensé qu'ils étaient soviétiques. Nous avons ensuite appris que les Russes pensaient que c'était les nôtres. Mais ils volaient à si haute altitude, si vite, en formation et parfois même "en masse" (en français dans le texte)... Lors du survol de 1961, il y en avait bien deux cents ! On ne pouvait plus les compter. Et ils ont même pensé que la Troisième Guerre mondiale commençait. Tout le monde était en état d'alerte. Nous n'avions pas les moyens de les abattre parce qu'ils volaient trop haut et trop vite. À cette époque, nous n'avions pas encore l'arsenal ou les appareils pour faire face à ce genre de choses. C'est donc à la suite de ces événements que l'étude a été engagée pour être clôturée en 1964. Voici ce qui a changé ma vie, comme j'aime le dire. L'étude était destinée à déterminer si ces objets constituaient une menace dans l'Europe des alliés. C'était une étude militaire, juste un début. Ils ont conclu qu'il ne s'agissait probablement pas d'une menace parce que cette technologie était tellement en avance sur nous et sur les Soviétiques que c'était inimaginable. Pour eux, cette technologie n'était pas de ce monde, il n'y avait aucun doute là-dessus. Si ces êtres avaient été hostiles, compte tenu de leur savoir-faire, ils nous auraient menacés d'une manière ou d'une autre depuis longtemps. L'un de nos généraux avait l'habitude de dire : « Ils auraient pu nous rayer de la carte dès le départ ». Tout simplement parce qu'ils ont montré de manière répétée qu'ils disposaient d'une technologie dont la possibilité ne nous a jamais effleuré l'esprit, même dans nos rêves les plus fous. Tout cela m'a littéralement ouvert la conscience. Je ne pouvais plus ignorer ou tourner le dos à tout cela. Au cours des années suivantes, j'ai continué à étudier, à en apprendre de plus en plus ».
Des extraterrestres, mon général !
On se plaît à imaginer comment un haut responsable de l'Otan a pu réagir à la lecture d'une étude très sérieuse confirmant que les centaines d'ovnis ayant survolé en masse le rideau de fer, la sacro-sainte frontière Est-Ouest, étaient bel et bien pilotés par des entités extraterrestres. Ainsi, Robert Dean raconte la réaction du général Robert Lee de l'US Air Force alors en poste au Shape :
« Lorsque le vieil homme a lu le rapport et toute l'histoire, cela l'a percuté de plein fouet comme si un camion ou une tonne de briques lui tombaient dessus. Le choc était très sérieux pour un haut gradé de l'Air Force, bardé de médailles pour sa conduite pendant la Seconde Guerre mondiale, qui avait été missionné dans tous les coins du monde (je crois qu'il avait même piloté des B29 dans le Pacifique). Il a balancé son chapeau à travers le bureau en criant : « Si c'est vrai, et tout semble indiquer que ça l'est, cela signifie que l'ensemble de ce dont nous disposons, tous nos soldats, nos forces aériennes, toutes nos bombes, nos avions, tout cela ne veut plus rien dire ! »
De plus, l'étude concluait qu'ils étaient ici depuis très longtemps, et qu'ils avaient apparemment un lien avec l'origine de notre espèce : un choc colossal pour les tenants des traditions, particulièrement pour les chrétiens et les musulmans. Ce qui était intéressant, c'était qu'aucune menace ne ressortait de tout cela, selon l'étude, car s'ils avaient été agressifs ou hostiles, ils l'auraient montré il y a bien longtemps ».
Abattez-les !
