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Jeu 15 Nov 2007, 22:44
Le syndrome ovnien

Par le Dr. Jacques Costagliola

Auteur du livre "Epistémologie du phénomène ovnien" ,
paru aux éditions l'Harmattan (ISBN2-7384-6051-8)

Les témoins d’événements inexplicables se taisent à 90 % par peur des conséquences prévisibles qui vont du rire à l’accusation de soûlographie ou au diagnostic d’hallucination psychotique. Ce qui leur pose problème quand ils sont amenés à consulter pour des troubles en rapport avec une rencontre rapprochée toxique (RRT) qui représente 1 % des observations. Le patient ne consulte pas ou tardivement et cache l’origine de ses maux ; s’il parle, il n’est pas cru par le médecin qui passe aux plaisanteries habituelles. Sous l’influence de conditionnements sociaux, politiques et religieux, nous refusons de voir les témoignages humains et les preuves physiques qui s’accumulent depuis 50 ans. Mais, preuves confinées par le terrorisme scientiste dans des revues squelettiques et des collections ésotériques, que les gens sérieux ne lisent pas.

On y décrit un syndrome transitoire contemporain de l’observation cessant avec elle, rarement complet : éblouissement par une lumière aveuglante, larmoiement, picotement oculaire, chaleur suffocante, odeur d’ozone, sentiment d’extase ou de terreur, sidération avec abolition des mouvements volontaires sans atteinte du tonus musculaire réflexe, le sujet conscient debout sans trouble de l’équilibre continue de voir et d’enregistrer la scène ; il ne s’agit pas de paralysies comme disent les enquêtes.

Dans un petit nombre de cas, on observe des troubles durables, voire des séquelles chroniques. Il s’agit essentiellement de troubles oculaires et de brûlures des téguments curieusement étendues parfois aux zones couvertes : hyperhémie, conjonctivite photonique, douleurs oculaires, baisse de l’acuité visuelle, rétinite ; œdèmes cutanés, brûlures à tous les degrés mais plus souvent du type coup de soleil sévère, pigmentations, purpura, dermite ; mais aussi nausées, vomissements, algies, hypersomnie, syndrome hémorragique ; on suppute une exposition à des rayonnements UV, IR ou microondes, voire ionisants. Dans certains cas l’énergie lumineuse mise en jeu a pu être calculée.

Le médecin doit connaître et affiner ce syndrome maladroitement décrit par les enquêteurs bénévoles, du fait de la désertion des scientifiques. Ce faisant il contribuera peut-être à ouvrir enfin l’ère scientifique du phénomène, qui semble cacher sa cuisine inquiétante derrière un écran d’absurdités propre à le décrédibiliser. La routine, le refus de remettre en question notre conception du monde, la peur de perdre notre hégémonie d’espèce et, plus prosaïquement, des quolibets et de la quarantaine, lui assurent la collaboration des témoins et des politiques, militaires, scientifiques, médiats, peu pressés d’avouer leur impuissance à gérer le phénomène autrement qu’en le niant.

Je sollicite du lecteur toute observation médicale suspecte d’une origine ovnienne. Secret médical et anonymat assurés.

Dr Jacques Costagliola (Versailles)
Article paru dans "Le Quotidien du médecin", lundi 30 novembre 1998



L’homme : domestiqué ou bargeot ?

suivi d’une épistémologie critique de 250 rencontres rapprochées toxiques (RRT)

Notre espèce, sous l’influence de conditionnements rigides, sociaux, politiques et religieux, refuse de voir l’accumulation de témoignages humains et de preuves physiques qui imposent l’idée que quelque chose de très singulier interagit avec notre monde et ce probablement depuis des siècles... Peut-être sommes-nous comme des bactéries dans une boite de Pétri. Nous commençons à réaliser qu’on nous étudie. Nous en avons une certaine vision par l’objectif du microscope, mais aucune conscience claire de l’intelligence aux commandes derrière l’oculaire. L. Moulton

La nef extraterrestre ou l’artéfact terrestre ?

Les hypothèses dominantes concernant le phénomène ovnien, qui frappe insidieusement l’humanité depuis 50 ans : la nef extraterrestre et l’artéfact terrestre, ne laissent le choix qu’entre une humanité sous surveillance et une humanité frappée de démence hystérique. Sommes-nous épiés ? Nous pêche-t-on ? Ou bien notre cerveau est-il malade et inapte à percevoir la réalité ? Et pas seulement les témoins, dits naïfs, visionnaires, hallucinés, ni les crédules, 50 % dit-on, qui les croient, mais aussi l’autre moitié qui nie l’existence des ovnis, en fait un phénomène imaginaire né dans des cerveaux dérangés et ne sait que rire de ce grand nombre frappé selon eux de quasi-démence. Il ne leur vient pas à l’idée d’étudier et de traiter cet état hallucinatoire généralisé à tous les peuples, à toutes les couches de la société, et qui n’épargne même pas le scientifique rationaliste, quand il devient témoin du phénomène ou l’étudie. Il ne leur vient pas à l’idée que ce cerveau faiblard est aussi le leur.