En dépit de ces conclusions rassurantes, l'ordre aurait été donné d'abattre ces appareils dès que possible ; avec comme probable arrière-pensée, la récupération et l'analyse des appareils... Dean déclare à ce sujet :
« Eisenhower n'a jamais donné cet ordre qui émanait en fait d'un général de l'Air Force. Je ne me souviens plus de l'année exacte, mais je crois que c'était au début des années 60. Mais cet ordre a été annulé dans les quatre-vingt-dix jours. Entre temps, nous avions perdu une trentaine d'appareils..: Car lorsqu'on leur tirait dessus, ils neutralisaient immédiatement tous les systèmes électriques de nos appareils. Alors que nous les attaquions avec des balles, des missiles et tout le reste, ils ne nous tiraient pas dessus, ils mettaient en œuvre une technologie incroyable qui neutralisait toute les fonctions électriques. Et lorsque vous neutralisez les commandes électriques d'un jet évoluant à 10.000 mètres à plus de 700 km/h, il tombe comme une pierre. Piloter un jet et tous les appareils de série du même genre, c'est comme faire voler une enclume. Ces avions sont totalement incapables de planer. Ils sont surarmés et pèsent des tonnes. Si vous supprimez toutes les commandes électriques, on ne peut même plus les diriger. Ces avions tombent alors comme des enclumes. La plupart des pilotes ont pu s'éjecter à temps. Nous avons donc perdu beaucoup d'avions, mais peu de pilotes, heureusement. Après quatre-vingt-dix jours donc, ils n'ont plus jamais ordonné ce genre de chose, ils avaient compris la leçon. On ne joue avec ces types. Mais je reviens sur l'étude. Celle-ci n'a jamais constaté d'hostilité ouverte. Ils n'ont pas abattu nos appareils ni tiré dessus. Ils ont répondu à nos tirs en grillant les circuits électriques. Après ces trois années d'étude, ils ont conclu qu'ils avaient affaire non pas à un seul groupe, mais à quatre groupes différents ».
Quatre espèces différentes
En s'appuyant sur l'étude de l'Otan, mais aussi en croisant les données recueillies auprès de ses amis militaires également exposés au fait extraterrestre (et avec qui il est encore en contact), Robert Dean considère qu'au moins quatre races interagissent plus directement avec nous :
« Les photographies des appareils accidentés, l'analyse des débris, des atterrissages ainsi que des contacts (car ils ont atterri pour entrer en contact) tout cela indique qu'ils sont humanoïdes et de quatre groupes différents. Les individus de l'un de ces groupes ont l'air tellement humain que vous pourriez vous asseoir à côté au restaurant ou au cinéma sans les distinguer. Ils passeraient complètement inaperçu. C'était bien ce qui ennuyait et inquiétait le plus les amiraux et les généraux : qu'ils aient même pu déambuler dans les couloirs du QG du Shape, du Pentagone ou de la Maison Blanche. Et je suspecte même qu'ils l'ont fait.
Lorsqu'ils sont arrivés à la conclusion que l'un de ces groupes était totalement humain, semblable à nous, ce fut un énorme choc pour eux. Voyez-vous, j'ai continué à chercher, à vouloir en savoir plus, à fouiller jusqu'à rendre mes amis dingues. Plus tard, après 1967, nous avons formé une sorte de groupe d'amis que nous appelions littéralement le "réseau des vieux copains" (The Old Boys Network) constitué de gens comme moi, anciens conscrits et anciens militaires de toutes les armes (Air Forces, Marine, Army, Navy) et de tous les grades, passionnés par ce sujet et ses implications. J'ai pu étudier ainsi d'autres rapports, établir des contacts notamment avec Phil Corso que j'ai bien connu. Nous avons participé aux mêmes conférences. Phil m'a raconté certaines choses dont il avait été témoin. Par le biais de ce réseau, j'ai rencontré une bonne douzaine de gars aussi excités et enthousiastes que moi.... Certains sont devenus des "témoins privilégiés", d'autres ont perdu leur boulot ou leur grade. Je refuse de les nommer. »
En effet, Dean considère que certains membres du "réseau des vieux copains" ont encore beaucoup à perdre, alors que lui, du fait de son grade, a plus de liberté pour "ouvrir sa grande gueule". Il a signé un accord de confidentialité qui pourrait, selon lui, permettre à l'armée de le condamner à dix ans de prison et 10.000 dollars d'amende, sans compter les dommages et intérêts qui sont toujours astronomiques aux États-Unis.