L’étude scientifique de ce problème s’avère capitale, que les observations soient réelles ou imaginaires, que les témoignages soient corrects ou déformés par la crédulité ou par le phénomène lui-même. S’il est réel, c’est la plus grande menace qui ait jamais pesé sur l’humanité (après celle de l’homme sur lui-même) ; s’il renaît sans relâche dans des milliers de cerveaux, si l’adhésion est obtenue sans raison de la moitié de l’humanité, c’est la preuve de la débilité mentale ou de la démence latente de l’espèce Homo sapiens. Si cette " rumeur " résiste au lynchage médiatique des témoins et au terrorisme intellectuel, qui tentent vainement de l’occulter depuis un demi-siècle sous un couvercle de ridicule, de désinformation et de secret, qui foudroient le malheureux témoin halluciné, mais qui ne parviennent à empêcher l’émergence, au plus, que de 75 % des observations, alors, alors, alors, qu’il soit physique ou psychosocial, ce phénomène doit être mis à plat.

Cinquante ans de déni scientifique, cela suffit. Des milliers d’observations, de la simple lumière aux performances inexplicables par la physique à la rencontre rapprochée la plus absurde ou la plus toxique avec des entités bizarres, des centaines de récits de rapts suivis d’explorations anatomiques sauvages, frappés d’amnésie et retrouvés sous hypnose, des milliers de mutilations de bétail, des pictogrammes savant dans les blés, sont perpétrés dans l’indifférence amusée de tous : autorités, scientifiques, opinion publique. Il n’y a pas que les cerveaux dérangés des témoins à étudier, car l’exploitation statistique des observations révèle une cohérence planétaire, donc la réalité d’un phénomène, à qui il arrive parfois de laisser des traces physiques de son passage.

L’information tourne en rond dans le milieu ovniologique, sans parvenir à émerger au grand jour. Les amateurs, et les scientifiques marginaux qui osent étudier le phénomène, sont tenus, pour s’exprimer, d’emprunter la voie de revues confidentielles, d’associations squelettiques et des collections ésotériques. Cela peut encore durer très longtemps.

La phénoménologie ovnienne

C’est un phénomène ancien, polymorphe, hyperperformant, aux relents absurdes ou magiques, caractéristiques d’un phénomène au delà des spéculations humaines.

L’ancienneté du phénomène. Il semble avoir accompagné sinon guidé l’évolution de l’homme, prenant l’aspect immédiatement au dessus des performances de l’époque : bouclier volant des Romains, charrette fantôme médiévale, vaisseau aérien de 1886, disque volant aujourd’hui.

Son polymorphisme. Multiplicité des formes des nefs : discoïdes, ovoïdes, sphéroïdes, en cigare, triangle, poire, banane, toupie, frigo ou TGV… ; multiplicité des tailles, depuis la balle de tennis au porte-avions géant ; multiplicité des équipages aliènes : entités exobiologiques hominoïdes, géants ou petits gris à grosse tête et grands yeux sans expression, velus ou à scaphandre, à 3, 4, 5 ou 6 doigts ou griffes, reptiliens, robots organiques ou géométriques... Ces formes et celles de leurs machines sont-elles réelles, des hologrammes ou des images imposées à nos sens et à notre imagination ?

Sa technologie. Les performances affichées sont hors de notre portée et, pis, interdites par notre physique : vitesse, maniabilité, camouflage, leurres, silence ;

- manipulation de la gravitation : manœuvres sans inertie, accélération et décélération brutales, virage à angle aigu, inversion du cap sans décélération, vol lent ou stationnaire sans réaction, apparition et disparition sur place, progressive ou instantanée, lévitation près du sol sans déploiement d’énergie apparent ;

- manipulation de la lumière : faisceaux lumineux cylindrique, conique, tronqué, rétractable, anglé, courbe, sans diminution d’intensité avec la longueur, traversant les solides, servant d’ascenseur à l’équipage, etc ;

- manipulation de l’espace : un hangar dans une petite soucoupe, scission d’une nef en deux nefs suivie ou non de leur réunion ;

- manipulation du temps : étiré ou contracté, long " rapt " rapidement vécu, absence d’un quart d’heure et retour déshydraté avec une barbe de cinq jours ;

- manipulation du psychisme humain : de la mémoire, ictus amnésique provoqué, faux souvenirs injectés ; de la volonté (aucune photographie de près et le sujet ne comprendra pas sa passivité alors qu’il n’avait qu’un geste à faire) ; des perceptions (certains voient, d’autres ne voient pas ou voient autre chose) ; des centres cérébraux de la motricité volontaire (sans toucher au tonus musculaire ni aux réflexes) ; suppression de la peur et de la douleur, communication télépathique, etc ;

- manipulation de la physique : pannes de centrales électriques urbaines, d’aéronefs, de véhicules à moteur (sauf diesel), des phares, radio, télévision, montre, armement de missiles... Elles cessent le plus souvent au départ du phénomène.