Ils ont pleuré comme des bébés
Dean avoue ressentir à la fois "une énorme colère" vis-à-vis de ce gouvernement qui empêche la vérité d'éclater, et un certain fatalisme :
« J'en suis presque arrivé à la conclusion que le gouvernement a sans doute raison et que la masse des gens n'est absolument pas prête à entendre la vérité. Comment voulez-vous leur dire que cette espèce est une race hybride, que nous avons été génétiquement créés par une intelligence extraterrestre ? Tout dépend de l'endroit où vous vous trouvez. Si vous êtes à Bagdad et que vous parlez à des Sunnites ou des Chiites, vous ne pourrez même pas aborder ce foutu sujet. Comment leur dire que les grandes religions de cette planète ont été initiées et orchestrées par des intelligences extraterrestres ? Comment expliquer à un chrétien fondamentaliste que le petit homme venu de Galilée il y a 2.000 ans [Ndr : le Christ] faisait partie de ce programme ? Dites-le après avoir vérifié qu'il y a des issues de secours et que vous pouvez vous échapper à toute vitesse. Comment leur dire que ce programme, que ces manipulations génétiques et que les enlèvements ont toujours cours ? Vous savez, on ne peut pas parler de tout cela normalement. Et pourtant, je vous l'assure, ce sont des faits allégués, vérifiés. J'ai parlé à des gens au plus haut niveau du gouvernement de l'ombre. Ce sont des faits. Mais j'ai rencontré des officiers de haut rang qui m'ont raconté avoir été contraints de changer de service des hommes solides, des hommes qui avaient été sous le feu, en zone de combat et qui se sont effondrés et qui se sont mis à pleurer comme des bébés parce qu'ils n'arrivaient pas à faire face à ces réalités. Ils se sont retrouvés face à face avec un extraterrestre et se sont écroulés en pleurs. Nous vivons en réalité dans un zoo, dans une des réserves les plus riches de la galaxie. Nous ne sommes que des animaux parmi d'autres dans un zoo. Je ne sais pas comment votre ego peut négocier avec cette réalité. »
Où sont passés les trillions de dollars ?
Robert Dean évoque les activités clandestines du Pentagone et du ministère de la Défense qui ne sont aucunement contrôlées par le Congrès et donc par le peuple américain. Selon Dean, le budget manquant du Pentagone avoisine les 2,7 trillions de dollars par an au cours des années 98, 99 et 2000. Et tout cela se passe dans le plus grand silence, la plus grande apathie, au nom de la sécurité nationale, certes, mais au bénéfice de gigantesques structures dans lesquelles s'entrecroisent inextricablement des intérêts politiques et financiers. Un peu comme si l'État et le ministère de la Défense étaient en réalité dirigés par des intérêts occultes et privés, par un groupe de personnages qui n'a de comptes à rendre à personne. Ces trillions sont donc siphonnés vers de mystérieux organismes privés à cheval sur le militaire, la recherche avancée et le secteur industriel de pointe. Nous sommes ici totalement en dehors du Pentagone :
« Cet argent est arrivé au Pentagone d'une manière ou d'une autre et a été dépensé, mais on ne sait pas par qui ni dans quel contexte. L'armée américaine ne dispose absolument pas de tels budgets et pourtant, ce sont bien des trillions de dollars qui sont siphonnés chaque année via le Pentagone et la défense sans que le Congrès dise quoi que ce soit... Ceux qui gèrent la question sont dans une organisation. Avant, il s'agissait du MJ 12, mais il ne porte plus ce nom. Maintenant, c'est PI 40. Je ne sais pas ce que cela signifie. Peut-être parce qu'il y a quarante membres. J'ai rencontré certains de leurs membres. Il y a vingt ans, le MJ 12 était divisé en deux sur la question de la révélation. Robert Wood (autre témoin privilégié, ingénieur en aéronautique) m'a dit qu'il y avait une bataille féroce et virulente au sein du MJ 12. Une moitié voulait rendre l'affaire publique et l'autre non. Et ce dernier groupe tient toujours les choses en main... ».