Son comportement. Incompréhensible voire absurde. Descente en feuille morte ou en zigzag, modification de forme d’un même objet, changements de couleur avec les manœuvres, basculements régulier ou rotation de la nef ou de sa couronne équatoriale de feux de couleurs, survol du terrain en épousant son relief malgré l’altitude confortable, sélection des témoins, messages ou demandes stupides ; double volonté de se montrer et de se cacher, d’impressionner et de passer inaperçu : atterrissage de préférence de nuit en rase campagne ou survol lent de la Belgique au ras des toits. Ces absurdités ont été difficilement acceptées par les soucoupistes eux-mêmes désireux de rester crédibles.

Il faut expliquer les anomalies de répartition des observations et les différences de comportement selon les continents. Ils fréquentent beaucoup les Amériques, l’Europe un peu moins, très peu l’Asie, pratiquement pas l’Océanie, l’Afrique, les pôles, les océans. Un navire isolé en haute mer, une île du Pacifique, devrait pourtant être une victime de choix. Ils sont beaucoup plus méchants en Amérique latine qu’ailleurs. L’étude de Mesnard (LDN 334) appuyée sur 108 cas de rencontres toxiques se répartit ainsi : Amériques 78, Europe 22, Afrique 1, Asie 8, Australie, Océanie, Arctique, Antarctique, océans : zéro. Le Brésil à lui seul représente pratiquement la moitié des cas de RRT, la France la moitié des cas européens, l’immense Chine 6 cas ! Les abductions d’humains et les mutilations de bétail ne touchent pratiquement que les États-Unis, les pictogrammes que l’Angleterre. Peut-être se sont-ils partagés les continents et ont-ils des comportements différents selon leurs origines et leurs motivations ?

La classification d’Hynek sera prise comme base de départ :

LN : lumière nocturne inexpliquée

DD : disque diurne, en fait engin de toute forme aberrante

RO : observation couplée radar-optique, en fait sousensemble des

OE : observation enregistrées par radar, photo, film, son, ionisation, optique ou non

RR1 : rencontre rapprochée du premier type, témoignage d’un atterrissage à vue à moins de 200 m sans traces au sol ni sur les personnes

RR2 : atterrissage ou quasi-atterrissage avec traces au sol, sur la végétation, odeur, débris divers, énergie photonique mesurable par ses effets (Vallée), mise hors service à distance des appareils, moteurs, relais hertziens, missiles nucléaires, systèmes d’armes

RR3 : RR1 ou 2 avec interférence d’entité(s) exotiques ou non

RR4 : RR3 avec rapt, ictus amnésique, souvenirs retrouvés spontanément ou sous hypnose d’une exploration clinique et chirurgicale sauvage

RR5 : RR4 itérative ou recherchée par l’homme

RRT : rencontre rapprochée traumatique (ou toxique), toute RR ayant entraîné un état pathologique du témoin contemporain et ou postérieur à l’observation.

OD : Observations diverses : mutilations de bétail, pictogrammes des champs de céréales, stations ondes courtes à chiffres.

Les témoignages et les preuves physiques

L’indifférence scientifique pourrait, à la rigueur se comprendre s’il n’y avait que des témoignages subjectifs de témoins naïfs. Mais elle n’est plus de mise quand il s’agit de :

- témoins nombreux et indépendants ou de spécialistes de l’observation (astronomes, cosmonautes, aviateurs, marins, militaires, contrôleurs aériens, gendarmes, scientifiques) ;

- témoignages renforcés par des enregistrements radar, photo, vidéo, photos-surprise d’ovnis qui n’avaient pas été vus lors de la prise ; par des marques au sol : ripage, tassement, cuvette, remblais circulaires, terre tassée, herbe écrasée, desséchée, brûlée, lésions métaboliques végétales irreproductibles (Bounias), racines brûlées, branches cassées, trous à géométrie complexe semblant en rapport avec un trépied de sustentation ; par des débris résiduels : fragments de métal, poudre, liquide, matière sublimable ; par une radioactivité locale rémanente ;

- témoins marqués dans leur corps et leur psychisme. Outre les symptômes contemporains de l’observation : éblouissement, sensation de chaleur, sidération élective des mouvements volontaires, terreur ou extase, il peut s’ensuivre des séquelles psychiques et ou physiques, voire une pathologie aiguë spécifique : larmoiement, conjonctivite, douleurs oculaires, baisse de l’acuité visuelle, cécité transitoire, brûlures du 1er et 2ème degré des parties découvertes et couvertes, dermite, nausées, vomissements, algies, céphalées, insomnie ou hypersomnie et, plus grave, maladie des rayons (purpura, anémie, granulopénie, leucémie, myélome multiple, septicémie) suivie parfois de mort. La pathologie psychosomatique et l’ovni placébo ne peuvent tout expliquer ;