La conclusion de Marcia Schaffer
Laissons à Marcia Schaffer, compagne de Robert Dean et auteur d'un livre étonnant sur le sujet, "Confession of an Intergalactic Anthropologist", le soin de conclure :
« La problématique extraterrestre a un lien évident avec notre avenir, nous ne pouvons pas l'éviter. Il faudra encore un bon cycle de révélations avant que ce concept ne soit intégré dans notre société. 2012 est une thématique très popularisée par les médias, mais l'une des choses que j'ai apprise de par mes expériences et mes contacts avec ces autres races est que notre compréhension du temps et de l'espace est très limitée et très infantile (...) Certains croient qu'il faut se préparer à l'apocalypse, à des cataclysmes majeurs. Je pense que vous pouvez naître, vivre et mourir et même vivre encore une autre vie avant que cela n'arrive (...) Vivez plutôt votre vie, faites de votre mieux. Mais c'est vrai que 2012 pourrait signifier un nouveau commencement. Nous aurons sans doute des révélations sur notre vraie place dans le cosmos... » .
Différences races d'aliénigènes
À la lecture de tous ces témoignages, et notamment de celui de Robert Dean, une question nous taraude et reste sans réponse : quelles sont ces quatre races d'aliens et pourquoi ne pas les décrire ? Si Charles Hall se montre généreux à cet égard (voir interview de Charles Hall), et nous fournit un portrait détaillé des "Grands Blancs" qu'il a côtoyé, Dean reste évasif, probablement parce qu'il n'a pas rencontré ces extraterrestres dans un cadre "officiel", mais à titre privé, au cours "d'enlèvements" consentis sur lesquels il préfère ne pas s'étendre. Si les témoins privilégiés ne font pas tous état de contacts directs avec des extraterrestres, les "abductés" fournissent souvent des descriptions très précises qu'il s'agit pourtant de considérer avec précaution. En effet, ceux qui ont étudié le phénomène d'abduction ont constaté qu'il s'accompagnait de manipulations psychiques, les perceptions des individus étant modifiées par les extra-terrestres eux-mêmes.
Dans l'imaginaire collectif, les "Gris" ou "Short Greys" se sont imposés loin devant les petits hommes verts qui appartiennent désormais à l'imagerie d'Épinal de la science-fiction. C'est de loin la race la plus citée par les témoins et les enlevés. Ils sont le plus souvent décrits comme petits, avec une grosse tête, d'énormes yeux en amande. Le J-Rod décrit par Dan Burisch serait un spécimen de Gris dont il existerait de nombreuses espèces. Selon certains auteurs, dont George Andrews (Extra-terrestrials friend and foes, Illuminated Presse, 1993), le comportement prédateur de certains Gris s'expliquerait par la dégénérescence de leur ADN due à une exposition à la radioactivté (guerre nucléaire). Les Blonds sont décrits comme jeunes, grands, beaux ; on les assimile souvent aux Vénusiens ou à des "anges". Ils seraient, avec les "Gris" (dont ils sont ennemis, comme les "Grands Blancs") les principaux protagonistes aliénigènes sur Terre.
Citons également les "Reptiliens", que Dean évoque peut-être à propos des Annunaki, chers à Anton Parks. Il est aussi question, dans la littérature ufologique, et dans les propos de Robert Dean, d'êtres en tous points semblables aux humains, ou encore d'êtres interdimentionnels qu'on serait bien en mal de décrire...
Source : nous-les-dieux.org/Sergent-major_Robert_Dean,_de_l'officier_mod%C3%A8le_au_t%C3%A9moin_privil%C3%A9gi%C3%A9
_______________________________________
« aucun d'entre nous n'est aussi intelligent que nous tous réfléchissant ensemble. »
- dupont david 02Equipe du forum
Age : 50
Nombre de messages : 297
Inscription : 08/01/2011
Localisation : 02
Emploi : top secret
Passions : sciences et ufologie
Règlement : Règlement
Points de Participation : 5572
Re: Sergent-major Robert Dean mythomane ou témoin privilégié?