- pictogrammes sophistiqués par écrasement de plants de céréales, de signification énigmatique, de composition géométrique, topologique, symbolique, depuis 1988 partout dans le monde en une nuit, corrélés à des ovnis ou des feux erratiques, à effets histologiques irreproductibles (modification de la croissance, des pores, polyembryonie, effets histologiques d’une énergie intense et courte ayant entraîné un chauffage localisé) ;

- mutilations de bétail, exsangues, avec excisions d’organes, sexuels ou profonds par cœliochirurgie a minima, découpés à l’emporte–pièce comme par un bistouri thermique, par milliers aux États-Unis, sans trace alentour, certaines carcasses ont été balancés de haut, loin du lieu de capture, carcasses respectées par les prédateurs ;

- des radios à chiffres clandestines serinent depuis 50 ans sur les ondes courtes, sur tout le globe en différentes langues d’une voie recto-tono, des chiffres sans horaire, durée ni longueur d’onde précis, jamais localisées ni décryptées, semble-t-il.


Dernière édition par le Jeu 15 Nov 2007, 22:45, édité 1 fois

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Jeu 15 Nov 2007, 22:44
L’attitude des hommes face au phénomène

Depuis son émergence à la conscience collective avec l'observation, que l’on a cru princeps, de Kenneth Arnold, de neuf disques volant en 1947 à vitesse supersonique en formation au-dessus des monts Rainier, le phénomène a été immédiatement diagnostiqué par les uns comme une intrusion de nefs extraterrestres, pilotées ou téléguidées, par les autres comme un artéfact, un épiphénomène né dans le cerveau humain de la faiblesse cognitive, de l’imaginaire des hommes, de leur crédulité et de leur goût de l'irrationnel. Le diagnostic d’artéfact est imposé officiellement après une seule étude controversée et qu’on n’a ni confirmée ni infirmée, chose inhabituelle en science. Inutile de s'en préoccuper sinon sous l'angle du mythe, de la croyance ou de la psychiatrie. Nef ou artéfact, on a sottement d’emblée sauté au diagnostic étiologique sans avoir préalablement pris soin d’établir un diagnostic positif du phénomène.

Parce que le phénomène est noyé dans une majorité de méprises avec des phénomènes naturels ou humains, et une minorité d’hallucinations, mystifications et canulars, parce que ses performances semblent impossibles, on nie le phénomène sur le seul postulat de la complétude de la science, postulat jamais invoqué ailleurs.

Pis, on néglige les observations faites par un expert témoin du phénomène (Tombaugh, astronome découvreur de Pluton, Greslé, chef de bord d’Air-France ou tel biologiste du CNRS). Pis, on cache que tout scientifique ayant étudié le phénomène - dans l’espoir de tordre le coup définitivement à ce tissu de niaiseries - change de camp. C’est le cas d’Hynek nommé pour donner une explication astronomique à chaque observation, démissionnant après 18 ans, faisant son autocritique et créant un centre privé d’étude des ovnis, le CUFOS. C’est celui du Pr Macdonald, épluchant les témoignages en vue d’y trouver des informations météorologiques, et qui découvre à la fois l’existence d’un phénomène indépendant, l’ascientificité des études et la volonté de désinformer.

Je comprends qu’on passe outre face à un témoignage aberrant, je comprends moins qu’on persiste à sa répétition, je comprends encore moins que des témoignages simultanés et indépendants ou des témoins experts de l’observation aérienne ne fassent toujours pas ouvrir le dossier. Je ne comprends plus lorsque le corps du délit s’étale encore chaud sous nos yeux, qu’il est étudié, photographié, mesuré, microscopé ; le caractère aberrant est toujours là mais on ne peut plus le nier, sinon par volonté froide de l’ignorer par peur ou connerie.

Les points communs aux pictogrammes et aux mutilations animales sont : la corrélation avec des boules de lumière, des hélicoptères noirs sans immatriculation, des sons bizarres, des lésions microscopiques témoignant d’une haute énergie à haut pouvoir calorifique très limité dans le temps, irreproductibles par la science. Un seul exemple : un rapport vétérinaire d’autopsie rapporte l’ablation du cœur sans ouverture du péricarde !

Depuis 50 ans le même scénario se répète inlassablement : qu’une observation spectaculaire ou à nombreux témoins réussisse à émerger médiatiquement, elle est citée une fois ou deux dans un contexte de grosse rigolade ou de fine suspicion de la santé mentale des témoins. Puis un silence opaque se fait, la désinformation au coup par coup, rejette l’observation dans le maquis des mérises, illusions ou impostures. Or, il s’agit d’un phénomène universel à cohérence interne jusque dans son absurdité. Les sceptiques sont allés jusqu’à fabriquer des faux ovnis dans le but de confondre ces témoins incultes et ces nigauds d’ovniologues, qui tentent de recueillir, comparer, informatiser les éléments communs, mettre en fiches le phénomène pour le jour où la science daignera étudier ce matériel. Le témoin terrorisé par les conséquences prévisibles de sa révélation tait, minimise, sélectionne l’information à la source, les ovniologues font de même dans l’espoir vain de rester crédibles : les enquêteurs avant Ruppelt jetaient au panier les observations d’atterrissages, la connaissance des enlèvements a mis dix ans à diffuser dans le milieu ovniologique lui-même, l’affaire de Roswell a mis 50 ans à émerger. Que nous cache-t-on encore aujourd’hui ? Tout est incroyable dans ce que raconte ces gens crédibles (Sanderson), alors un peu plus un peu moins...

Depuis 50 ans, gouvernements, scientifiques, politiques, l’université, la culture, le cinéma, tous les secteurs de la vie publique en somme, mais et surtout la presse, la télé, la radio, ont mis sur le phénomène un couvercle de dérision, de ridicule, de mépris condescendant des témoins et des enquêteurs. Si c'est un scientifique, il est mis en quarantaine, si c'est un policier ou un garde-barrière, il perd sa place et sa femme, les armées et les compagnies aériennes interdisent à leurs membres de parler de leurs observations. On estime que cette politique sabre à la source 90 % des observations. Celles qui émergent le font après la retraite du témoin ou anonymement, ce qui ne facilite pas leur étude. Leur nombre serait donc à multiplier par cent.

Depuis 50 ans et sans doute plus, le phénomène distille diaboliquement une conduite discrète et utilise les pauvres mécanismes de défense que le cerveau humain lui oppose : le rire et la négation. Il se montre peu, il parasite toute action susceptible de le simuler : rentrée atmosphérique, parhélie, projecteur laser de discothèque, etc. Parades ou tests ? Il opère sa cuisine discrète aux motivations inconnues et suspectes, sans que nous tentions quoique ce soit pour l’en empêcher, sachant que nous ne pouvons pas ou ne voulons pas le voir. Nier la réalité d’une menace inacceptable, la minimiser ou en rire, sont les mécanismes de défense habituels du cerveau humain. Observez les rires et les plaisanteries qui fusent quand quelqu’un parle de la mort.

Cessons ce jeu infantile car, réel ou imaginaire, physique ou psychique, observation, vision ou artéfact, domestication ou déficience mentale, phénomène il y a de par sa répétition et sa cohérence planétaire (Poher) ; cessons d’exercer le lynchage des témoins et de ceux qui osent l’étudier. Cessons d’affirmer, cherchons à comprendre et avisons. Au lieu de faire mousser les méprises, attaquons-nous au noyau dur incompressible des 5 à 25 % de toutes les séries d’observations inexplicables par les enquêteurs, qu’on expédie par l’explication rassurante qu’elles le seront un jour.

Les ovniologiues se questionnent : pourquoi les intrusions sont-elles si nombreuses ? pourquoi ne se dévoilent-ils pas officiellement ? à la première Vallée répond qu’on n’a pas besoin de tant d’expéditions pour explorer une planète habitée et en tire la conclusion qu’ils sont sur place et ne sont que psychisme. Pour moi, ils n’en sont plus à l’exploration mais à l’exploitation et ils ont intérêt à maintenir un secret relatif que nous respectons si bien. Greslé pense qu’ils nous craignent un peu puisqu’ils nous ménagent. Les optimistes pensent qu’ils nous épargnent un cataclysme culturel par éthique d’ethnologue galactique. Mais ils ont peut-être besoin de nous quelque part, d’où le maintien de cette colonisation imperceptible. Et leur but est mieux atteint qu’en se dévoilant. De toute façon, si leur psychisme est supérieur au nôtre nous n’en connaîtrons jamais que ce que nous avons en commun, le reste sera du Platon pour un singe ou du Bach pour un chien. Ils peuvent nous leurrer comme nous leurrons nos animaux de boucherie qui nous aiment d’amour avant d’aller à l’abattoir. Il nous faudra serrer les coudes et évoluer. Nous sommes des nains individualistes face à des cerveaux surdimensionnés et peut-être connectés. Nous ne pourrons que subir leur volonté, ce qui fait dire à certains ovniologues qu’il vaut mieux que se maintienne cet état d’inconscience de l’humanité du péril qui l’entoure.

Les hypothèses

Il y a beaucoup de théories explicatives du phénomène comme toujours lorsque la science patauge.

1. La confusion avec un phénomène naturel, physique, artificiel, virtuel, animal.

2. La vision, l’illusion, l’hallucination, avec ou sans support physique, produit de l’imagination, de la crédulité, de la névrose, voire de l’hystérie.