Mar 17 Juil 2012, 13:15
salut j'ai dèja vu se sujet sur le forum mais fait gaffe , tu va te faire critiquer à mort car les membres du forum sont les plus intelligents et savent tout puis quand tu poste un dossier ou une vidèo , tout de suite c'est faux et c'est mit à la poubelle ou dènigrer.
j'ai dèja vu des reportages sur robert dean , il n'a pas l'air fou ni menteur comme tous ces retraitès militaires ou autre qui font des rèvèlations mais sur se forum on prend tous ces retraitès pour des menteurs comme d'habitude et ça me gonfle .
mais c'est dire sont intèressants.
j'ai dèja vu des reportages sur robert dean , il n'a pas l'air fou ni menteur comme tous ces retraitès militaires ou autre qui font des rèvèlations mais sur se forum on prend tous ces retraitès pour des menteurs comme d'habitude et ça me gonfle .
mais c'est dire sont intèressants.
- CarterJonesPilier du Forum
Age : 39
Nombre de messages : 40
Inscription : 23/04/2012
Localisation : Var
Emploi : agence web&print
Passions : Apprendre. Comprendre. Partager.
Règlement : Règlement
Points de Participation : 4637
Re: Sergent-major Robert Dean mythomane ou témoin privilégié?
Mar 17 Juil 2012, 13:27
j'ai fait une recherche sur le sujet et comme je n'ai rien vu qui s'en rapprochait, j'ai pris l'initiative de le poster ^^
j'ai trouvé intéressant les propos tenus par Robert Dean, comme toute information, cela se doit d'être traité et analysé. Des recoupements sont toujours possibles au fur et à mesure des diverses lectures à propos du large sujet que sont les "ovnis". Pleins de fils qui rejoignent un centre commun et qui avec un peu de recule constituent une toile.
apres si le sujet Robert Dean existe déjà, mea culpa. Je fais juste passer de l'informations
j'ai trouvé intéressant les propos tenus par Robert Dean, comme toute information, cela se doit d'être traité et analysé. Des recoupements sont toujours possibles au fur et à mesure des diverses lectures à propos du large sujet que sont les "ovnis". Pleins de fils qui rejoignent un centre commun et qui avec un peu de recule constituent une toile.
apres si le sujet Robert Dean existe déjà, mea culpa. Je fais juste passer de l'informations
_______________________________________
« aucun d'entre nous n'est aussi intelligent que nous tous réfléchissant ensemble. »
- HannibalAdministrateur
Age : 52
Nombre de messages : 3499
Inscription : 16/06/2010
Localisation : foix 09
Emploi : batteur d'armures
Passions : histoire medievale
Règlement : Règlement
Points de Participation : 10923
Re: Sergent-major Robert Dean mythomane ou témoin privilégié?
Mar 17 Juil 2012, 19:11
Bonjour
Carter Jones je ne suis pas un spécialiste de ce militaire et de son témoignage mais vous avez posté au bon endroit, je pense pour ma part qu'il faut le prendre avec des pincettes mais nous aurons le loisir d'en discuter.
Dupont David, si ce forum ne vous conviens pas vous êtes libre de la quitter.
Tout autre attaque direct contre ces membres seras sanctionné d'un bannissement.
Ceci est un unique et denier avertissement.
Carter Jones je ne suis pas un spécialiste de ce militaire et de son témoignage mais vous avez posté au bon endroit, je pense pour ma part qu'il faut le prendre avec des pincettes mais nous aurons le loisir d'en discuter.
Dupont David, si ce forum ne vous conviens pas vous êtes libre de la quitter.
Tout autre attaque direct contre ces membres seras sanctionné d'un bannissement.
Ceci est un unique et denier avertissement.
- Durrmeyer ChristianAnalyste enquêteur
Age : 66
Nombre de messages : 2017
Inscription : 04/10/2008
Localisation : meurthe et moselle(54) france
Emploi : invalide
Passions : lecture, ciné, aprentissage informatique
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8788
Re: Sergent-major Robert Dean mythomane ou témoin privilégié?
Mar 17 Juil 2012, 21:35
Source: nous-les-dieux.org? Hum...
- Ramex38Pilier du Forum
Age : 58
Nombre de messages : 45
Inscription : 17/07/2008
Localisation : Nord-Isère
Emploi : autre
Passions : Photo Aviation,Ufologie, internet
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6021
Re: Sergent-major Robert Dean mythomane ou témoin privilégié?