3. Le canular et la mystification.

4. L’engin expérimental secret russe ou américain.

5. Un phénomène géophysique encore inconnu.

6. L’hypothèse extrahumaine de visiteurs issus d’ailleurs.

7. L’hypothèse psychique, humaine ou extrahumaine, sans support macrophysique.

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Jeu 15 Nov 2007, 22:44
L’établissement refuse a priori d’envisager les hypothèses (6) et (7) dites irrationnelles.

La première explication rationnelle a été celle (4) d'essais secrets d'engins terrestres sophistiqués mais, leur application piétinant depuis 50 ans, elle est abandonnée comme théorie mais reste utilisée ponctuellement comme explication de secours, par exemple l’avion furtif américain volant pendant un mois au ras des toits belges.

La seconde (5) est le phénomène physique inconnu. Il est douteux qu'il puisse couvrir tous les faits observés, en particulier ceux qui semblent relever d'une intelligence en action et de la participation d'entités exobiologiques. Cette hypothèse devrait exciter les chasseurs de Nobel ; leur abstention montre bien qu’ils n’y croient pas.

Autres explications rassurantes toujours disponibles :

- la méprise (1) par mésinterprétation d'un phénomène naturel ou artificiel, est l’explication fourre-tout et passe-partout: un phénomène cosmique (planète, étoile), atmosphérique (parhélie, étoile filante, plaque de glace planante, nuage de plasma) ; terrestre (feu follet, foudre en boule, inversion thermique) ; animal (oiseau, insectes, dauphin) ; optique (mirage, reflet dans le pare-brise) ; humain (satellite, avion, hélicoptère, missile, ballon sonde, rentrée atmosphérique, capsule de bouteille de bière emportée par le vent, mouche volante par hypertension, scotome ;

- l’illusion (2), l’imagination maladive avec ou sans support physique naturel, l’hallucination hystérique. C’est le seul domaine où l’on se permet le diagnostic d’hallucination collective, voire de psychose collective, (sans rapport avec l’enthousiasme collectif, la panique ou le sadisme des foules, phénomènes connus). Ce serait le diagnostic d’une pathologie sociale souterraine diffuse, hors de la contagion des foules, gravissime, propre à Homo sapiens et dont la simple évocation aurait dû entraîner, toutes affaires cessantes, les recherches les plus pointues pour y remédier d’urgence et chercher ses autres applications. En effet on remarquera que ce n’est pas seulement la pathologie mentale mais la physiologie mentale qui est mise en cause dans les accusations de crédulité, imagination, illusion, irrationalité. Les rares cas d’observations multiples simultanées (urbaines, fêtes, stade) n’ont entraîné aucune manifestation collective autre que l’étonnement et le silence nez en l’air (Mexico) ;

- enfin, (3) le canular et l'imposture, fabrication d’un faux événement ovnien par plaisir, jeu, lucre ou volonté de ridiculiser témoins et ovniologues.

Contrairement à (2) et (3) qui sont rarissimes, la méprise répond d’une grande partie des observations, celle des faux ovnis identifiables a postériori. Ils ne sont pas le phénomène mais le diagnostic différentiel du phénomène. A lieu de dire : Attention à ne pas confondre Vénus avec un ovni, on dit : il n’y a que des phénomènes naturels mal interprétés. C’est comme si pour apprendre aux étudiants à diagnostiquer une rougeole, on ne leur parlait que des autres éruptions à ne pas confondre avec une rougeole qu’ils ne verraient jamais ! Si on ne peut expliquer 100 % des observations, on ne gagne rien à en expliquer 75 au lieu de 70. La dissection des méprises est à l’usage exclusif des enquêteurs et les faux ovnis ne doivent pas occuper la scène pour cacher les vrais.

L’hypothèse extraterrestre (6) est une explication par défaut quand aucune explication terrestre ne tient la route. Elle ne nie pas les impostures, canulars et méprises. Son rejet a priori est suspect, son échec est curieux, en effet il suffit d’une observation en béton pour la justifier, les sceptiques doivent prouver que toutes les observations relèvent de la méprise ou du canular. Il est vrai qu’ils disposent d’une foule d'explications naturelles, rationnelles et rassurantes, exploitables à la demande selon le lieu, l'heure et la température au sol ; leur nombre rassure. Chaque cas, s’il ne peut être étouffé à la source, est traité isolément et immédiatement expliqué par l’une d’elles voire plusieurs. Et on se contente de l'explication, comme si possibilité valait preuve, même si le témoin est choqué, a une conjonctivite aiguë ou que l'herbe a été brûlée en rond. L'hypothèse extraterrestre est rejetée au nom du principe le plus dévalorisé de l'histoire des sciences : C'est impossible donc faux. L’inconnu quand il se manifeste ne peut que nous paraître magique.

La dernière-née des hypothèses fantastiques est l'hypothèse psychique (7), phénomène né de l'inconscient collectif humain ou d’un psychisme étranger, sans support physique ou à support physique imperceptible par nous, parce que d'un autre niveau d'organisation, gazeux, moléculaire, quantique, etc. Le phénomène psychique réel semble agir sur la matière, l’espace - temps, le cerveau et serait alors susceptible de s'amalgamer aux phénomènes paranormaux dont la réalité est niée par les sceptiques et évidente pour les croyants. Certains refusent alors l’ovni de peur d’ouvrir la porte à la pataphysique.

Les soucoupistes se sont lancé, eux aussi, dans un fouillis d’hypothèses sur l’origine et la nature de ces visiteurs venus d’une planète galactique, d'un univers parallèle, d'autres dimensions, voire du futur, ayant déjà des bases sur la Lune, les astéroïdes, au fond des océans. En réalité on ne sait qui ils sont, ni d’où ils viennent, ni même s’ils existent ou sont des robots ou des hologrammes. Contre l’objection de l’éloignement, on invoque des raccourcis spatiotemporels compatibles avec la Relativité et la Quantique, des trous noirs, fontaines blanches, trous de vers, ou un court-circuit par un univers jumeau, la téléportation et la rematérialisation. Plus important que de disserter sur leur nature et leur origine, serait de s’assurer de leur présence et de percer leurs motivations et leurs buts.

On veut bien écouter les espaces stellaires à la recherche de civilisations intelligentes, lancer des sondes au delà du système solaire, mais il est exclu qu’elles en fassen0000t autant. Telle est la curieuse logique des scientifiques à qui les ovnis donnent des boutons. Cherchez ailleurs et de préférence dans votre gros cerveau mal fait. Il n’y a pas d’exemple de refus aussi borné, à l’étude d’un phénomène aussi patent, protéiforme et potentiellement dangereux. C’est un abandon de poste devant l’ennemi.

Les causes d’absence de prise en charge du phénomène

D’après le rapport Sturrock 1997, elles sont au nombre de quatre :

- il n’y a pas de fonds publics de recherche (on ne va pas mettre de l’argent à chercher ce qui n’existe pas !) ;

- il n’y aurait pas de données valables à étudier (surtout si on ne les cherche pas !)

- le sujet n’est pas scientifiquement correct (je ne vais pas risquer ma carrière et me mettre en quarantaine pour quelque chose qui refuse de se mettre sous mon microscope) ;

- le rapport Condon est censé avoir réglé le problème ; en fait ce rapport n’a rassuré que ceux qui ne l’ont pas lus (Greslé). On a retenu les conclusions lénifiantes, mises astucieusement en tête de ce pavé de 1000 pages, où l’on trouve au milieu de fastidieuses explorations psychanalytiques des témoins, 7 % d’observations inexplicables mais, incantation, qu’on expliquera un jour.

En fait, la principale cause, celle qui explique toutes les autres, est la peur de l’inconnu, du prédateur cosmique, du supérieur, la peur suprême, refoulée dans l’inconscient, celle qui fait rire et nier la réalité. L’hypothèse exobiologique est la plus traumatisante, elle remet en question notre hégémonie d’espèce, notre physique, notre conception du monde et même la routine, notre confort intellectuel. Tout cela n’est pas rien, surtout pour le scientifique qui croit avec Darwin avoir prouvé l’inexistence de Dieu et de toute transcendance. Le dépit et la peur suffisent à expliquer leur réaction épidermique, brutale, définitive.

Les motivations d’une intrusion exobiologique

Les hypothèses sont multiples sans parler des motivations inaccessibles à notre entendement.

Sont-ils des prédateurs, des amateurs de safari, des touristes désinvoltes, des ethnologues, des exobiologistes de terrain, un corps expéditionnaire d’espionnage et d’intervention, une police cosmique, des colonisateurs discrets, paternalistes, indifférents ou dominateurs, des pirates, des missionnaires, des manipulateurs transgéniques et hybridateurs, des gardiens de zoo à miradors volants, des collectionneurs de papillons, des fermiers, bouchers ou vétérinaires, des grands frères, des juges ou des voyous cosmiques ?

La Terre est-elle une chasse gardée ? une ferme ? un biolaboratoire ? un terrain de jeux ? un zoo ? un cleub de vacances ? une réserve d’organes ? une carrière ? un camp de concentration ? une poudrière nucléaire ? une biosphère en autoperdition ?

Comment nous voient-ils ? des rats de laboratoire, des singes savants, les bactéries de Moulton ? leurs aborigènes ou leurs Peaux-Rouges ? des mouches dans un bocal ? du bétail, de la viande à l’engrais, des fournisseurs de molécules, de gènes, d’organes, de prothèses organiques, de biogadgets cybernétiques ? des fous à tenir en quarantaine ? des malades occupés depuis leur accès à la conscience et à l’intelligence à des guerres tribales, civiles et individuelles permanentes ? une espèce démente, à analyser, surveiller, décontaminer, et surtout l’empêcher d’exporter dans le cosmos son goût de la violence, ses bombes, ses missiles ? Qu’attendre de ceux qui s’entretuent déjà joyeusement entre eux ?