Mar 17 Juil 2012, 23:34
Conférence de Los Angeles 2009
Bob Dean - Conférence Project Camelot "Awake and Aware" 2009
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Q7W4nysUDcU
Bob Dean - Conférence Project Camelot "Awake and Aware" 2009
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Q7W4nysUDcU
- DoodEquipe du forum
Age : 60
Nombre de messages : 170
Inscription : 08/08/2010
Localisation : Saône et Loire
Emploi : Commerçant
Passions : musique
Règlement : Règlement
Points de Participation : 5485
Re: Sergent-major Robert Dean mythomane ou témoin privilégié?
Mer 18 Juil 2012, 00:29
Si tout cela est vrai (pourquoi pas?) quelle onde de choc pour l'humanité. Mais il y a quelque chose qui me dérange dans cette histoire, c'est ces E.T d'apparence humaine, beau, grand, blond, supérieur au "gris", bref ça ressemble quand même beaucoup à la description de la race arienne pilier de l'idéologie nazie. Donc (très) grande prudence à mon avis...
- Durrmeyer ChristianAnalyste enquêteur
Age : 66
Nombre de messages : 2017
Inscription : 04/10/2008
Localisation : meurthe et moselle(54) france
Emploi : invalide
Passions : lecture, ciné, aprentissage informatique
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8788
Re: Sergent-major Robert Dean mythomane ou témoin privilégié?
Mer 18 Juil 2012, 00:57
Aux Etats-Unis (et,par extension,en Europe),cela s'appelle la "lunatic fringe",toutes ces histoires de Camelot,Zone 51,la volière,les petits gris qui aiment les glaces à la fraise.C'est le pire coté de l'ufologie,Dean a fricoté avec Moneagle qui a berné l'us army en "développant" des soi-disant "pouvoirs psi" (télépathes,précognition).Voir le film avec G.Clooney "Men who stares at goats" (les hommes qui regardent les chèvres).
Très,très grande prudence,tout à fait.
Très,très grande prudence,tout à fait.
- pitibull2&Equipe du forum
Age : 54
Nombre de messages : 134
Inscription : 12/04/2012
Localisation : dijon
Emploi : employé
Passions : passionné
Règlement : Règlement
Points de Participation : 4828
Re: Sergent-major Robert Dean mythomane ou témoin privilégié?
Mer 18 Juil 2012, 09:16
oui texte bizarre, il y a des détails donnés qui ne collent pas vraiment avec la gravité et la portée du sujet comme " Il a signé un accord de confidentialité qui pourrait, selon lui,
permettre à l'armée de le condamner à dix ans de prison et 10.000
dollars d'amende, sans compter les dommages et intérêts qui sont
toujours astronomiques aux États-Unis."
vous pensez bien que si une telle chose est révélée la pression publique sera telle que les autorités auront autre chose à faire qu'a faire condamner la personne salvatrice qui aura dit la vérité ^^
permettre à l'armée de le condamner à dix ans de prison et 10.000
dollars d'amende, sans compter les dommages et intérêts qui sont
toujours astronomiques aux États-Unis."
vous pensez bien que si une telle chose est révélée la pression publique sera telle que les autorités auront autre chose à faire qu'a faire condamner la personne salvatrice qui aura dit la vérité ^^
- Durrmeyer ChristianAnalyste enquêteur
Age : 66
Nombre de messages : 2017
Inscription : 04/10/2008
Localisation : meurthe et moselle(54) france
Emploi : invalide
Passions : lecture, ciné, aprentissage informatique
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8788
Re: Sergent-major Robert Dean mythomane ou témoin privilégié?
Mer 18 Juil 2012, 09:35
La première phrase "il se voit confié un document de l'OTAN -cosmic top secret-"...Je ne crois pas qu'un doc quelqu'il soit pourrait porter la mention "cosmic top secret",c'est ridicule mème s'il existe et qu'il parle de l'éventualité d'un visite ET...
Il faudrait demander à notre camarade antoine s (je suis sur de sa réponse!).
Cdlt.
Il faudrait demander à notre camarade antoine s (je suis sur de sa réponse!).
Cdlt.
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|