Espérons avoir beaucoup en commun avec eux. Peut-être même sommes-nous supérieurs sur certains points : la musique de Bach et de Mozart, la perfection de la main, du cervelet, serait-ce ces gadgets physiologiques qu’ils viennent nous piquer. Si ces inventions sont plus épigénétiques que génétiques, ils ne peuvent se contenter de nos gènes et doivent venir régulièrement au supermarché de l’évolution. Quel est l’élément indispensable qu’ils viennent ponctionner en si grand nombre et si souvent sur Terre ? Quelle cellule, quel tissu, quel organe, végétal, animal, humain, prélèvent-ils régulièrement, miis en culture, repiqués à intervalles réguliers ? Seraient-ce les oncocytes immortels de nos cancers qui les intéressent ? les fournissons-nous en prothèses et orthèses à durée de vie limitée et qu’ils nous laissent le soin de construire nous-mêmes ?

Ils nous coconnent peut-être depuis longtemps, nous sommes la seule espèce de la planète à croître surexponentiellement, depuis le néolithique, les autres plafonnent leur nombre en fonction de l’environnement et des ressources, nous faisons partager ce privilège aux espèces domestiques que nous exploitons. Serions-nous aussi dans un vivier ? Est-ce qu’ils auraient guidé l’évolution plus crédiblement que n’auraient pu le faire le hasard et la nécessité des processus darwiniens ? Notre pollution leur est peut-être indifférente, nous occupions-nous de la fange des porcheries et des étables avant la mode de l’hygiène, peut-être même que des métabolites élaborés par la pollution leur sont bénéfiques. Qu’importe pour eux que l’espèce humaine dégénère ou disparaisse au profit d’un Homo demens ? Ce n’est pas nos qualités intellectuelles qu’ils prélèvent, ils ont mieux, ni notre goût de la violence et de la démesure, mais tel dispositif neuropsychique qu’ils nous envient. Nous avons des moyens sophistiqués au service d’un cerveau dément. Les moyens seuls les intéressent. Nous serions encore plus exploitables anatomiquement devenus oligophrènes. La dégradation intellectuelle freinera le progrès, donc la pollution et la disparition annoncée.

Le dilemme est simple : ou ils sont là et procèdent à Dieu sait quelle manip dont nous sommes les cobayes, ou Homo souffre de psychopathie hystérique : nous nous défendons ou nous nous soignons. La parole est à la science dans les deux cas. Mais vite.

Conclusion

Imaginons qu'une civilisation hominoïde plus évoluée, en science et en technique, au cerveau encore plus gros et vraiment sapiens, vienne nous sonder. Voyant les individus de l'espèce la plus organisée de la planète, incapables de réguler une expansion démographique, cancer de la biosphère, occupés en permanence à s'entre-tuer en gros et en détail, à injecter CO2, gazole, amiante, SH2, Cl, etc. dans l'air qu'ils respirent, PCB, DDT, plastiques, pseudohormones et pesticides dans l'eau qu'ils boivent et les aliments qu'il mangent, à vider les océans de toute vie et à raser leurs forêts d'oxygène ;

- si son éthique n'était pas, comme la nôtre, la surconsommation, l'enrichissement, la compétition, la démesure, mais la connaissance, la sagesse, la coopération, la mesure ;

- ils en concluraient que la terre est habitée par une foultitude d'espèces animales et végétales à la convivialité intraspécifique et à l'écologie interspécifique jusque dans la prédation, sauf une, dominante, l'espèce la plus sotte et la plus dangereuse, pour elle, pour la biosphère terrestre aujourd'hui, et peut-être pour la biosphère cosmique demain ;

- ils nous refuseraient l'épithète d'humains, et hésiteraient entre espèce dévoyée et sous-animaux.

Cela expliquerait les RRT mais non les mutilations animales ni les savants pictogrammes artistiques, mais contradiction et absurdité sont des constantes du phénomène. Je joins une compilation de près de 250 rencontres rapprochées toxiques (en excluant les RR4, mises en doute par des ovniologues) pour lesquels le témoin ne peut être accusé de canular masochiste, de crédulité perverse, d’hallucination suicidaire ou de méprise sadique. Ces faits démontrent la réalité physique du phénomène, sa dangerosité potentielle et la sottise profonde de 50 années d’indifférence amusée à son égard.

Le silence est révolu, la peur exorcisée par trop de rire et de déni scientifique. Le matériel accumulé dans le désordre pendant ce temps perdu nous attend.

Jacques Costagliola

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